Hillary
Clinton a supervisé la construction et l’aménagement de grands camps de
concentration au Ghana, comme modèles expérimentaux de ce qu’elle pourrait installer en Amérique si elle devient présidente. Ses premières victimes à interner
dans ces camps, seront les dizaines de millions de personnes qui soutiennent
son adversaire Donald Trump. Hier, elle les a traités de «panier
de déplorables» et a mis en garde ses partisans contre ces «irrécupérables»
et «non Américains ».
Il est
bien connu que, depuis des décennies, Hillary Clinton fait partie d'une cabale
d'élites (qui inclut
le président Obama), qui fonctionnent
comme une cinquième colonne aux États-Unis. L’hilarante est guidée par les
enseignements de son mentor
Saul Alinsky[1], qui, d’après les investigations du FBI, avait planifié, dans
les années 1970, d'assassiner
de plus de 20 millions d'Américains.
Le
«plan directeur» utilisé par cette cabale d’Hillary Clinton pour gagner le pouvoir
absolu en Amérique, consiste à appliquer les Règles
pour radicaux d'Alinsky, qui appellent à la diabolisation des
adversaires politiques, comme c’est le cas actuellement contre Donald Trump,
qu’on veut marquer comme un raciste, malgré les preuves incontestables montrant
qu'il a soutenu les Afro-Américains depuis des décennies, y compris l'icône des
droits civiques, Jessie Jackson,
en le félicitant pour ses décennies de service en faveur de cette communauté.
En
1998, Hillary Clinton et son mari le président Bill Clinton, ont
visité la nation ouest-africaine du Ghana et ont lancé "expérience
sociale" à long terme, conçue pour transformer complètement le petit
peuple des petites nations en retirant les enfants à leurs mères et
grands-mères afin qu'ils puissent être endoctrinés dans les voies et méthodes
du «Nouvel Ordre Mondial ».
Depuis
cette première visite au Ghana, et durant ces 18 dernières années, Hillary
Clinton, à travers
sa Fondation Clinton, et aidée par
la Fondation Varkey ,[1], a facilité le
placement de milliers de mères et grands-mères de cette nation dans des camps
de concentration après avoir été accusées d'être des «sorcières». Mais,
malgré cela, en 2012, le
président Obama a salué le Ghana comme étant un «modèle pour la démocratie»
en Afrique.
Ce
modèle de «démocratie» loué par le président Obama, consistait en un endoctrinement
islamiste radical de ces enfants. Cet endoctrinement est fait par Varkey
Foundation qui a été
formée en 2010 par Sunny Varkey, le fondateur et président de
la GEMS
Education,, qui est le plus grand
opérateur d’enseignement privé du Monde. De la maternelle à la terminale du
secondaire, ses écoles enseignent,
entre autres, la charia version wahhabite, aux enfants, même s’ils sont
d’origine non musulmane. Cette
fondation a payé à Bill Clinton près de 6 millions $.
L'ancien
président américain Bill Clinton (à gauche) et le promoteur de l'islamisme radical Varkey (à droite) |
Avec
la plus grande partie du Ghana maintenant «pacifiée» par ce «plan directeur» d'ingénierie
sociale islamiste mondialiste d'Hillary Clinton, consistant à dépouiller toute
une génération d’enfants de leurs mères et grands-mères, ce pays est maintenant
«mûr » pour l'exploitation effrénée de ses ressources naturelles par les
élites occidentales (à l’image des pays islamistes comme la Tunisie, la Libye, l’Arabie,
le Qatar, et autres émirats), y compris le
principal bailleur de fonds de Hillary Clinton, George Soros qui a déjà
commencé à prendre dans ses filets cette
nation africaine et d'autres nations qui l'entourent.
Ce que
les masses américaines et européennes ne
comprennent pas, c’est que ce "plan directeur» d’Hillary Clinton, expérimenté au Ghana, n’est qu’une petite partie de ce
que ces élites globalistes appellent un «monde sans frontières», dans lequel les
entreprises ne seront pas liées par des lois nationales, mais seulement par
celles qu'elles se font pour elles-mêmes dans ce qu'on appelle «accords
commerciaux». L’objectif du 21e siècle est d’inonder l'Ouest avec des dizaines
de millions de travailleurs islamiques wahhabites lobotomisés
par le wahhabisme, et formatés pour obéir à leurs employeurs comme à des
«maîtres». Il en est ainsi, par exemple, des kamikazes islamistes, que l’on
envoie se faire exploser au milieu des foules innocentes, le sourire aux lèvres.
L’effet de panique sur les citoyens occidentaux ordinaires est tel qu’ils sont
prêtes à accepter n’importe quelle loi scélérate faite non « pour les
protéger », mais pour les bâillonner. Ces kamikazes islamistes, ou
djihadistes, sont les actuels et futurs soldats du mondialisme et de cabale.
Ils constituent une formidable arme de destruction massive quasi imparable. Tout
en muselant toute opposition populaire dans les pays occidentaux, elle permet
du même coup dénigrer au maximum l’islam
et les musulmans, afin de pouvoir les asservir, sinon les massacrer
allègrement.
Les travailleurs
latino-américains et africains aux États-Unis sont étiquetés peu fiables par
Hillary Clinton et ses alliés d'élite, ils ont donc non seulement perfectionné
leur modèle de camp de concentration au Ghana à utiliser ultérieurement aux
USA, mais ils ont aussi la planification de la destruction effective de
l'ensemble de leur nation par d’autres moyens, dont par exemple:
1.) de
1994 le projet de loi de la criminalité Hillary et Bill Clinton au cours des 22
dernières années a fait des États-Unis
le plus grand geôlier d'êtres humains dans toute l'histoire de l'Humanité.
2.) Le
projet de réforme, en 1996, de Bill Clinton qui a étripé les
programmes sociaux fédéraux plongeant des dizaines de millions de personnes
dans une pauvreté abjecte.
3.) La
loi sur l'éducation d’Hillary et de Bill Clinton de 1998 qui interdisent
aux étudiants américains de ne jamais se déclarer en faillite sur leurs dettes
de prêts aux étudiants, plongeant des dizaines de millions d'entre eux dans une
vie de servitude pour dettes.
4.) L’abrogation
en 1999 de la loi Glass-Steagall, par Hillary et Bill Clinton, qui
a permis à de grandes banques de consolider des opérations et a créé les
conditions qui ont conduit à la crise des sub primes de 2008.
Pendant
plus de deux décennies, chaque catastrophe majeure subie par le peuple
américain a été conçue par Hillary Clinton et ses alliés, avec le pouvoir
absolu de médias américains corrompus la soutenant. Elle devrait être
poursuivie et jugée pour trahison. Son principal soutien, le président Obama, a
réussi à
jeter à la poubelle ses propres concitoyens près de 20 fois cette semaine,
sans que personne ne lui demande de compte.
[1]
Bill Clinton a reçu
des millions de dollars de GEMS, une fondation éducative qui enseigne la charia et le
mondialisme
L’ancien président des
États-Unis, Bill Clinton – qui en sera peut-être demain le « First
Gentleman » – s’assure, on le sait, de confortables revenus par la tenue
de conférences et d'interventions en faveur de l’éducation et de la paix dans
le monde. Pour la seule année 2014, pour laquelle on dispose de ses
déclarations de revenus, il a perçu la coquette somme de 2,1
millions de dollars de la part de GEMS, Global Education Management
Systems, une entreprise éducative sise à Dubaï
et qui gère quelque 70 écoles dans une douzaine de pays. A des
honoraires connus de plus de 5,6 millions de dollars depuis 2012 s’ajoutent
divers paiements faits par GEMS à la Fondation
Clinton et le soutien officiel à la Clinton Global Initiative en
2013 et 2014. S’agissant
d’une initiative qui vise à fabriquer des citoyens conscients des problèmes
globaux et aptes à devenir des leaders mondialistes, il n’y a là rien de très
étonnant. Mais outre cela, GEMS, qui intervient dans plusieurs pays
proche-orientaux, ne rechigne pas à enseigner
la charia.
GEMS est ainsi le seul groupe
éducatif étranger à pouvoir intervenir en Arabie saoudite, où sévissent le
wahhabisme et l’application la plus stricte de la charia.
Au seul Proche-Orient, GEMS
gère 51 écoles. Elles s’inscrivent dans un réseau fort de 250.000 élèves dans
de nombreux pays : écoles payantes d’élite ou plus modestes,
subventionnées, pour les plus défavorisés.
Charia et mondialisme font bon ménage chez GEMS
Depuis 2012, GEMS participe au
Forum économique mondial de Davos – ce qui est tout naturel puisqu’il vise
à instiller dans ses élèves les « valeurs universelles » des sociétés
mondialistes – selon l’optique de l’UNESCO dont la Fondation Varkey, le bras
caritatif de GEMS, est un partenaire revendiqué. Bien sûr, dans les écoles
GEMS, on pratique la « conscientisation » aux questions du
développement durable et du changement climatique.
Mais son intégration parfaite
dans de nombreux systèmes éducatifs très surveillés des pays les plus
islamiques est significatif. Les écoles GEMS du Qatar, par exemple, prônent le
respect des traditions locales mais aussi de la foi (totalitaire) wahhabite, un
"islam talmudique".