Le Service de renseignement et du contre-espionnage
militaire allemand, Militärischer Abschirmdienst (MAD) a dévoilé un complot conçu par la chancelière Angela Merkel et l'ancienne
secrétaire d'État Hillary Clinton pour bombarder les cérémonies d'inauguration
du 20 janvier 2017 du président élu Donald Trump et d’en attribuer la responsabilité aux
terroristes islamistes opérant en Syrie. Un autre cas classique d'attentat sous faux drapeau : les commanditaires restent cachés, les exécutants kamikazes sont toujours les mêmes ânes bâtés, les islamistes.
Dès la
découverte de ce complot par le Service des Renseignements Extérieurs russe (SVR), le
vice-ministre des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov en a immédiatement informé
l'équipe de Trump aujourd’hui, 30 novembre à 12h35 (heure de Moscou, soit GMT +
3). Cependant, Bogdanov s’est contenté de déclarer publiquement : «Ce sont différentes personnes que nous
connaissons depuis longtemps déjà».
Alors que le président élu Trump préfère une
coordination américano-russe pour lutter contre le terrorisme, Merkel et Clinton
y ont été, depuis toujours, opposées. Trump peut compter sur le soutien des chefs
d'état-major interarmées du Pentagone pour ce rapprochement entre les forces militaires américaines et russes. D'ailleurs, ce
personnel du Pentagone, très haut placé, a indirectement fourni aux
militaires syriens des informations sur les extrémistes islamistes via la
Russie dans leur crainte que, si le régime d’Obama-Clinton réussit à évincer
Bachar al-Assad, cela engendrerait le chaos total en Syrie, au Moyen-Orient et
pourrait déclencher la guerre mondiale III.
Avec le soutien de Mme Merkel et de Clinton pour
l'avènement d'un
nouvel ordre mondial féminin, les analystes militaires allemands de MAD se sont
alarmés lorsque la chancelière Merkel a ordonné au ministère fédéral de
l'Environnement (BMUB) de transférer
4,5 millions d'euros à l'organisation
internationale de blanchiment de capitaux connue sous le nom de la Fondation
Clinton, à peine 5
semaines avant les élections présidentielles américaines du 8 novembre. [1]
Dans le cadre de leur enquête sur le transfert par
Merkel de cet argent à la Clinton, les enquêteurs militaires de MAD ont découvert
que ce paiement illégal avait été «approuvé comme
légal» par un fonctionnaire de l'Office fédéral pour la protection des
Constitution (BfV).
Or, ce fonctionnaire du BfV qui a illégalement approuvé ce
transfert des fonds du BMUB à la Fondation Clinton, n'avait été
employé au ministère que depuis avril 2016. Avant cela, il était employé à la Deutsche Bank. Lorsqu’il travaillait à la Deutsche Bank il
avait autorisé le paiement à la Clinton de 485.000 $, paiement justifié dans le livre comptable de la banque comme «frais de discours».
Pour des raisons qui n'ont pas encore été déterminées, cet ex fonctionnaire de la Deutsche Bank a obtenu une «autorisation de sécurité spéciale» par le bureau
de la chancelière Merkel, et qui, en plus, l’a infiltré dans le BfV. Mais les agents de
renseignement militaire du MAD l’ont constamment surveillé.
C’est ainsi qu’ils ont découvert que cet individu
avait des communications secrètes avec les terroristes islamistes, et ont découvert que ces
derniers projetaient aussi de bombarder le quartier général
du BfV.
Bien que les détails exacts de ce monstrueux complot Clinton-Merkel-Deutsche Bank
ne soient pas divulgués, les analystes russes du
renseignement signalent cependant que les attaques terroristes prévues comprennent
non seulement le siège du BfV, mais aussi les cérémonies d'inauguration prévues
pour le 20 janvier 2017 à Washington DC, lorsque le président élu Trump devrait
prendre le pouvoir.
Actuellement, cet espion terroriste
de Clinton-Merkel est
maintenant en détention et il a été remis
au bureau du procureur de Düsseldorf. Il aurait déjà
fait une «confession partielle» pour ses nombreux crimes, et cela
devrait inclure la tentative d'assassinat d'un président américain.
Angela Merkel, pilier d’un complot européen anti-Trump, avec l’apport financier de George Soros
Certaines forces
aux États-Unis confèrent un rôle spécial à l’Allemagne et surtout à sa
chancelière Angela Merkel dans la lutte contre le nouveau président américain
Donald Trump, d’après l’ex-secrétaire d’État allemand à la défense Willy
Wimmer.
Pour certains
hommes politiques américains, la chancelière allemande Angela Merkel est le
« dernier pilier de la résistance au nouveau président américain Donald
Trump » en Europe, a déclaré vendredi, à Sputnik, Willy Wimmer,
ex-vice-président de l’OSCE et ancien secrétaire d’État allemand à la défense.
« Je
suis prêt à souscrire aux propos émis par un professeur américain dans une
interview au journal Süddeutsche Zeitung. Ce professeur Davis a fait partie de
l’équipe des conseillers d’Hillary Clinton pendant sa campagne électorale. Il a
clairement indiqué que beaucoup dépend actuellement de l’ingérence allemande
dans les affaires intérieures des États-Unis. Selon lui, Mme Merkel joue
le rôle du "dernier pilier de la résistance au nouveau président américain
Donald Trump" », a indiqué M. Wimmer.
Selon
M. Wimmer, il existe un « complot » anti-Trump aux
États-Unis et en Europe et l’Allemagne s’y voit réserver une place de choix. Ce
n’est pas par hasard que le président américain sortant Barack Obama, en
tournée en Europe, a préféré se rendre à Berlin pour rencontrer Angela Merkel
au lieu d’aller à Bruxelles, la capitale de l’Union européenne.
« Nous
voyons que l’Amérique est gouvernée par des forces qui s’accrochent au pouvoir
malgré l’élection d’un nouveau président et poursuivent leur politique
présentant un danger pour le monde entier (…). Une sorte d’"establishment
militaire" des démocrates et républicains s’est formé à Washington. Ils
font tout pour passer des menottes virtuelles aux mains du président et lui
faire comprendre qu’il ne pourra pas changer la politique belliqueuse des
dernières années qui a pris forme sous la présidence Obama », a
déclaré l’expert. Selon M.Wimmer, le milliardaire George Soros « et ses
amis ne cachent pas qu’ils débloqueront des fonds considérables pour lutter
contre le président élu des États-Unis ».
« Cela
rappelle une "politique collective" qu’on n’a pas vue depuis 1945. Il
est clair que l’Allemagne y participe très activement, puisque le New York
Times en a déjà parlé : "Mme Merkel est l’élément central de la
résistance à M. Trump" (…). Si on analyse les déclarations faites la
semaine dernière par Mme Merkel à propos de la présidentielle américaine,
on comprend qu’elle est prête à jouer ce rôle », a noté l’expert.
NOTES
[1] Le contribuable allemand a versé 2,4 M EUR à la Fondation
Clinton sans le savoir
Les
contribuables allemands s'avèrent avoir versé plus de deux millions d'euros à
la Fondation Clinton. Seul problème: personne n'était au courant de cette
contribution, pas plus qu'on ne sait à quoi servira cet argent. Le député du
Bundestag Niema Movassat, s'est attaqué à cette question. De 2013 à mai 2016,
l'organisation gouvernementale allemande Société de la coopération internationale
(GIZ) a investi 2,4 millions d'euros dans la Fondation Clinton, une somme qui
provient des poches du contribuable. La société allemande a-t-elle financé la
campagne électorale d'Hillary Clinton ? Le timing semble étrangement
correspondre… La GIZ a indiqué dans un communiqué de presse que les fonds en
question ont été engloutis, après avoir transité par la Fondation Clinton, par
divers projets au Malawi. Le député du Bundestag Niema Movassat, membre de Die
Linke (La Gauche) et du Comité de la coopération économique, a interrogé le
gouvernement afin de savoir à quoi avaient servi les fonds. « A quelles fins
la Société allemande de la coopération internationale (GIZ) a-t-elle versé des
fonds à la Fondation Clinton ? Veuillez les énumérer en fonction de la somme,
du type de soutien, de l'objectif, de la période. Est-ce que le gouvernement
fédéral peut exclure la possibilité que ces fonds aient été utilisés en tant
que financement de la campagne électorale ? », a écrit le député. Le
gouvernement allemand a une semaine pour donner sa réponse.
La
situation éveille donc de grands soupçons alors que les institutions
gouvernementales allemandes ne devraient pas s'impliquer pas dans les combats
électoraux à l'étranger, estime Niema Movassat. « Les fonds des
contribuables sont dépensés pour une fondation privée d'un acteur politique
actif — la GIZ doit comprendre de quoi il s'agit ! Et de plus il y a d'autres
organisations chargées de tâches similaires, par exemple, les fonds de l'Onu
dans lesquelles on pouvait investir plus utilement ». « Je crois qu'il
serait plus juste que les institutions gouvernementales allemandes ne
s'impliquent pas dans les combats électoraux dans d'autres pays et n'agissent
en faveur de personne », poursuit le député. « Il est bien notoire que
Mme Clinton, en tant que secrétaire d'État, a été médiatrice lors des contrats
de livraison d'armes et ensuite recevait des dons des groupes militaro-industriels.
Ou un autre exemple : elle avait des contacts avec un prince héritier
bahreïnien et a reçu à la clé un don de 32 millions de dollars du Bahreïn ».