vendredi 25 novembre 2016

Trump fait appel à une armée privée pour contrer les tentatives de coup d’état d’Obama-Clinton



Un important mouvement d’avions, impliquant jusqu'à 70 avions de transport, détenus ou loués par la société américaine Frontier Services Group (FSG) se déroule en ce moment aux Émirats Arabes Unis. Ces avions, chargés d’hommes et d’armes,  ont pour destination les États-Unis. Ces mercenaires appartiennent à l'une des armées privées les plus puissantes du monde. Cette armée de mercenaires est gérée par Reflex Responses Management Consultancy (RRMC). La Russie considère que ces mouvements annoncent, peut-être, le début d'une seconde guerre civile américaine.

Il est important de noter que ces deux entreprises, FSG et RRMC, appartiennent à Erik Prince, qui n'est pas seulement l'un des experts reconnus dans le monde pour créer des armées privées, mais c’est aussi un fidèle partisan du président élu Donald Trump. La sœur d’Erik, Betsy DeVos, a été nommée récemment par Trump pour devenir son nouveau chef d'administration dans le démantèlement de tous les centres d'endoctrinement mondialiste américains qualifiés d '«écoles».
Erik Prince, qui a fondé, en 1997, la compagnie militaire privée américaine Blackwater USA (qui a changé de nom pour devenir XE Services puis Academi), était aussi un membre caché d'un groupe de travail de la CIA chargé de liquider les chefs islamistes terroristes  récalcitrants, c’est-à-dire ceux qui refusent d’obéir au doigt et à l’œil à la CIA. Par exemple, ce groupe essaie de liquider les chefs talibans, mais ne touche pas à un poil de la barbe d’un chef de Daech. Au contraire, nous avons vu comment la CIA et le Pentagone les aident à sortir des situations désespérées lorsqu’ils sont encerclés et sur le point d’être exterminés (Ramadi, Mossoul, Alep , etc.) [1].
Dès l'arrivée au pouvoir du régime Obama-Clinton en 2009, Erik Prince a été chassé de la CIA par Hillary Clinton alors que sa compagnie, Blackwater USA, était victime d'attaques féroces de la part des médias américains. C’est pour cela qu’en 2010, il a déménagé à Abu Dhabi, capitale des Émirats arabes unis, où il a pris résidence dans l'une des premières villas de luxe construites au Trump International Golf Club.
Erik Prince, ancien US Navy SEAL
et chef de l'armée privée
du président élu Donald Trump
Pour comprendre pleinement pourquoi le président des EAU a financé la création de cette «armée secrète» d'Erik Prince, il faut savoir qu’il y avait, dans ce pays, un sérieux conflit entre deux milliardaires et leurs entreprises : Hussain Sajwani, président et fondateur du DAMAC Group, et Khalaf Al Habtoor, fondateur du Al Habtoor Group.
La guerre qui a éclaté entre ces deux milliardaires, entrepreneurs en bâtiment, vient du fait que M. Al Habtoor finance secrètement les terroristes de l'État islamique (ISIS / Daesh), comme le font d’'autres cheiks arabes. Pour être couverts par Hillary Clinton, Al Habtoor et les autres financiers de Daech lui versaient des dessous de table conséquents, devenant ainsi parmi les plus importants donateurs de sa campagne électorale et de son usine de blanchiment d'argent, la Fondation Clinton.
Quant à M. Sajwani, qui est un partenaire d'affaires du président élu Trump, il est alarmé par le financement par M. Al Habtoor des terroristes daéchiens et a contacté Trump plus tôt cette année en expliquant l'ampleur de ce complot impliquant Hillary Clinton et une multitude de cheikhs arabes. C’est à la suite de cela que Trump a appelé à interdire l’entrée des musulmans intégristes aux États-Unis. M. Al Habtoor a répondu à cette interdiction en déclarant que « si Trump est élu,  les Émirats Arabes Unis retireraient des milliards d'investissements hors de l'Amérique ».
Al Habtoor Group détient la 6e plus grande réserve de gaz naturel au monde, il voudrait donc installer un gazoduc traversant l’Irak et la Syrie afin d’exporter son gaz vers l’Europe. Mais les gouvernements syrien et irakien préfèrent travailler avec l’Iran, et s’opposent donc à ce projet. C’est pour cette raison que le plan directeur de M. Al Habtoor consiste à détruire ces États, en collaboration avec l’Axe du Mal des Mondialistes. Avec l’intervention militaire russe qui est en train de défaire leur force de frappe formée de terroristes islamistes, la seule solution qui reste au clan Al Habtoor-Clinton-Daech serait de provoquer une troisième guerre mondiale.
Avec l'entreprise privée du président élu Trump qui envisage de construire encore plus d'hôtels à travers le Moyen-Orient (Dubaï, Abu Dhabi, Qatar et Arabie saoudite), l'aversion du nouveau leader américain pour une troisième guerre mondiale n'est pas justifiée par son intérêt personnel. Il préfère dépenser les centaines de milliards de dollars aux États-Unis au lieu de les dépenser inutilement dans des guerres dévastatrices et qui ne sont profitables qu’aux élites de la mondialisation.
Aujourd’hui , les opposants au  président-élu Trump, ces mondialistes qui soutiennent Hillary Clinton, réclament non seulement un nouveau décompte du vote perdu par elle, mais ils essaient aussi de voler les élections en terrorisant les grands électeurs qui vont se réunir le 19 décembre pour élire officiellement Trump comme président des États-Unis.
Durant des décennies, l’appareil médiatique de propagande des élitistes mondialistes a caché au peuple noir américain le véritable génocide organisé contre lui. L’effondrement en cours de cet appareil de propagande va avoir pour conséquence d’exposer aux Américains l’une des méthodes sournoises de ce génocide organisé, comme l'atteste l'un des meilleurs artistes noirs de la planète nommé Nick Cannon, qui a commencé à dire aux gens de sa race ce qui est fait contre eux.
Pour mesurer le succès de cette organisation d'extermination de la population noire, «Planned Parenthood», les experts de l'organisation américaine Black Genocide Organization rapportent que depuis 1973, plus de 15 millions de bébés noirs aux États-Unis ont été assassinés.
Ce qui précède explique, en partie, pourquoi le président élu Trump avait appelé ses concitoyens américains noirs à voter pour lui en leur disant : «qu'est-ce que vous avez à perdre», sous-entendu après tout ce que Hillary et son organisation vous ont fait subir depuis si longtemps.
En conclusion, le mouvement soudain de l'armée privée d'Eric Prince à l'appui de Trump sonne le glas des tentatives des élites mondialistes pour provoquer une guerre civile, pour perpétrer un méga attentat sous faux drapeau, ou pour saboter la prise de fonctions de Trump. Ces élites savent que la destruction par Trump de leur Parti Démocrate corrompu jusqu’à la moelle vient de commencer, et que , contrairement à ce que racontent les médias, la masse du peuple noir est avec Trump, et non pas avec les gens qui essaient de l’exterminer. 
 

D'autre part,  deux millions de motards patriotes prévoient d'arriver à Washington D.C. avant le 20 janvier 2017. Les motards patriotes se portent volontaires pour assister à l'inauguration du président-élu Donald Trump pour améliorer la sécurité pendant l'événement.Les motards ont déclaré vouloir contrecarrer les efforts de «libtards» (pour désigner les mondialistes stupides) pour ruiner l'inauguration de Donald Trump.
Ces militants "libéraux" ont lancé le «DisruptJ20» pour entraver l'assermentation de Trump par pratiquement tous les moyens possibles.  

Le groupe des motards pour Trump, se faisant appeler "Guardians of Our Republic", est prêt à intervenir et à offrir une protection aux millions d'Américains fiers qui prévoient de venir à la capitale pour voir le 45e président des États-Unis prêter serment.Ces "libtards" doivent être empêchés de faire des des dégâts. Ce n'est pas seulement un événement de motards, mais c'est surtout un événement de soutien à Trump. "Nous sommes nombreux et divers, blancs, noirs, chicanos, indiens, mais nous nous unissons comme un seul homme",  déclarent ces motards hardiment.



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