La publication de bribes des Panama Papers par l’
International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) a déclenché
une tempête géopolitique. La fuite unique de 2,6 teraoctets de
documents de la firme légale panaméenne Mossack Fonseca contient plus de
11 millions d’archives impliquant l’évasion fiscale et le blanchiment
d’argent de la drogue de ses clients.
Alors que les médias de la pressetituée ont utilisé des informations
pour attaquer des ennemis politiques du cartel banquier international
emmené par la famille Rothschild, comme le président russe Poutine, le
leader assassiné Mouammar Kadhafi (aucun des deux n’étant directement
cités dans les documents), le président chinois Xi Ping et le premier
ministre islandais qui a mis ses banksters au trou, Sigmundur Davio
Gunnlaugsson, la clientèle bien plus intéressante et croustillante a
quant à elle bien entendu, volé sous le radar des merdias pressetitués.
Cela inclut le président du Pakistan Mawaz Sharif, le prince saoudien
Salman, le président Khalifa bin Zayed al Nahyan des Emirats Arabes
Unis, le président ukrainien Petro Porochenko, l’ex-émir du Qatar Hamad
bin Khalifa al thani et les anciens ou actuels premiers ministres
d’Irak, de Moldavie, de Georgie, d’Ukraine, de Jordanie, du Qatar, tous
sans exception des marionnettes des banksters de la City de Londres
menés par Rothschild.
Feu le père de David Cameraon fut aussi cité.
Le Panama a été historiquement bien utilisé par la haute finance
internationale et leurs gendarmes des services de renseignement
occidentaux, comme un centre nerveux où le fric illicite des trafics
d’armes, de drogues, de pétrole et de traite humaine est lavé plus blanc
et en sort en beaux billets verts tout propre. Le Mossad israélien (qui
rime avec Mossack) a une très grande présence dans ce marigot tandis
que le dollar US est de manière très convéniente, la monnaie officielle
du Panama.
Mossack Fonseca fut fondée en 1986 par le diplômé de la London School
of Economics, Ramon Fonseca et Jürgen Mossack, né en Allemagne, qui
passa du temps à travailler dans les cercles banquiers londoniens.
Le père de Mossack était un membre de la Waffen SS hitlérienne qui
s’est enfui au Panama, d’où il proposa plus tard d’espionner Cuba pour
la CIA. Jusqu’à récemment Fonseca a été le premier conseiller du
président panaméen Juan Carlos Varela.
Mossack a servi avec Conarex, la branche panaméenne du Royal
Institute of International Affairs (RIIA) de la couronne de 2009 à 2014.
La branche américaine du RIIA est le… Council on Foreign Relations ou
CFR…
Tous deux sont membres de l’élite blanche panaméenne qui a
historiquement servi les intérêts de la Couronne
Britannique/Rothschild (City de Londres).
La présence notoire de monarques du Golfe et des fascistes ukrainiens
dans les Panama Papers n’est détournée que par des noms encore plus
intéressants des 10 top banques intermédiaires avec lesquelles Mossack
Fonseca a travaillé pour mettre en place tous ces comptes offshore de
l’ombre.
Les 10 banques qui ont facilité ce réseau criminel sont comme suit:
1) Experta Corporate & Trust Services, Une
entité financière basée au Luxembourg qui a émergé en 2002 de la Banque
Internationale du Luxembourg SA. Le Luxembourg est connu pour être un
endroit où même les banquiers suisses planquent leur pognon tant ses
lois sur la transparence financière sont parmi les plus opaques au
monde.
2) La Banque J. Safra Sarasin Luxembourg S.A. La
famille Safra fait partie d’une longue lignée de Libanais sionistes
proche d’Henry Kissinger. Ils sont les propriétaires de la laverie de
fric sale appelée American Express.
3) Credit Suisse channel Islands Ltd, qui a financé
le pillage de la Russie en 1998 (NdT: les années Eltsine et des
oligarques russes avant que Poutine ne fasse le grand ménage…) et que
certains ont listé comme étant une des sources principales du
financement de L’EIIL/Daesh
4) Hong Kong Shanghaï Bank Corporation, banque privée HSBC (Monaco) SA
HSBC (NdT: banque britannique qui sa fortune avec les deux guerres de l’opium en Chine…), la banque la plus sale du monde:
HSBC: The World’s Dirtiest Bank
5) HSBC Private Bank (Suisse) S.A.
6) UBS AG (Union des Banques Suisses), la banque qui
acheta la tristement célèbre firme américaine Enron pour 0$ aux
enchères après son naufrage, ses dossiers criminels ont été détruits
lorsque le building no7 du WTC (le 3ème building effondré le 11
septembre 2001) fut démoli de manière contrôlé le 11 septembre 2001.
7) Coutts & Co. Trustees (Jersey) Ltd., qui est l’entité financière officielle gérant l’immense fortune de la Maison Winsor (reine Elisabeth II d’Angleterre)
8) La SOCIÉTÉ GÉNÉRALE Bank & Trust Luxembourg, une branche contrôlée par les Rothschild du géant banquier français, une des plus grosses banques au monde.
9) La Landsbanki Luxembourg S.A., liquidée en 1993,
laissant ses dépositaires sans méfiance dans la mouise et impliquant les
connexions de la mafia luxembourgeoise des régulateurs financiers.
10) La Rothschild Trust Guernsey Ltd.
[…]
Traduit par Résistance 71
– Source : Henderson Left Hook