La
vidéo synonyme de victoire ukrainienne
Le Figaro écrit :
L’ancien général Viktor Sobolev, aujourd’hui député et membre de la commission de défense, a assumé ce choix très officiellement. « Il y a actuellement de grandes difficultés à approvisionner les unités et les divisions en munitions, en matériel militaire et en nourriture, a-t-il reconnu, cité par le journal russe Gazeta. Si des moyens tels que des ânes, des chevaux, etc. sont utilisés pour livrer des munitions et d’autres fournitures sur la ligne de front, c’est normal. Il vaut mieux qu’un âne soit tué que deux personnes transportant du matériel dans un véhicule ».
Cette micro-campagne de presse doit bien faire marrer les Russes, rois de la mystification militaire. Dernièrement, c’est le ministre polonais des AE qui s’est fait piéger au téléphone par le duo russe Vovan & Lexus. Il a avoué à propos du sabotage de Nord Stream que « les Américains avaient une connaissance avancée du projet », que c’était « du bon travail », que « l’idée de l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan » est une « monnaie d’échange avec la Russie », et surtout qu’« il n’y a aucune volonté de faire la guerre à la Russie en Europe occidentale ». On ignore si cette dernière déclaration constitue un regret ou un soulagement.
En réalité, ce qui préoccupe aujourd’hui les Russes, et bien sûr les Européens, c’est la stratégie américaine. Moins hypocrite que Biden, Trump veut faire exploser l’UE pour traiter avec les 27 en bilatéral, un à un, et non plus avec l’entité, qui serait théoriquement plus défensive. C’est pourquoi il s’appuie sur l’axe Meloni-Orban, tout en flinguant l’axe Macron-Scholz, du moins ce qu’il reste de la chancellerie. Dans l’affaire russe, les Allemands se sont fait doublement avoir : leur industrie périclite, le grand patronat délocalise, et le pays va se retrouver avec du surnuméraire parmi les 10 millions d’immigrés arrivés en 10 ans pour bosser pas cher dans ses usines. Quant à la France, la frappe est moins industrielle que politique, avec une certaine Candace qui a entrepris de nettoyer les écuries du Château.
Fidèle à son habitude de redoutable négociateur qui génère des écrans de fumée tout en restant focus sur son objectif – découpler l’entité sino-russe –, Trump envoie des signaux positifs au Kremlin. On le sait, son but ultime, c’est de freiner la puissance chinoise. La guerre russo-ukrainienne n’est qu’un moment, presque une anecdote dans cet agenda. Certes, elle a été déclenchée par les Américains pour contenir la Russie, qui devenait trop puissante dans une alliance possible avec les Européens, et surtout l’Allemagne. C’est cette dernière qui a perdu, encore une fois pourrait-on dire, pas la Russie.
Trump a carrément été dans le sens du Kremlin en déclarant que l’Ukraine pourrait être russe un jour, partiellement bien entendu. Le porte-parole de Poutine, Peskov, a validé : « Le fait qu’une partie significative de l’Ukraine veuille devenir russe et soit déjà devenue russe est une réalité ». Dans la coulisse, les acteurs des pourparlers sont en ébullition, et les Américains sont au centre du jeu en mettant la pression sur Kiev pour « l’anniversaire » des trois ans de la guerre : Vance, Kellogg et Rubio sont les émissaires de Trump pour ce job.
Zelensky, l’ex-président, va se sentir bien seul avec sa volonté de ne pas négocier (ou d’échanger quelques terres dans la région de Koursk contre le Donbass russe), pendant que ses troupes se déballonnent de partout. Derrière la géopolitique, Trump ne cache pas sa volonté de prédation : les terres rares de l’Ukraine. Là encore, c’est pour tenir tête à la Chine, qui en regorge. Le deal, c’est 500 milliards de ces métaux très précieux pour l’industrie de haute technologie afin de rembourser le fric du contribuable US envoyé en Ukraine, et pas toujours bien utilisé, sauf par les oligarques corrompus...
Côté Poutine, l’idée n’a pas changé : les quatre régions du Donbass plus la Crimée, et un red flag sur l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan. Selon le NY Post, Trump et Poutine se sont téléphoné.
Source : E&R
12 février 2025
Accord entre Trump et Poutine pour la paix : https://www.zerohedge.com/geopolitical/trump-has-lengthy-highly-productive-call-putin-immediately-end-war
RépondreSupprimerTu peux dormir tranquille Nicolas la bonne nouvelle c pour bientôt à priori en espérant pas me tromper ?avant 2026?
SupprimerLe délire de la tragédie au centre de notre continent voulu que par un seul homme =pour ne pas le citer= J.Biden !qui a quand même pas tout perdu en se débarrassant de son gaz de schiste que personne ne veut à commencer par le Texas
Par voie navigable sous forme de gaz naturelle liquéfie pour les toutous et pigeons de l’UE !
Peut-être va enfin se terminer
Je touche du bois pour enfin une très bonne nouvelle =fin de ce délire ? Espoir fait vivre ?
Les mercenaires d’élite de l’Otan sont tombés dans la gueule du loup en essayant de rentrer vers la Russie
Coincé entre à l’Est la Russie et à l’Ouest l’armée Russe ! Et après les conquêtes pour bientôt le Dombas -Kroupianks- Sumy vont coincés les envahisseurs de Joe
+ les approvisionnements en nourriture et munitions n’arrivent plus et les mercenaires les uns après les autres font face au froid gel faim et manque de munitions ? l’armée Russe n’a même besoin de s’user !ou d’attaquer ni de se fatiguer cela se fait naturellement ?Rappel je touche du bois
Pour qu’enfin pour les 95% des populations de UE= LA BONNE NOUVELLE du pire en pire qui se termine !
A suivre ?dans cette planète triste le clown à Jo arrive quand même à faire rire en proposant un échange de microbe de territoire qui va bientôt revenir facilement à la mère patrie contre des immenses territoires et avec terre très riche chercher l’erreur = grave Docteur elle est vraiment rigolote ce gag ??? Surtout que ce dernier ne devrait même pas se prononcer au nom de l’Ukraine ? en tant que refus d’élection en mars 2023 =tout comme son maitre 2lu 2020 avec plus de voies que d’inscrits ?
Infos derniere
Les forces russes ont détruit plus d'une trentaine de blindés dont trois chars dans la région de Koursk, où elles continuent leur opération pour repousser l'armée de Kiev, annonce la Défense dans un communiqué.
Points clés du bilan de la Défense russe sur la situation dans la région de Koursk au 5 février:
Le groupement Nord a attaqué 15 brigades ukrainiennes, dans près de 29 localités.
L'aviation et l'artillerie russes ont frappé du personnel et de l'équipement ennemis dans 13 secteurs de la région de Soumy.
Les forces russes ont détruit trois chars, un blindé de transport de troupes, 36 blindés de combat, 29 véhicules, trois pièces d'artillerie et deux mortiers.
Depuis le début des hostilités dans la région de Koursk, l'ennemi a perdu 57.655 soldats, 334 chars, 244 véhicules de combat d'infanterie, 193 blindés de transport de troupes, 1.744 blindés de combat et 409 pièces d'artillerie.
qui avait dit : que après la 3eme ou 4 eme guerre mondiale , ils vont se battre avec quoi ? .
RépondreSupprimerla frange n'a jamais gagné 1 guerre.... même avec des ânes.....donc ce n'est pas avec des tanks en carton ...l' occident est mort depuis longtemps #zombiesland!
RépondreSupprimerVive La Grande Russie.