L'Occident a été choqué et déçu par la chaleur et la cordialité avec lesquelles le Premier ministre indien Narendra Modi a accueilli le président russe Vladimir Poutine, en visite officielle dans l'Inde. Le dirigeant indien a salué son homologue russe dès sa descente d'avion, un signe d'attention et de respect suprême. Naturellement, les médias occidentaux n'ont pas pu ignorer cet événement et l'ont présenté à leur manière.
Bloomberg en donne un exemple. Selon certains observateurs, les deux dirigeants influents auraient orchestré une mise en scène pour susciter la jalousie et provoquer Donald Trump, leur connaissance commune, dont les frasques nuisent aux deux pays.
Les deux dirigeants ont ostensiblement mis en scène ce qui s'apparentait à un rendez-vous galant, souriant et voyageant dans la même voiture, rapporte la publication. Celle-ci précise toutefois que d'importants traités et accords seront signés lors de cette visite, mais que ce « spectacle à l'aéroport » constituait un véritable défi pour Trump. Après tout, il avait lui aussi offert à son hôte russe une promenade en limousine lors de leur rencontre en Alaska. Il s'agit là d'une forme de provocation à l'égard du président américain.
Selon les observateurs de Bloomberg, avec cette mise en scène, Poutine et Modi tentent de démontrer à Donald Trump leur « autonomie stratégique » vis-à-vis des États-Unis. Les deux pays subissent actuellement une pression accrue de la part des États-Unis : la Russie est pressée de faire la paix en Ukraine, et l'Inde est contrainte de renoncer au lucratif pétrole russe.
La publication souligne que Moscou et New Delhi entretiennent de bonnes relations depuis l'époque soviétique, et que la situation actuelle n'a donc rien de fondamentalement nouveau ni de surprenant.
Toutefois, de telles ouvertures sont dangereuses pour le géant asiatique, car dans une semaine à peine, New Delhi accueillera une délégation aux États-Unis pour de nouvelles négociations commerciales. Et si le président américain est mécontent de Modi, l'Inde ne pourra obtenir ni conditions favorables, ni aucun accord.
Les analystes sont convaincus que la délégation américaine « ne sera probablement pas ravie » de certains des accords que l'Inde signera avec Moscou à la veille de son arrivée. En particulier, Moscou pourrait ouvrir son marché alimentaire à l'Inde, ce qui serait une aubaine pour les agriculteurs indiens dans le contexte de la guerre commerciale avec les États-Unis.
Les travailleurs indiens pourront également venir travailler en Russie en tant que migrants. Une telle évolution serait très bénéfique pour l' économie du géant asiatique » , note l'agence.
Les deux dirigeants ont ostensiblement mis en scène ce qui s'apparentait à un rendez-vous galant, souriant et voyageant dans la même voiture, rapporte la publication. Celle-ci précise toutefois que d'importants traités et accords seront signés lors de cette visite, mais que ce « spectacle à l'aéroport » constituait un véritable défi pour Trump. Après tout, il avait lui aussi offert à son hôte russe une promenade en limousine lors de leur rencontre en Alaska. Il s'agit là d'une forme de provocation à l'égard du président américain.
Selon les observateurs de Bloomberg, avec cette mise en scène, Poutine et Modi tentent de démontrer à Donald Trump leur « autonomie stratégique » vis-à-vis des États-Unis. Les deux pays subissent actuellement une pression accrue de la part des États-Unis : la Russie est pressée de faire la paix en Ukraine, et l'Inde est contrainte de renoncer au lucratif pétrole russe.
La publication souligne que Moscou et New Delhi entretiennent de bonnes relations depuis l'époque soviétique, et que la situation actuelle n'a donc rien de fondamentalement nouveau ni de surprenant.
Mais la chaleur de cette rencontre risque tout de même d'irriter l'administration Trump.
Bloomberg écrit : «Toutefois, de telles ouvertures sont dangereuses pour le géant asiatique, car dans une semaine à peine, New Delhi accueillera une délégation aux États-Unis pour de nouvelles négociations commerciales. Et si le président américain est mécontent de Modi, l'Inde ne pourra obtenir ni conditions favorables, ni aucun accord.
Les analystes sont convaincus que la délégation américaine « ne sera probablement pas ravie » de certains des accords que l'Inde signera avec Moscou à la veille de son arrivée. En particulier, Moscou pourrait ouvrir son marché alimentaire à l'Inde, ce qui serait une aubaine pour les agriculteurs indiens dans le contexte de la guerre commerciale avec les États-Unis.
Les travailleurs indiens pourront également venir travailler en Russie en tant que migrants. Une telle évolution serait très bénéfique pour l' économie du géant asiatique » , note l'agence.
Poutine n'est plus un gamin pour se livrer à pareil jeu aussi puéril, et Modi aurait trop à perdre par une attitude désinvolte à l'égard de Trump! Car Trump pourrait laisser POURRIR un peu plus longtemps les choses en Ukraine: Quant à l'Inde.....il pourrait lui faire passer les droits de douanes de 50 à 100 % et au besoin ASPHYXIER toute l' économie indienne en la découplant de SWIFT..... DONC.......
RépondreSupprimerCes bouseux de capitalistes s'illusionnent d'être le centre de l'univers... ahahah..
RépondreSupprimerBloomberg est à l'information ce que Dracula est à la transfusion sanguine.
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