Un étonnant rapport du Service de renseignement étranger
(SVR) circulant au Kremlin aujourd'hui 20/11 affirme que l'amiral de la marine
américaine Mike Rogers, qui dirige à la fois l’Agence
nationale de sécurité (NSA) et la United States Cyber Command (USCYBERCOM),
et qui est aussi le chef du Service central de sécurité (CSS),
a fui à New
York, le jeudi (17 novembre), et demandé une réunion urgente au président
élu Donald Trump quelques heures seulement après qu’il ait fait avorter
le vol non autorisé de l'un des super avions américains, dit du "Jour du Jugement Dernier " [1].
Le même procédé avait été utilisé lors des attentats sous faux drapeau du 11/9/2001, avec les mêmes "têtes pesantes" au sein de Navy.
Un tel attentat provoquerait un gigantesque choc émotionnel en Amérique, à tel point que les instigateurs de cet attentat, c'est à dire les élites mondialistes actuellement au pouvoir, pourraient installer l'état d'urgence, voire même l'état de siège, et remettraient en cause l'élection de Trump.
Mais pour le moment, c'est raté.
Le même procédé avait été utilisé lors des attentats sous faux drapeau du 11/9/2001, avec les mêmes "têtes pesantes" au sein de Navy.
Un tel attentat provoquerait un gigantesque choc émotionnel en Amérique, à tel point que les instigateurs de cet attentat, c'est à dire les élites mondialistes actuellement au pouvoir, pourraient installer l'état d'urgence, voire même l'état de siège, et remettraient en cause l'élection de Trump.
Mais pour le moment, c'est raté.
Le 16 novembre, le ministère russe de la Défense a demandé une
assistance urgente du SVR concernant le décollage de la base aérienne californienne
de Travis (TAFB),
d’un Boeing E-6 Mercury de la Navy. Cet avion
est un poste de commandement aéroporté, connu sous le nom d'«Avion Doomsday»,
et dont l'indicatif radio est «IRON99»,
et dont la destination n'a pas pu être déterminée.
Le nouvel
héros américain Amiral Mike Rogers |
Or, les vols de ces types d'avions «du jour du jugement
dernier» sont strictement régis selon des procédures, des protocoles et des
lignes directrices définis dans le Traité de réduction des armements
stratégiques (New START) signé entre la Fédération de
Russie et les États-Unis, et qui a pris effet le 5 février 2011. Donc le vol de
cet «avion IRON99» est une violation flagrante de ce traité, du fait que
les États-Unis n'avaient pas notifié au ministère russe de la Défense le statut
exact de la mission.
Après avoir été informé par le ministère de la Défense de
cette grave violation du traité START, comparable à une «menace de guerre» par
le régime Obama, le Directeur du SVR, Sergey Naryshkin, a contacté son homologue américain,
l’amiral Mike Rogers. Bien que le détail
exact de leur conversation soit secret, on sait qu'aussitôt après ce contact
entre le directeur Naryshkin et l'amiral Rogers, le vol de cet "avion du
jugement dernier" a été
stoppé au-dessus de Denver, Colorado, où il a été placé en position d'attente,
avec l’éventualité de revenir vers sa base de départ, de Travis Air Force.
Vol de l'avion "Doomsday" au-dessus de Denver |
Le fait que la marine américaine ait ordonné secrètement
à cet avion de prendre le vol est très alarmant, sachant que
l'Office Américain du Renseignement Naval (ONI) a été précédemment impliqué dans
l’attentat sous faux drapeau
du 11/9/ 2001 en tant que « maître d’œuvre de cet attentat ». Pour stopper les conspirateurs
de l’ONI dans ces attentats du 11/9, les autorités légales américaines ont du
lancer, à l’époque, un missile de croisière qui a détruit le centre de
communication de l’ONI au sein du Pentagone.
Vidéo expliquant l'implication de l'ONI comme tête pensante des attentats sous faux drapeau du 11/9/2001.
Première
photo prise du Pentagone le 11 septembre 2001 après la destruction, par un missile de croisière, du Centre de communication de l’ONI |
Après avoir arrêté cette nouvelle tentative d’attentat sous
«faux drapeau», dirigée par l'ONI, l’amiral Rogers a
couru en informer le président élu Donald Trump. Depuis lors, le régime Obama
et ses sycophantes propagandistes des médias sont tombés à bras raccourcis sur
lui. Ainsi, ce
commandant militaire très estimé est devenu brusquement la cible de ces médias,
qui réclament sa destitution, que le président Obama est, dit-on, en train d'examiner maintenant.
Cette farce est encore plus choquante lorsque l’on sait que ces
médias le
félicitaient il y a 3 jours, pour ses
déclarations publiques disant qu'un État-nation (Vraisemblablement la Russie)
était responsable du piratage des courriers électroniques secrets d’Hillary
Clinton.
Les raisons réelles derrière la tentative du régime
Obama-Clinton de mettre en scène une autre attaque sous «faux drapeau» contre l’Amérique,
vient de ses craintes que le président
élu Trump ne rassemble autour de lui une «Équipe
nationaliste de rêve», une « dream team », qui pourrait vaincre à jamais les
forces sataniques et tyranniques du mondialisme. Décimées par les dernières
élections, ces élites mondialistes du parti démocrate ne
contrôlent plus que leurs trois "citadelles côtières ", Californie,
New York et Massachusetts, et elles ne disposent plus que d’un tiers des sièges
du Congrès.
Pire encore, ces élites globalistes ne parviennent toujours
pas à réaliser que le président élu Trump a remporté le
vote populaire dans 49 États (sur 50).
Avec le président élu Trump remportant
ces 49 États avec 57,8 millions de voix par rapport aux 55,9 millions de
Clinton, le Washington Post , journal soutenant Obama-Clinton, a
commencé aujourd’hui à falsifier
l'histoire américaine en proclamant que Trump a gagné seulement 14 États .
Ce qui a conduit le très respecté ancien membre du Congrès américain et
candidat à la présidence, Ron Paul, à inclure cet organe de
propagande sur sa
liste de vrais sites de "fausses nouvelles".
D’ailleurs, les géants technologiques les plus importants
d'Amérique protègent ces sites de médias de propagande et de "fausses
nouvelles" d'Obama-Clinton. Ainsi, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg,
a déclaré à son milliard d’utilisateurs: « vous
n’êtes pas capables de décider par vous-même ce qui est une vraie «nouvelle» de
ce qui ne l'est pas, alors nous allons le faire pour vous. »
Et parmi les nombreuses choses qui restent cachées au peuple
américain par ces organes de vraies "fausses nouvelles", il y a les 81,640
pages étonnantes de nouveaux règlements d’Obama-Clinton qui se déchaînent
sur les personnes sans méfiance avant que le président élu Trump ne prenne le
pouvoir, et cela va de pair avec
les 2,4 milliards de dollars de dette supplémentaire qui les accompagnent.
Depuis leur «Citadelles côtières», ces mondialistes
d'élite invitent
maintenant tous les grands stylistes à ne pas faire une robe inaugurale pour la
nouvelle première dame
Melania Trump, tandis que le vice-président élu Mike Pence était
déshonoré et traité honteusement alors
qu’il assistait à un jeu à Broadway avec
sa famille.
Melania Trump |
Les analystes du SVR concluent que seuls des officiers militaires
de la trempe de l’amiral Rogers peuvent sauver les États-Unis de la mainmise de
la cabale mondialiste. Tous les officiels américains connaissent ce serment
unique parmi les nations, qui dit:
«Je jure solennellement que je soutiendrai et défendrai la Constitution des
États-Unis contre tous ennemis, externes ou intérieurs, que je montrerai
loyauté et allégeance à celle-ci, que je prends cette obligation librement,
sans aucune réserve intellectuelle ni esprit de m'en distraire et je vais bien
et loyalement m'acquitter des devoirs de la charge que je m'apprête à prendre.
Que Dieu me vienne en aide. ».
Hannibal GENSÉRIC
Note
[1] L’avion "Doomsday"
est un centre de commandement en vol. Il est capable de maintenir le plein
contrôle sur les forces armées en cas de catastrophe mondiale ou de guerre
nucléaire. Son avantage
principal est sa capacité de survie. Si des objectifs connus avec des coordonnées
terrestres peuvent être détruits par un ennemi, le poste de commandement aérien
est plus compliqué à détruire, car il change constamment de position. Ces
avions sont appelés par les Américains « les avions du jugement dernier »
(the doomsday plane). Leur but est l’organisation des réseaux de
communication dans des conditions absolument inadaptées, quand l'infrastructure
terrestre est soit absente, soit complètement détruite". Les Russes disposent du même type d'avions.
CNN filme l'avion "Doomsday" du 11 septembre 2001- YouTube
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