Une plainte a été déposée contre la
fille de l’ex-roi Salman qui a fait rouer de coups un homme qui
effectuait des travaux dans son appartement.
« Il faut le tuer, ce chien, il ne mérite pas de vivre », s’est emportée la descendante des fondateurs du royaume d’Arabie saoudite à l’encontre d’un artisan parisien venu effectuer des travaux dans son appartement de l’avenue Foch à Paris,
dans le 16e arrondissement. Selon le récit circonstancié de la victime,
établi devant les gardiens de la paix, alors qu’il prenait une photo de
la pièce où il devait intervenir, la princesse a fait héler son garde
du corps armé.
Les gorilles étrangers sont en effet autorisés à porter une arme par
le ministère de l’Intérieur, alors que cela est interdit aux
professionnels de la sécurité privée de nationalité française, sauf
rares exceptions.
En dépit des explications de l’artisan – il a l’habitude de prendre
des clichés avant travaux afin de remettre les objets et meubles à la
même place –, le cerbère l’empoigne. Il est accusé de réaliser des
photos afin de les revendre à des journalistes.
Tenu en joue
L’homme de main de la princesse lui assène un coup de poing sur la
tempe avant de lui ligoter les mains. Zélé, le garde du corps ordonne à
l’artisan de s’agenouiller et de baiser les pieds de la princesse.
Récalcitrant, il est alors mis en joue. Selon les policiers qui ont
recueilli le témoignage de la victime, les traces de coups étaient
encore visibles au moment où il se confiait aux forces de l’ordre.
L’artisan affirme que son calvaire a duré près de quatre heures, avant
qu’un troisième larron n’intervienne : il réalise une photocopie de sa
carte d’identité et lui enjoint de partir en lui interdisant « l’accès
au 16e arrondissement à jamais » !
Malgré l’adversité, le petit artisan a demandé à être payé et a
présenté sa facture de 20 000 euros. En vain. Et les Saoudiens ont
conservé son matériel.
Les mauvais traitements au personnel sont réguliers parmi les riches
familles du Golfe, certaines d’entre elles bénéficiant en plus de
l’immunité diplomatique. Cela rend aléatoire toute tentative de
poursuite judiciaire. À ce stade, le parquet de Paris n’a pas fait
connaître la suite qu’il entendait donner à cette plainte.
Un simple fait divers – mais tellement illustratif de notre époque…Vous imaginez si ça avait été la belle fille de Poutine ?
Source : Le Point, Aziz Zemouri, 04-10-2016
L’Ambassadeur saoudien aux USA: "frapper le Yémen ,c’est comme frapper sa femme "
Si le délit de "sale gueule" existe alors ce Saoudien en est le prototype |
L’ambassadeur
de l’Arabie-saoudite aux États-Unis, Abdallah ben Faysal a comparé
l’agression barbare de l’alliance saoudienne contre le Yémen, "comme le
mari qui frappe sa femme " a rapporté la chaine satellitaire iranienne
alAlam.
Interrogé par un journaliste sur l’utilisation des bombes à
fragmentation dans la guerre contre le Yémen et sur la nécessité de
mettre un terme à cette agression, Abdallah ben Faysal a répondu sans
aucun scrupules: "Est-ce que vous abandonneriez votre droit de frapper
votre femme? !!! ".
Et pour éviter de répondre aux questions
embarrassantes des journalistes concernant les causes réelles de
l’agression saoudienne au Yémen, il a ajouté : "finalement, je ne suis
pas un homme politique ".
Comme dit l'adage saoudien "bats ta femme tous les matins, si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait."
Dans cet adage, le terme "femme" inclue toutes les mammifères femelles de la smala : les esclaves , les chamelles, les chèvres , les brebis, les épouses, et les filles.
Ne sont-ils pas exemplaires les Gardiens des Lieux Saints de l'Islam ? Qui a envie de se proclamer musulman aux côtés de ces dégénérés ?
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- Hannibal GENSERIC