dimanche 13 novembre 2016

USA. Les Clintons et Soros lancent la révolution pourpre



Après sa défaite cinglante, Hillary Rodham Clinton n'est pas prête à partir «couler une retraite  tranquille». Le lendemain de sa défaite étonnante et imprévue (pour les médias officiels) face à Donald Trump, Mme Clinton et son mari, l'ancien président Bill Clinton, sont entrés dans la salle de bal de l'hôtel artdéco new-yorkais dans le centre de Manhattan et ont été décorés en tenue pourpre. La presse a immédiatement remarqué la couleur et a demandé ce qu'elle représentait. Les porte-parole de Clinton ont affirmé que c'était pour représenter le rassemblement de la «Amérique bleue» démocrate et de l’«Amérique rouge» républicaine, dans un mélange pourpre uni. Cette déclaration est une ruse,  comme le savent les citoyens des pays ciblés dans le passé par les opérations politiques viles et criminelles de George Soros - le magnat du fonds spéculatif international - ,  appelées « révolution de couleur » ou « printemps arabe ». 
Les Clintons, qui ont reçu de Soros des millions de dollars en contributions de campagne et en donations à la Fondation Clinton, ont en fait aidé à lancer la «révolution pourpre» de Soros en Amérique. La Révolution Pourpre résistera à tous les efforts de l'administration Trump consistant à rejeter la politique mondialiste des Clintons et (de bientôt) l'ex-président Barack Obama. La Révolution pourpre cherchera également écourter au maximum l'administration Trump grâce à des manifestations de rue et de perturbations politiques de style Soros.
Il est douteux que les collaborateurs du président Trump pousseront le nouveau président à mener une enquête criminelle sur les serveurs privés de messagerie de Mme Clinton et sur les activités de la Fondation Clinton, surtout lorsque la nation est confrontée à tant d'autres problèmes pressants, emplois, immigration et soins de santé.
Champ chromatique des pourpres selon AFNOR X08-010 (couleurs saturées) 
700 -494 -497 -499 -503 -508 -525 -542 -549 -556 -560 -563 400
← rouge rouge-pourpre pourpre-rouge pourpre pourpre-violet violet-pourpre violet →
Toutefois, Jason Chaffetz, président du Comité de surveillance et de réforme gouvernementale de la Chambre, a déclaré qu'il poursuivrait les audiences du Congrès républicain sur Hillary Clinton, sur la Fondation Clinton et sur le bras droit de Mme Clinton, Huma Abedin
Le président Trump ne devrait pas se laisser distraire par ces efforts. 
Chaffetz n'était pas un des partisans les plus fidèles de Trump.
Les mondialistes et les interventionnistes américains  ne se bousculent au portillon de Trump, car ces «experts» militaires, d'establishment et de sécurité nationale se sont opposés à la candidature de Trump. Cependant, Trump est «obligé» d’en appeler quelques uns à se joindre à son administration parce qu'il n'y a pas assez d'experts dans son cercle de conseillers.
Les néo-conservateurs discrédités datant de la Maison Blanche de George W. Bush, comme le conspirateur de la guerre d'Irak, Stephen Hadley, sont mentionnés comme pouvant rejoindre Trump pour le Conseil de Sécurité Nationale et d'autres postes supérieurs. Le secrétaire d'État sous George H. W. Bush, James Baker, un fidèle loyaliste de Bush, est également présenté comme membre de l'équipe de Trump à la Maison Blanche. Il n'y a absolument aucune raison pour que Trump demande les conseils de ces vieux fossiles républicains comme Baker, Hadley, ou bien les anciens secrétaires d'État Rice et le super menteur Powell, ou bien encore l'ancien ambassadeur des États-Unis, John Bolton et d'autres. Il y a beaucoup de partisans de Trump qui ont une riche expérience dans les questions de sécurité nationale et étrangère, y compris ceux d'origine africaine, haïtienne, hispanique et arabe, et qui ne sont pas des néoconservateurs, qui peuvent occuper les postes de haut niveau et de niveau intermédiaire de Trump.
Trump doit s'éloigner des néocons, des aventuristes, des militaristes et des interventionnistes, il doit être  soucieux de ne pas laisser infester son administration
Si Mme Clinton avait remporté la présidence, un article sur l'administration entrante serait comme suit:
«Sur la base du militarisme et de l'aventurisme à l’étranger de son mandat de secrétaire d'État et de son mari Bill Clinton en tant que président, tout le monde s’attend à une imminente et importante agression militaire américaine sur plusieurs fronts dans le monde. La présidente élue Hillary Clinton n'a pas caché son désir d'affronter la Russie militairement, diplomatiquement et économiquement au Moyen-Orient, aux portes mêmes de la Russie en Europe de l'Est, et même à l'intérieur des frontières de la Fédération de Russie. Mme Clinton a dépoussiéré la politique de «confinement» longtemps discréditée mise en vigueur par le professeur George F. Kennan dans les suites de la guerre mondiale. L'administration de Mme Clinton favorisera probablement les guerriers néo-froids les plus stridents de l'administration Barack Obama, y compris la secrétaire d'État adjointe pour les affaires européennes et eurasiennes, Victoria Nuland, (la dame qui encule les Européens) la favorite de Clinton ».
Le président élu Trump ne peut pas permettre à ceux qui sont dans le même tissu que Nuland, Hadley, Bolton et d'autres de rejoindre son administration qu’ils pourraient métastaser comme une forme agressive de cancer.  
Ces individus ne mèneraient pas la politique de Trump mais chercheraient à continuer à endommager les relations de l'Amérique avec la Russie, la Chine, l'Iran, Cuba et d'autres nations.
Non seulement Trump doit se méfier comme de la peste bubonique des néo-conservateurs républicains qui tentent de s'introduire dans son administration, mais il doit faire face à la tentative de Soros de perturber à la fois sa présidence et les États-Unis par une révolution pourpre.
A peine Trump a-t-il été déclaré le 45e président des États-Unis, que les opérations politiques financées par Soros ont lancé leurs activités pour perturber Trump pendant la période de transition d'Obama et par la suite. La rapidité de la Révolution pourpre rappelle la vitesse avec laquelle les manifestants ont frappé les rues de Kiev, la capitale ukrainienne, dans deux révolutions Orange parrainé par Soros, l'une en 2004 et l'autre, dix ans plus tard, en 2014.
 clintons
Alors que les Clintons embrassaient le pourpre à New York, des manifestations de rue, certaines violentes, toutes coordonnées par Moveon.org et «Black Lives Matter», financées par Soros, éclataient à New York, Los Angeles, Chicago, Oakland, Nashville, Cleveland, Washington, Austin, Seattle, Philadelphie, Richmond, St. Paul, Kansas City, Omaha, San Francisco et quelque 200 autres villes à travers les États-Unis.
Le groupe de chanteurs russes «Pussy Riot», financé par Soros, a diffusé sur YouTube une vidéo musicale anti-Trump intitulée «Make America Great Again». La vidéo est devenue «virale» sur Internet. La vidéo, qui est sacrilège et remplie d'actes violents, dépeint une présidence dystophique de Trump. Après le script de George Soros / Gene Sharp sur un tee-shirt, Nadya Tolokonnikova, membre des Pussy Riot a appelé les Américains anti-Trump à transformer leur colère en art, en particulier la musique et l'art visuel. L'utilisation du graffiti politique est une tactique populaire de Sharp. Les manifestations de rue et la musique et l'art anti-Trump furent la première phase de la Révolution pourpre de Soros en Amérique.
Le président élu Trump est confronté à une double attaque de ses adversaires.  
Le premier front  est dirigé par des bureaucrates néoconservateurs, y compris l'ancien directeur de l'Agence centrale de renseignement et de la sécurité nationale Michael Hayden, l'ancien secrétaire à la Sécurité intérieure Michael Chertoff et les loyalistes de la famille Bush, qui cherchent à déterminer qui Trump nommera comme chefs à la Sécurité Nationale, au Renseignement, à la politique étrangère et à la défense dans son administration. Ces néo de la guerre froide tentent de convaincre Trump qu'il doit maintenir l'agressivité et le militantisme d'Obama envers la Russie, la Chine, l'Iran, le Venezuela, Cuba et d'autres pays.  
Le second front provient des groupes politiques et des médias financés par Soros. Cette deuxième ligne d'attaque est une guerre de propagande, utilisant des centaines de journaux anti-Trump, des sites Web et des radiodiffuseurs, qui cherchent à saper la confiance du public dans l'administration Trump dès son début.
L'une des publicités politiques de Trump, publiée juste avant le jour du scrutin, a déclaré que George Soros, la présidente de la Réserve fédérale, Janet Yellen, et Lloyd Blankfein, directeur général de Goldman Sachs, faisaient tous partie d'une « structure de pouvoir mondiale responsable des décisions économiques qui ont volé notre classe ouvrière, dépouillé notre pays de sa richesse et mis cet argent dans les poches d'une poignée de grandes sociétés et entités politiques ». Soros et ses serviteurs attaquèrent immédiatement et ridiculement l'annonce comme "antisémite" !!!!
Le fils de Soros, Alexandre Soros, a appelé la fille de Trump, Ivanka, et son mari Jared Kushner, à désavouer publiquement Trump.  
La tactique de Soros ne vise pas seulement à diviser les nations, mais aussi les familles. Trump doit être en garde contre les machinations actuelles et futures de George Soros, y compris sa révolution pourpre.
Traduction : Hannibal GENSERIC



WikiLeaks : une organisation financée par George Soros appelle à manifester contre Donald Trump

Dans la correspondance de John Podesta (le chef de campagne de l'Hilarante) dévoilée par WikiLeaks, un échange entre le milliardaire George Soros et le conseiller d’Hillary Clinton évoque le financement de l’organisation MoveOn.org, qui pousse aux manifestations anti-Trump.
Juste après l’annonce des résultats des présidentielles le 9 novembre, la plateforme MoveOn.org, affiliée au milliardaire mondialiste George Soros, a publié un communiqué de presse où les Américains étaient appelés à manifester.
«Les citoyens étasuniens sont invités à se rassembler par centaines afin de participer à des rassemblements pour exprimer solidarité, résistance et convictions face aux résultats des élections. Des centaines d’Américains et des dizaines d’organisations appellent à se réunir de manière pacifique, aux abords de la Maison Blanche et dans les villes et mégalopoles de tout le pays, afin de s’opposer à la misogynie, au racisme, à l’islamophobie et à la xénophobie», lit-on dans le communiqué.
«Ces rassemblements, organisés par MoveOn.org et leurs alliés, serviront à affirmer notre rejet face à l’intolérance, la xénophobie, l’islamophobie et la misogynie de Donald Trump, et à montrer notre détermination à combattre ensemble pour que les États-Unis auxquels nous croyons aient un avenir», poursuivit l’organisation dans son communiqué.
Les relations de George Soros et Donald Trump sont connues pour ne pas être des meilleures. Pendant la campagne présidentielle, George Soros a investi dans la fondation Clinton environ 13 millions de dollars.
Même avant l’annonce des résultats, WikiLeaks avait publié une lettre de John Podesta à George Soros, où était évoqué le financement de MoveOn.org.
«Les groupes qui opèrent sur le terrain ont besoin d’un financement conséquent. Des groupes comme MoveOn.org», y écrivait ainsi John Podesta.

Humeur de crise-26

12 novembre 2016 – Je ne vous cacherai pas que mon humeur est de type-Washington D.C., absolument anarchique, complètement démantibulée et désarticulée, baladée dans tous les sentiments... Pour une humeur, n’est-ce pas, quel drôle de destin ! Je veux dire par là, par ce saisissant raccourci, que cette humeur ne peut être autre qu’à l’image du spectacle que j’observe et interprète, à Washington D.C. et autour de Washington D.C., aux USA même, et puis autour des USA, dans le bloc-BAO, et puis ailleurs encore, devant l’événement en cours à Washington D.C. dont il serait bon de se souvenir qu’il est le centre du principal outil et du principal moteur du Système.
Car ce qui est en jeu, autour de Trump et de sa victoire acclamée comme historique et contestée comme absolument illégitime, c’est la validité et la solidité, la légitimité et l’autorité, l’efficacité et la puissance du “centre-du-centre”, c’est-à-dire du point central de direction et de représentation symbolique du “centre du principal outil et du principal moteur du Système. Est-ce que tous ceux qui se bagarrent, qui s’affrontent, qui pétitionnent, qui échangent de furieuses fureurs, est-ce que tous ceux qui donnent des leçons, qui exigent, qui conseillent avec des pressions significatives, est-ce que tous ceux-là et tant d'autres s’aperçoivent qu’ils sont en train de transformer le “centre-du-centre” en punching-ball ?
Par exemple, tout le monde parle de “révolution de couleur” et de Soros, et par conséquent de regime change. ; à juste titre bien sûr, car on peut toujours compter sur lui (Soros)... Mais réalisent-ils que ce jeu-là, qui aboutit en vérité à la déstabilisation du pays visé ou de l’autorité concernée, n’a de sens que s’il se fait au profit de l’agitateur principal, qui est “le centre-du-centre”, Washington soi-même ; alors qu’ils sont en train de tenter de menacer la structure de “Washington soi-même” à grand coup de “révolution de couleur. Certes, me répondra-t-on, mais Soros hein, vous l’avez dit vous-même, c’est le diable hein, et personne ne sait ce que le diable a derrière les cornes... On n’aura pas tort !
Certes, humeur “anarchique et désarticulée”, parce que d’un côté tout cela est complètement effrayant vous comprenez, car c’est toute la structure des USA qui tient toute la structure du monde qui est en jeu ; parce que, d’un autre côté, eh bien tant mieux au bout du compte si  c’est la meilleure voie à suivre vers mon Delenda Est Systema ! Il y a quelque chose, un colossal “quelque chose” d’effrayant et d’exaltant à la fois, à voir avancer cette entreprise d’autodestruction...
http://www.dedefensa.org/article/humeur-de-crise-26

Comme pour le "Printemps arabe",
les "manifestants américains" sont recrutés
et bien payés pour tout casser

Aux États-Unis, devenir activiste Anti-Trump peut rapporter jusqu’à 2400 dollars par mois

par -
 
Déjà 10 jours avant l’élection, des annonces paraissaient sur Craiglist. Pour 10,50 – 17$, vous pouviez lever des fonds pour des organisations…non, même pas pour Hillary Clinton mais contre Donald Trump.
 trump1
trump2
Désormais, on trouve des annonces dans toutes les grandes villes. A New York, ils recrutent des activistes qui sont rémunérés jusqu’à 2400$ par mois. Eh oui, de nos jours, il faut payer pour que les gens s’indignent pour quelque chose.
trump3.20161114JPGLes annonces précisent qu’il y a des postes à plein temps et mi-temps qui payent jusqu’à 15-22€ de l’heure, ce qui n’est pas négligeable et devrait attirer pas mal de monde puisque aucune compétence particulière n’est demandée si ce n’est le fait de détester Trump.
seattle-paid-manif
Conscience du Peuple a également trouvé cette annonce qui recherche des manifestants « anti-Trump »  pour une manifestation qui a lieu aujourd’hui au Trump National Golf Club, Rancho Palos Verdes en Californie
« L’annonce recrute des manifestants anti-Trump pour un rassemblement prévu le 13 novembre à midi au terrain de golf appartenant à Donald Trump. Les manifestants seront payés 35$ de l’heure, ils doivent s’attendre à être présents pendant au moins 10 heures et ils doivent s’habiller de façon à être très visibles. Un code d’accès, remis via courriel, devra être donné aux organisateurs sur place pour recevoir l’indemnisation. Ceux qui ne peuvent envoyer le courriel à temps pourront rejoindre l’événement habillé en rouge et recevoir une indemnité de 50$ s’ils portent du rouge.
Signé Tyler, du collectif « Fightthepower » »
trump.4 20161114png
On dirait bien que les manifestations sont là pour durer. Après les « printemps arabes », bientôt « l’hiver américain » grassement financé par Soros.