lundi 17 février 2025

ADN. Jack l'éventreur était un juif polonais

SILVANO TROTTA OFFICIEL

@silvano_trotta

L'identité de Jack l'Éventreur révélée 130 ans plus tard grâce à une correspondance ADN. Grâce à un châle que Russell Edwards s'est procuré, l'ADN a pu être extrait et utilisé pour déterminer que Jack l'Éventreur était un homme du nom d'Aaron Kosminski. Cette découverte a depuis été confirmée à 100 %, selon le Daily Mail.

Vidéo

Aaron Kośmiński, né le 11 septembre 1865 à Kłodawa, dans l'Empire russe (aujourd'hui en Pologne) et mort le 24 mars 1919 à Londres (Royaume-Uni), est un barbier londonien d'origine juive polonaise, connu pour être l'un des suspects dans l'affaire des crimes commis par Jack l'Éventreur entre août et novembre 1888.

D'après Martin Fido et Donald Rumbelow, spécialistes de Jack l’Éventreur, il souffre d'hallucinations auditives et de peurs paranoïaques. Il refuse entre autres de se laver.

Kosminski fait partie de la liste des suspects de Scotland Yard au moment de l'affaire.

Après la série de meurtres, il avait été interrogé par Scotland Yard puis confronté à un témoin, juif polonais lui aussi, qui avait aperçu l'une des victimes en compagnie d'un homme peu avant qu'elle ne soit assassinée. Dans un premier temps, il aurait d'abord identifié sans hésitation Kosminski, puis s'était ensuite rétracté. Par manque de preuves, il fut relâché par la police, se réinstalla chez son frère Wolf Kosminski, à Sion Square, en plein cœur de Whitechapel, avant d'être admis en juillet 1890 à Mile End Old Town Infirmary.

En 1894, Melville Macnaghten, chef du département d'enquêtes criminelles de Scotland Yard depuis 1890, écrit dans un memorandum que l'un des suspects est un juif polonais nommé Kosminski. Ce mémo est révélé au public en 1970 .

En 1910, Robert Anderson, assistant commissaire du bureau d’investigation criminelle de Scotland Yard, écrit dans ses mémoires, The Lighter Side of My Official Life, que l'Éventreur était un juif polonais de basse classe. Selon des notes écrites à la main dans un exemplaire du livre d'Anderson par l'inspecteur en chef Donald Swanson, qui avait été le subordonné d'Anderson dans l'enquête de la police, ce juif polonais, non nommé par Anderson, était Aaron Kosminski et si le témoin qui l'avait reconnu refusait de l'accuser, c'est parce que ce témoin, lui-même juif, ne voulait pas faire condamner un autre juif à mort. (Voir l'article Mesirah.) Le nom de Kosminski fut révélé au public en 1988.

Trevor Marriott, dans son ouvrage de 2005, explique que Kosminski vivait tout près des sites des meurtres, s'appuyant en cela sur les travaux de 1987 de Martin Fido.

Polish barber, 23, WAS Jack the Ripper say scientists after they conducted  fresh DNA tests | Daily Mail Online Aaron Kosminski Jack The Ripper - dxcwzb.steuerberater-borgers.de

Le Daily Mail du 6 septembre 2014, annonce la levée du mystère grâce à l'ADN. À l'origine de cette information se trouve Russell Edwards, un homme d’affaires et enquêteur amateur.

Russell Edwards affirme qu'il détient un châle qui aurait été trouvé auprès d'une des victimes de Jack l’Éventreur — Catherine Eddowes assassinée en 1888 et qu'il a acquis en 2007 dans une salle des ventes ; Russell Edwards accepte sans autre preuve les affirmations de son vendeur, bien qu'aucun châle n'ait jamais été référencé par Scotland Yard lorsque la liste officielle des vingt-huit objets et vêtements trouvés sur et auprès de Kate Eddowes fut dressée.
Le vendeur explique cette absence par un vol commis au préalable par un policier, le sergent Amos Simpson. Malgré l'état maculé de l'étoffe, Amos Simpson l'aurait subtilisée afin de l'offrir à son épouse, couturière de profession. Mme Simpson, l'aurait rangé sans plus y revenir. Le châle ayant passé par héritage de génération en génération sans que nul le touche, sa préservation aurait été ainsi assurée durant 126 ans.

Un examen faisant apparaître des traces de sperme, Russel Edward décide de porter son attention sur Kosminski en raison des motifs du châle, typiques de l'Europe de l'Est. Il contacte une descendante de la sœur de Kośmiński, qui accepte de fournir son ADN. Analyse faite, le verdict tombe : Kosminski aurait été en contact avec la prostituée et Edwards en conclut qu'il s'agit donc du meurtrier et non simplement d'un client.

Source : Wikipédia

4 commentaires:

  1. Encore un exploit d'un porteur de lumières .

    RépondreSupprimer
  2. Cet assassin lâche et retors ne pouvait être qu'un goy! D'ailleurs ce policier voleur en était un aussi, CQFD

    RépondreSupprimer
  3. "...Dans un premier temps, il aurait d'abord identifié sans hésitation Kosminski, puis s'était ensuite rétracté..." Ah ben voilà ! Quand le témoin juif a compris que le criminel était juif lui aussi, il s'est rétracté. Rien n'a changé depuis.

    RépondreSupprimer
  4. c'est hors sujet et en meme temps sujet : il y avait un journaliste de pseudo de jack london qui est parti dans les bas fond de londre pour y faire ces recherches et l'a publié dans: le monde d'en bas et ce qu'il a vu est terrible et tandis que les vip et les lords et barons et fausse monarchie et ceux de la city faisaient , i am sorry pour ces termes mais il faut le dire , caca dans des wc en or massif issu des pillages qu'ils faisaient sur la terre et tandis que le peuple d'en bas vivaient dans la misère noire et toutes les truanderies qui s'y déroulaient et pas que la bas .

    RépondreSupprimer

Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.