Un rapport étonnant Conseil de sécurité (SC) circulant aujourd'hui
au Kremlin dit que le président Poutine a personnellement autorisé cette
semaine une "alerte internationale" avertissant que le candidat
à la présidence Donald Trump pourrait être bientôt tué par le régime
Obama-Clinton après la confirmation que ce dernier vient de libérer Michael
Sandford, l’homme qui a tenté d’assassiner Trump, ce qui constitue une
"violation flagrante" de la loi américaine.
En effet, le 18 Juin, Michael Sanford a tenté d'assassiner
Donald Trump à Las Vegas, Nevada. Le Service russe de renseignement extérieur (SVR) a pu établir une connexion entre Michael
Sanford à la fois avec l'armée britannique et avec la CIA. [Voir
notre rapport: Les assassins
qui ont tué la députée britannique Jo Cox et ciblé Donald Trump sont liés aux
militaires du Royaume-Uni et à la CIA]
L’assassin de Donald Trump Michael Sandford (centre) appréhendé par la police américaine |
Dans la plainte
de cinq pages déposée par les autorités fédérales américaines contre
Michael Sanford après sa
tentative avortée de tuer Donald Trump, on apprend que Sanford s’est
beaucoup entraîné au tir au pistolet (un
Glock 9 mm), la veille de sa tentative. Ensuite, le lendemain, il s’est
approché, à Las Vegas, de l’officier de police Ameel Jacob lors d'un
rassemblement de campagne. Il lui a dit qu'il voulait obtenir un autographe de
Trump, puis a essayé d’attraper son arme pour tuer Trump.
Michael Sanford a dit qu'il visait l'officier de police parce
qu'il croyait que son holster était déverrouillé, et qu’il serait plus facile de
tirer sur Trump, selon les agents des services secrets américains cités dans la
plainte. Sandford a dit qu'il avait prévu de tuer Trump depuis un
an, mais a décidé d'agir à cette occasion parce que «il se sentait
enfin suffisamment confiant pour essayer» et que «s'il est
dans la rue demain, il essaierait à nouveau".
Notons que la tentative de Michael Sanford pour tuer Donald
Trump est un crime fédéral majeur (18 U.S. Code § 1113)
passible de 20 ans de prison et jusqu’à jusqu'à 5 ans de plus pour menace sur
la vie d’une personne sous la protection des services secrets (18 U.S.C. § 879 : US
Code - Section 879).
Ainsi, en 2002, les États-Unis ont envoyé un homme de 50 ans
nommé Richard Humphreys en prison
pour 3 ans pour avoir simplement dit : "Ne soyez pas surpris
si vous voyez George Bush à la télévision et quelqu'un court derrière, jette
quelque chose sur lui et allume une allumette" alors qu'il était
dans un pub à boire avec ses copains. Mais le
régime Obama-Clinton ne veut pas appliquer cette loi standard à Donald Trump
.
Avec Michael Sanford qui,
normalement, devrait passer jusqu'à 30 ans de prison pour sa tentative
d'assassinat sur Donald Trump, le président Poutine a été «visiblement secoué»
après avoir entendu cette semaine que cet assassin a été autorisé par le régime
Obama-Clinton à plaider coupable
aux accusations mineures d’«être un
étranger en situation irrégulière en possession d'une arme à feu et de
perturber une fonction officielle » pour laquelle sa peine sera inférieure
à 2 ans et que, dans le cadre du Programme international de transfert des
prisonniers du ministère de la Justice des États-Unis (IPTP),
on va permettre à cet assassin
de passer son temps dans un camp
de jeunesse britannique.
Après que le président Poutine a entendu comment le régime
Obama-Clinton fait peu de cas de la vie de Donald Trump, il a immédiatement tenu
une réunion de crise avec Dmitry Kisiliov et lui
a ordonné de «répondre avec force, et de manière internationale» à cette
«grave menace».
Dmitry Kisiliov [1], est l'un des journalistes les plus
respectés qui, en 2013, a été nommé par le président Poutine à la tête de la nouvelle
agence gouvernementale russe d’informations Rossiya Segodnya (Sputnik News). Suite à
cette réunion de crise, cette agence a rapporté
au monde que le régime Obama-Clinton a maintenant l'intention de tuer Donald
Trump pour l'empêcher de prendre le pouvoir et a mis en garde : "les
services spéciaux américains n'ont pas besoin d'un tel président. Ces services
favorisent la haine envers la Russie pour justifier leur existence. Les
oligarques américains, également, n’ont pas besoin d'un tel président. Pour ces
oligarques, l'ordre mondial existant leur assure un business solide et stable.
Pour eux, un Trump qui est prêt de régler les problèmes avec la Russie signifie
que les finances iront dans une direction différente. L'establishment américain
est impitoyable. "
Ce rapport conclut en notant que le peuple américain doit être
pleinement informé de ce terrible avertissement émis par le gouvernement russe
au sujet de la vie de Donald Trump. Mais les médias mainstream n’arrêtent pas
de mentir au peuple américain. Ainsi, après l'effondrement choquant de Hillary
Clinton la semaine dernière dans une rue de New York, ces sycophantes de la presse
Obama-Clinton ont dit qu'elle avait été prise dans l’appartement de sa fille
alors qu’en réalité, elle a été admise the
Metro Home Services senior citizens medical facility.
Source :
Putin Issues Global Alert: “The
American Establishment Is Merciless, Donald Trump Could Soon Die”
[1] Apparaissant sur une TV publique, le présentateur de télévision et journaliste Dmitry Kisiliov
a dit à des millions de personnes en direct que l'élite "peut tuer" Trump
en raison du danger pour elle de ses prises de position qui ne sont pas
anti-russes.
Kisiliov a commencé (vidéo) son monologue en discutant les derniers
sondages qui montrent que Trump dépasse Clinton, ainsi que la promesse de Trump
qu'il "formera de très, très bonnes relations avec la Russie" s'il
devient président.
« Cette combinaison de facteurs : mener dans la
course, sa capacité à dire les vérités telles qu’elles sont, et son intention
de mettre fin aux récentes tensions extrêmes russo-américaines - tout cela le
met dans une situation très risquée», déclare Kisiliov.
"Maintenant, ils peuvent juste le tuer," ajoute-t-il
de façon alarmante.