«Je ne sais pas quelles sont
les armes qui seront utilisées dans la Troisième Guerre Mondiale,
mais je sais que, dans la Quatrième Guerre Mondiale, on utilisera des
bâtons et des cailloux." Albert Einstein (1879-1955)
Hambourg devait être effacée de la surface de la terre. C’est
ainsi qu’a commencé la bien nommée Opération
Gomorrhe qui a vu les bombardiers britanniques et américains
créer l’un des plus grand déluge de feu que notre monde a jamais vu. Ce déluge
de bombes a complètement détruit cette belle ville historique, et a tué près de
43.000 civils innocents et a laissé 37.000 autres traumatisés à vie par la peur
et l’horreur vécues. Près de 20 ans plus tard, en 1962, je me préparais à
commencer à étudier à l'université à Hambourg, où j'avais vécu pendant la
majeure partie de ma vie comme enfant de missionnaires Chrétiens Celtiques,
quand, dans la nuit du 16 Février, cette ville a été détruite à nouveau, cette
fois par l'eau dans ce qui est maintenant connu sous le nom The Great
Flood, la Grande Inondation.
Bien que je n’aie pas assisté à la destruction de Hambourg
en 1943, mon père, qui l’avait vécue, m'a raconté que les «visions» du
désespoir parmi les gens que je voyais en 1962 étaient comme ceux des
survivants des deux décennies précédentes. Mais comme tous les membres de notre
famille étaient tous adhérents des Seven
Distinctives (les Sept traits distinctifs) de notre foi
chrétienne celtique, le premier précepte qui a inondé à l'esprit était: Espoir
- Voir d'abord le bien en toutes choses plutôt que le mal
Maintenant, je vous relate aujourd’hui cette histoire à cause des mots les plus vrais
que j'ai entendus depuis des années, qui ne viennent pas de quelqu’un que je
connais personnellement, mais qui sont néanmoins les plus importants que vous
entendrez aujourd'hui : «La Troisième Guerre Mondiale a déjà commencé
".
Lorsque vous lisez que la troisième guerre mondiale est à ses débuts, et que son premier grand champ de
bataille est en Syrie, sachez que le belligérant
principal dans ce conflit est l’Amérique. Cette Amérique
qui essaie furieusement de dissimuler son attaque non provoquée contre un
convoi d’aide humanitaire, et dont les
militaires et les dirigeants sont en rébellion ouverte contre l'autorité du
président Obama quand ils ont dit cette semaine que cette attaque peut ou ne
peut pas respecter le cessez-le-feu convenu entre les Russes et les Américains.
Grâce aux nombreux messages de nos sources, ainsi qu'un
nombre croissant de rapports de presse, nous avons été en mesure de lire à
propos de cette guerre, mais nous ne sommes pas en mesure de vous dire qui en est
actuellement le responsable en Amérique. En effet, le Président des chefs
d’état-major, le général Dunford, a déclaré cette semaine que «pour
nous, contrôler l'ensemble de l'espace aérien en Syrie nous obligerait à aller
à la guerre contre la Syrie et la Russie", mais le général a été
immédiatement contré par le secrétaire d'État américain John
Kerry qui a exigé que les avions russes arrêtent voler en Syrie dès maintenant.
Comme la Russie n'a pas l'intention de se conformer à tout
ultimatum américain, «quelqu'un» aux États-Unis a ordonné l’activation
contre la Russie du bouclier antimissiles sachant que la Russie
avait déjà mis en garde que, si cela arrivait, on irait droit vers une guerre
nucléaire.
Immédiatement après que les États-Unis ont activé leur
bouclier antimissile cependant, le président Obama a démis
de leur fonction deux de ses principaux généraux – Le Major général Wayne
Grigsby et le chef d'état-major, le général de brigade Michael Bobeck. Mais, en
même temps, "quelqu'un"
a ordonné
à un bataillon entier de d'infanterie de Marine de retourner à la base en
Caroline du Nord et les a placées en "État d'alerte".
Dans le même temps que cette agitation secoue les couloirs du
pouvoir de l'Amérique, des rapports de renseignement russes avertissent d'un
événement attendu, "Octobre Rouge",
qui va bientôt plonger la Russie dans la guerre directe et ouverte contre les
États-Unis.
Source : World War III Has Begun As “Red October” Event Nears
Traduction : Hannibal GENSERIC
Rétrospective de la semaine du 18/09/2016 au 24/09/2016
Pendant cette semaine
s’est jouée une partie caractéristique du conflit en cours en Syrie,
une séquence assez complète (même si elle n’est pas finie, elle est
assez complète pour être exemplaire) pour nous montrer l’essentiel : l’extraordinaire
désordre (hyper désordre) qu’est devenue la chose que l’on peine à
nommer encore “politique extérieure ” des USA.
• Tout
cela s’est passé à partir de l’attaque-“erreur” (une spécialité
sophistiquée) de l’USAF contre l’armé syrienne à Deir Ez-Zor (le 18 septembre 2016)
à l’attaque contre le convoi de l’ONU en route bers Alep, avec étapes à
New York où l’on rencontre “la folle de l’ONU” Samantha Power (le 19 septembre 2016), tout cela sur fond de “mutinerie” du Pentagone contre Obama.
• Le point essentiel à retenir est le constat de l’interaction et la connexion en train de s’établir, ou désormais établies, entre les événements de Syrie et la situation aux USA, notamment les élections USA-2016 :
ainsi parle-t-on aussi bien d’une possible Troisième Guerre Mondiale
qui pourrait être une “drôle de Guerre Mondiale” d’ores et déjà
commencée (le 20 septembre 2016) que de la destruction de l’Amérique (le 23 septembre 2016).
• Finalement, dominant toute cette semaine, il y a l’écrasante évidence du nihilisme de l’Amérique, de sa direction et du Système qui conduit l’ensemble (le 23 septembre 2016) :
tous les événements sont conditionnés par ce caractère d’une puissance
unique, sans mesure ni contrôle, que la raison humaine, trop humaine,
des commentateurs tente pathétiquement d'éclairer selon des arguments
rationnels., alors que nous sommes dans un territoire échappant à cette prétention.
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