lundi 21 novembre 2016

Le patron de l'espionnage américain déjoue un méga attentat sous "Faux Drapeau" et court avertir Trump



Un étonnant rapport du Service de renseignement étranger (SVR) circulant au Kremlin aujourd'hui 20/11 affirme que l'amiral de la marine américaine Mike Rogers, qui dirige à la fois l’Agence nationale de sécurité (NSA) et la United States Cyber Command (USCYBERCOM), et qui est aussi le chef du Service central de sécurité (CSS), a fui à New York, le jeudi (17 novembre), et demandé une réunion urgente au président élu Donald Trump quelques heures seulement après qu’il ait fait avorter le vol non autorisé de l'un des super avions américains, dit du "Jour du Jugement Dernier " [1].
Le même procédé avait été utilisé lors des attentats sous faux drapeau du 11/9/2001, avec les mêmes "têtes pesantes" au sein de Navy. 
Un tel attentat provoquerait un gigantesque choc émotionnel en Amérique, à tel point que les instigateurs de cet attentat, c'est à dire les élites mondialistes actuellement au pouvoir, pourraient  installer l'état d'urgence, voire même l'état de siège, et remettraient en cause l'élection de Trump. 
Mais pour le moment, c'est raté.

Le 16 novembre, le ministère russe de la Défense a demandé une assistance urgente du SVR concernant le décollage de la base aérienne californienne de Travis (TAFB), d’un Boeing E-6 Mercury de la Navy. Cet avion est un poste de commandement aéroporté, connu sous le nom d'«Avion Doomsday», et dont l'indicatif radio est «IRON99», et dont la destination n'a pas pu être déterminée.
Le nouvel héros américain
Amiral Mike Rogers
Or, les vols de ces types d'avions «du jour du jugement dernier» sont strictement régis selon des procédures, des protocoles et des lignes directrices définis dans le Traité de réduction des armements stratégiques (New START) signé entre la Fédération de Russie et les États-Unis, et qui a pris effet le 5 février 2011. Donc le vol de cet «avion IRON99» est une violation flagrante de ce traité, du fait que les États-Unis n'avaient pas notifié au ministère russe de la Défense le statut exact de la mission.
Après avoir été informé par le ministère de la Défense de cette grave violation du traité START, comparable à une «menace de guerre» par le régime Obama, le Directeur du SVR, Sergey Naryshkin, a contacté son homologue américain, l’amiral  Mike Rogers. Bien que le détail exact de leur conversation soit secret, on sait qu'aussitôt après ce contact entre le directeur Naryshkin et l'amiral Rogers, le vol de cet "avion du jugement dernier" a été stoppé au-dessus de Denver, Colorado, où il a été placé en position d'attente, avec l’éventualité de revenir vers sa base de départ, de Travis Air Force.

 Vol de l'avion "Doomsday" au-dessus de Denver
Le fait que la marine américaine ait ordonné secrètement à cet avion de prendre le vol est très alarmant, sachant que l'Office Américain du Renseignement Naval (ONI) a été précédemment impliqué dans l’attentat sous faux drapeau du 11/9/ 2001 en tant que « maître d’œuvre de cet attentat ». Pour stopper les conspirateurs de l’ONI dans ces attentats du 11/9, les autorités légales américaines ont du lancer, à l’époque, un missile de croisière qui a détruit le centre de communication de l’ONI au sein du Pentagone

Vidéo expliquant l'implication de l'ONI comme tête pensante des attentats sous faux drapeau du 11/9/2001.

Première photo prise du Pentagone le 11 septembre 2001
après la destruction, par un missile de croisière,
du Centre de communication de l’ONI
Après avoir arrêté cette nouvelle tentative d’attentat sous «faux drapeau», dirigée par l'ONI, l’amiral Rogers a couru en informer le président élu Donald Trump. Depuis lors, le régime Obama et ses sycophantes propagandistes des médias sont tombés à bras raccourcis sur lui. Ainsi, ce commandant militaire très estimé est devenu brusquement la cible de ces médias, qui réclament sa destitution, que le président Obama est, dit-on,  en train d'examiner maintenant.
Les raisons réelles derrière la tentative du régime Obama-Clinton de mettre en scène une autre attaque sous «faux drapeau» contre l’Amérique, vient de  ses craintes que le président élu Trump ne rassemble autour de lui une «Équipe nationaliste de rêve», une « dream team », qui pourrait vaincre à jamais les forces sataniques et tyranniques du mondialisme. Décimées par les dernières élections, ces élites mondialistes du parti démocrate ne contrôlent plus que leurs trois "citadelles côtières ", Californie, New York et Massachusetts, et elles ne disposent plus que d’un tiers des sièges du Congrès.
Pire encore, ces élites globalistes ne parviennent toujours pas à réaliser que le président élu Trump a remporté le vote populaire dans 49 États (sur 50).
Avec le président élu Trump remportant ces 49 États avec 57,8 millions de voix par rapport aux 55,9 millions de Clinton, le Washington Post , journal soutenant Obama-Clinton, a commencé aujourd’hui à falsifier l'histoire américaine en proclamant que Trump a gagné seulement 14 États . Ce qui a conduit le très respecté ancien membre du Congrès américain et candidat à la présidence, Ron Paul, à inclure cet organe de propagande sur sa liste de vrais sites de "fausses nouvelles".  
D’ailleurs, les géants technologiques les plus importants d'Amérique protègent ces sites de médias de propagande et de "fausses nouvelles" d'Obama-Clinton. Ainsi, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré à son milliard d’utilisateurs: « vous n’êtes pas capables de décider par vous-même ce qui est une vraie «nouvelle» de ce qui ne l'est pas, alors nous allons le faire pour vous. »
Et parmi les nombreuses choses qui restent cachées au peuple américain par ces organes de vraies "fausses nouvelles", il y a les 81,640 pages étonnantes de nouveaux règlements d’Obama-Clinton qui se déchaînent sur les personnes sans méfiance avant que le président élu Trump ne prenne le pouvoir, et cela va de pair avec les 2,4 milliards de dollars de dette supplémentaire qui les accompagnent.
 
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Melania Trump
Les analystes du SVR concluent que seuls des officiers militaires de la trempe de l’amiral Rogers peuvent sauver les États-Unis de la mainmise de la cabale mondialiste. Tous les officiels américains connaissent ce serment unique parmi les nations,  qui dit: «Je jure solennellement que je soutiendrai et défendrai la Constitution des États-Unis contre tous ennemis, externes ou intérieurs, que je montrerai loyauté et allégeance à celle-ci, que je prends cette obligation librement, sans aucune réserve intellectuelle ni esprit de m'en distraire et je vais bien et loyalement m'acquitter des devoirs de la charge que je m'apprête à prendre. Que Dieu me vienne en aide. ».
 Hannibal GENSÉRIC

Note

[1] L’avion "Doomsday" est un centre de commandement en vol. Il est capable de maintenir le plein contrôle sur les forces armées en cas de catastrophe mondiale ou de guerre nucléaire. Son avantage principal est sa capacité de survie. Si des objectifs connus avec des coordonnées terrestres peuvent être détruits par un ennemi, le poste de commandement aérien est plus compliqué à détruire, car il change constamment de position. Ces avions sont appelés par les Américains « les avions du jugement dernier » (the doomsday plane). Leur but est l’organisation des réseaux de communication dans des conditions absolument inadaptées, quand l'infrastructure terrestre est soit absente, soit complètement détruite". Les Russes disposent du même type d'avions.

CNN filme l'avion "Doomsday" du 11 septembre 2001- YouTube



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