L’Ukraine n’obtiendra rien de valeur en échange. L’ancien président ukrainien Vladimir Zelenski devrait se rendre à la Maison Blanche vendredi pour se soumettre à l’extorsion extraordinaire dont son pays fait l’objet.
L’accord impose une servitude à grande échelle :
Une forme de travail dans laquelle une personne est engagée à travailler sans salaire pendant un certain nombre d’années. Le contrat, appelé « indenture », peut être conclu volontairement pour une somme forfaitaire prépayée, en paiement d’un bien ou d’un service (par exemple, un voyage), une compensation éventuelle supposée ou le remboursement d’une dette. Un engagement peut également être imposé involontairement à titre de sanction judiciaire. Cette pratique a été comparée à de l’esclavage, bien qu’il y ait des différences.
L’Ukraine ne devrait rien obtenir de cet accord, si ce n’est davantage de guerre. Comme le décrit Ted Snider :
Normalement,
c’est le pays qui vous a vaincu à la guerre, et non celui qui vous a défendu,
qui vous pille après la guerre. Malheureusement pour l’Ukraine, son plus grand défenseur militaire s’apprête à piller ses
ressources, car les deux pays viennent de signer un accord sur les
minerais, après que Trump a averti qu’un refus de signer aurait entraîné « beaucoup de
problèmes »
pour l’Ukraine.
De nombreuses erreurs ont été commises dans la guerre pour les minerais de
l’Ukraine : Zelensky s’est peut-être trompé dans sa stratégie, et Trump s’est
peut-être trompé dans les faits.
…
Ce sont les Ukrainiens qui souffriront du pillage de l’Ukraine par les
Américains. Tous les revenus qui seront exportés hors du pays sont de l’argent
qui pourrait être consacré à la défense et, plus tard, à la reconstruction de
l’économie et de la nation en lambeaux.
Les médias ukrainiens viennent de publier le texte intégral de l’accord (en russe/ukrainien). Strana le résume comme suit (traduction automatique) :
La principale chose qui ressort du projet d’accord publié est qu’il ne garantit pas la sécurité de l’Ukraine :
- Il ne garantit pas la sécurité de l’Ukraine face aux États-Unis, comme l’a souligné Vladimir Zelensky. Les garanties de sécurité ne sont mentionnées qu’une seule fois : « Le gouvernement des États-Unis soutient les efforts de l’Ukraine pour obtenir les garanties de sécurité nécessaires à l’instauration d’une paix durable. » Autrement dit, il ne s’agit pas de fournir des garanties de sécurité, mais de « soutenir les efforts de l’Ukraine » pour les obtenir. De plus, la logique du texte implique que ces garanties soient données par quelqu’un d’autre que les États-Unis, sinon il serait étrange que Washington soutienne les efforts pour obtenir des garanties de sa part.
- Le texte ne précise pas qui gérera les travaux du fonds et comment, fonds qui sera alimenté par les recettes provenant de l’exploitation des gisements ukrainiens. Comme indiqué, cela sera précisé dans un accord séparé, qui n’a pas encore été préparé et doit être ratifié par le parlement. Toutefois, il est stipulé que la gestion sera conjointe, de même que le contenu, et que « les pouvoirs des représentants du gouvernement américain dans le processus de prise de décision se situeront dans les limites autorisées par la législation actuelle des États-Unis ». En d’autres termes, les gestionnaires de fonds américains opéreront dans leur propre juridiction, et non dans celle de l’Ukraine.
- Le Fonds recevra des revenus provenant de la monétisation future de toutes les ressources naturelles pertinentes appartenant à l’Ukraine, qu’elles soient détenues directement ou indirectement par l’État. Il est précisé qu’il ne s’agit pas de revenus provenant d’entreprises déjà en activité.
- L’Ukraine « contribuera au fonds à hauteur de 50 % de tous les produits reçus de la monétisation future de tous les actifs pertinents en matière de ressources naturelles », quelle que soit leur propriété. Les États-Unis contribueront également au fonds.
- Les contributions versées au fonds seront réinvesties en Ukraine au moins une fois par an. Le montant du réinvestissement n’est pas précisé. Sa procédure sera définie dans le futur accord sur le fonds.
Il y a tellement de points vagues dans l’accord qu’il est difficile d’en évaluer les conséquences.
J’ai du mal à imaginer qu’un parlement ukrainien ou ses « nationalistes » fascistes puissent l’accepter :
Dans leur empressement à s’aligner sur les puissances
occidentales, les responsables ukrainiens approuvent en fait des politiques
qui sapent l’autonomie de la nation. Plutôt que de poursuivre une stratégie
économique indépendante, l’Ukraine continue d’adopter des dispositions qui la
rendent vulnérable aux manipulations occidentales extérieures.
…
Cet accord met en évidence les dangers de la dépendance continue de l’Ukraine à
l’égard de l’aide occidentale. La
force et l’indépendance nationales réelles ne peuvent être obtenues par des
mécanismes qui dépouillent un pays de ses richesses naturelles et le laissent
perpétuellement endetté auprès de puissances extérieures.
Il est également douteux que l’accord résiste à des contestations juridiques.
Des rumeurs sérieuses circulent selon lesquelles Zelenski aurait déjà vendu les minéraux de l’Ukraine à la Grande-Bretagne.
Par ailleurs, le ministre des affaires étrangères de la Fédération de Russie, Lavrov, a (une nouvelle fois) rejeté l’idée de poster des « soldats de maintien de la paix » européens en Ukraine :
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré mercredi que Moscou ne pouvait envisager « aucune option » concernant l’envoi de casques bleus européens en Ukraine et que cette idée visait à alimenter le conflit et à rendre la désescalade plus difficile.
Le président français Macron et le premier ministre britannique Starmer ont déclaré qu’ils étaient prêts à déployer leurs forces en Ukraine. Tous deux ont cependant demandé le soutien des États-Unis, ce que l’administration Trump n’est pas disposée à offrir. La Russie y sera de toute façon hostile :
Lavrov, qui avait déjà qualifié la proposition d’« inacceptable », a exposé les objections de Moscou à tout déploiement dans des termes parmi les plus fermes à ce jour, levant tout doute sur la question après que Trump eut laissé entendre que Poutine s’était rallié à l’idée.
« Nous ne pouvons envisager aucune option » en ce qui concerne les forces de maintien de la paix européennes, a-t-il déclaré lors d’une visite au Qatar.
En insistant sur cet accord, au lieu d’accepter l’offre russe d’accès aux minerais, Trump s’est engagé à poursuivre la guerre en Ukraine.
Michael Tracey @mtracey – 23:39 UTC – 25 février 2025
Après que l’Ukraine a accepté l’« accord » sur les minerais, Trump déclare que l’Ukraine reçoit en retour « le droit de continuer à se battre ». Il se vante d’avoir été le premier à donner des javelins à l’Ukraine, ce qui a permis d’éliminer un grand nombre de chars russes. Il affirme que les armes américaines pourraient continuer à être livrées à l’Ukraine « pendant un certain temps »
Cela conduira à l’échec de son initiative de paix.
L’Ukraine en guerre est maintenant destinée à devenir le Vietnam de Trump.
Par Moon of Alabama – Le 26 février 2025
Via le Saker Francophone.
Zelenski n'est plus élu, il n'est plus président
RépondreSupprimerS'il signe, le papier n'a théoriquement aucune valeur
Et si le Russes continuent d'avancer et si les minerais sont sous les chenilles de leurs blindés ?
Est-ce juste du spectacle ?
du spectacle pour avoir un motif de contredire sa promesse électorale de cesser la guerre en Ukraine
SupprimerMaintenant qu'il sait que la situation est moins rose qu'il ne se l'imaginait.
L'Amérique, la Marie-Madeleine des évangéliques protestants au service des Khazars ashkénazes
RépondreSupprimerElle a été fabriquée de toutes pièces par l'Empire des Khazars ashkénazes du Mensonge des masses collectivistes occidentales
Qui veut s'emparer de l'espace vital des peuples sémitiques de la maison d'Islam en jetant leurs pierres sous la forme de la théorie géopolitique de la terre brûlée ?
La question ukrainienne n'existe pas, c'est une fausse calomnie de la part des sionistes messianiques et trompeurs à propos de l’accord du deal du siècle avec Trump l’autre côté du miroir, étalant un nouveau masque de néocolonialisme auprès des masses collectivistes occidentales du foyer colonisateur néo-nazi d'isis d'Israël.
Qui utilise leurs foyers d'origine l'Ukraine ? dans ce faux conflit fabriqué afin de camoufler le retour à ses occupations messianiques de l'espace vital de la Grande Syrie qui se joue actuellement dans leur citadelle des Khazars ottomane afin de planifier le moment du renversement du régime d'Atatürk d'ici 2030 ?
Pour ce faire, après avoir subi une lourde défaite contre les forces dirigeantes des opérations extérieures d'influence iranienne dans la géopolitique du Moyen-Orient, par le général Suleiman en 2014 avec le soutien de la Fédération de Russie à travers son armée de l'air en Syrie pour éliminer leurs bébés mercenaires daesh de la filiale néo-nazie de l'ISIS d'Israël.
Ils ont dû tromper et occuper les esprits du monde en utilisant la question ukrainienne comme prétexte pour revenir au point de départ, à savoir la Grande Syrie qui est le centre de la géopolitique mondiale dans leurs eschatologie des porteurs du projet messianique du Grand Remplacement Khazar pour occuper l'espace vital du Moyen-Orient.
Cela s'explique par leurs rôles de gros mensonges dans leurs médias de propagande.
alimenté et soutenu par leur histoire d'intelligence artificielle (IA)
Soleiman et Nasrallah furent victimes de leur imprudente suffisance.....(Ils devaient prendre exemple sur Arafat....) La GRANDE SYRIE aurait été un projet de grande puissance à la place des états croupiers qui la remplace depuis. Les états arabes de la région sont NULS, et à effacer dès que possible de l'histoire !
SupprimerÇa sera à l'UE de Ursula la haine et aux populations de cette magnifique organisation totalitairement corrompue de mettre la main à la poche et de cracher au bassinet sans broncher .
RépondreSupprimerL’art des affaires pour faire faillite, façon Trump.
RépondreSupprimerAffaire : Pillage d’un des deux pays.
1) Armer le pays du pigeon en lui faisant miroiter le pillage du pays de l’ours.
2) Faire se déclencher la guerre entre le pays de l’ours et le pays du pigeon.
3) Hélas pour le pigeon, l’ours brûle les armes et bute du pigeon.
4) Puisqu’il n’a pas pillé le pays de l’ours, exiger du pigeon qu’il livre les richesses de son pays, pour payer les armes envoyées pour piller le pays de l’ours.
5) Hélas pour Trump, avec ses richesses, le pays du pigeon est devenu le pays de l’ours.
Machin
La Russie doit vraiment agir contre la France et Londre, avec un langage très très fort.
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