Lors de leur longue
conversation téléphonique , le président Poutine et le président élu Donald
Trump ont conclu un accord, non diffusé au public, stipulant que la Russie a
les mains libres en Syrie, et, en contre partie, elle assure son soutien aux États-Unis
dans la crise
imminente qui éclatera bientôt entre Les États-Unis et la Chine.
En effet, il est de plus en plus probable que la Chine sera l'épicentre de la première crise du président élu Trump, déclenchée par les
inquiétudes chinoises quant à l'impact potentiel des mesures protectionnistes sur
l'excédent commercial de la Chine, à environ 155% du PIB.
Les promesses faites par Trump d'imposer des droits de
douane jusqu'à 45% sur les produits manufacturés chinois menacent d'entraîner
une hausse significative de la fuite des capitaux chinois, alors que la
perspective de mesures visant à modifier le système fiscal américain pour
inciter les entreprises à rapatrier du
cash tirent le dollar vers le haut.
En effet, l’un des principaux soucis de Trump, qu’il a discuté
avec Poutine, a été la stupéfiante perte de 5 millions d'emplois que les
États-Unis ont subis au cours des 16 dernières années, principalement à cause de
l’invasion des produits chinois et de la délocalisation des usines américaines
vers la Chine. Au cours de sa campagne électorale, Trump a déclaré "Les
Chinois dévaluent leur monnaie, ils tuent nos entreprises, nous les laissons
s'en sortir et nous ne pouvons pas les laisser s'en sortir".
Aussi, dès hier, la Chine a
menacé le président élu Trump au sujet de ce qui précède, si jamais Trump ose
imposer ses promesses. Le quotidien quasi officiel, Global Times de Pékin, cite des exemples
de ripostes possibles. "Une commande d’avions Boeing sera remplacée par
Airbus; les ventes d'automobiles et d'iPhone américains subiront un net recul ;
les importations de soja et de maïs seront stoppées. La Chine peut également
limiter le nombre d'étudiants chinois aux États-Unis. ". Le quotidien
chinois continue : "Le nouveau président sera condamné pour son
imprudence, son ignorance et son incompétence, et il en supportera toutes les
conséquences. Nous sommes très méfiants que le scénario de guerre commerciale
soit un piège mis en place par certains médias américains pour renverser le
nouveau président".
De même, Trump aurait dit à Poutine que le Premier ministre
japonais Shinzo Abe a également menacé de se tourner vers la Chine contre les
États-Unis. « Le Japon pourrait se tourner vers un accord commercial
régional avec la Chine si l'impasse sur l'accord du Partenariat Trans-Pacifique
(TPP) n'est pas résolue », a déclaré mardi le Premier ministre
japonais, Shinzo Abe. L'accord
de TTP vise à déréglementer le commerce entre 12 pays signataires qui
représentent 40% de l'économie mondiale.
Se référant à l’Histoire qu’il connaît bien, le président
élu Donald Trump a mis l’accent sur les liens étroits et de longue date entre
les États-Unis et la Russie, liens qui
ont commencé en
1780 et qui ont duré plus de 200 ans. Trump
avait déclaré , lors d’un meeting
électoral : «Hé, regardez, quand j'étais un jeune homme étudiant
l'histoire et étudiant toutes ces choses que j'ai toujours trouvées
fascinantes, une chose que j'ai toujours entendue est que vous ne voulez jamais
faire quelque chose pour unir la Russie et la Chine. Ils sont unis maintenant,
dans un vrai sens, ils n'ont jamais été plus proches, ils vendent du pétrole à
la Chine, c’est nous qui nous les avons forcés dans cette direction. »
Ce qui inquiétait, en
réalité, les Russes, c’est que le régime Obama préconisait et
encourageait secrètement la Chine à envahir la Sibérie. Dans l’esprit
d’Obama et des mondialistes sataniques, cela ferait d’une pierre deux coups :
détruire à la fois la Chine et la Russie, éliminer les populations russes et
chinoises, compter les coups, pour enfin ramasser la mise.
En effet, l'année dernière, le porte-parole
officiel de la propagande d’Obama-Clinton, The New York Times, lâchait le morceau en
écrivant : la
Chine pourrait envahir la Russie pour prendre le contrôle de la Sibérie
orientale, que les mondialistes
Américains affirment appartenir aux Chinois. Le NWT écrit : « «Une
terre sans peuple pour un peuple sans terre». Au tournant du XXe siècle, ce
slogan sioniste encourageait la migration juive vers la Palestine. Il pourrait être
recyclé aujourd'hui, justifiant une prise de contrôle chinoise de la Sibérie.
Bien sûr, l'arrière-pays asiatique de la Russie n'est pas vraiment vide (ni la
Palestine). Mais autant la Sibérie est riche en ressources naturelles et pauvre
en ressources humaines, autant la Chine est l'inverse. Le poids de cette
logique effraie le Kremlin…..La Sibérie - la partie asiatique de la Russie, à
l'est des Monts Oural - est immense. Elle occupe les trois quarts de la masse
terrestre russe, l'équivalent de l'ensemble des États-Unis et de l'Inde mis
ensemble. Il est difficile d'imaginer une si vaste zone changer de mains. Mais
comme en amour, une frontière n'est réelle que si les deux parties y croient.
Et des deux côtés de la frontière sino-russe, cette croyance est vacillante. »
Le plan d’Obama pour convaincre la Chine d’envahir la Russie |
Afin de parvenir à la destruction de la Russie par une
massive invasion chinoise de la Sibérie soutenue par les Américains, le régime
d'Obama a commencé
une énorme accumulation militaire et a tranquillement redéployé
des dizaines de milliers de forces en Asie. Avec l'accumulation
des forces de l’OTAN le long du front
occidental, la Russie est maintenant encerclée. Pour contrer les mouvements
massifs de guerre d'Obama contre la Russie, le président Poutine avait riposté en autorisant
les forces militaires russes à contrer les États-Unis au Moyen-Orient.
Lors de son entretien téléphonique avec Trump, ce dernier lui
a confirmé que les États-Unis
lui donnent carte blanche pour lancer une attaque massive contre TOUS les
terroristes en Syrie, aussi bien ceux soutenus par les États-Unis que les
autres.
D'autre part, Trump a confirmé son accord pour le projet de liaisons à grande vitesse (ferroviaire et autoroutière) pour relier l'Europe et l'Amérique - et que la Fédération a déjà commencé leur partie de avec l'allocation d'un étonnant montant de 65 milliards de dollars pour commencer ce projet massif.
D'autre part, Trump a confirmé son accord pour le projet de liaisons à grande vitesse (ferroviaire et autoroutière) pour relier l'Europe et l'Amérique - et que la Fédération a déjà commencé leur partie de avec l'allocation d'un étonnant montant de 65 milliards de dollars pour commencer ce projet massif.
Ce coup de téléphone de Trump provoque l'hystérie et la panique à Bruxelles
Jusqu'à récemment, on pensait que l'arme principale de
Donald Trump était son compte Twitter, par lequel le président élu des
États-Unis combat ses opposants politiques, bat les médias et «ballade» des
politiciens étrangers. Mais cela n'était vrai que jusqu'à ce que Trump remporte
les élections.
Depuis sa victoire, le milliardaire américain utilise
maintenant son téléphone comme sa principale arme informationnelle de
destruction massive. Par exemple, il a suffi que Trump parle avec Poutine au téléphone pour conduire tous
les hauts fonctionnaires européens à l'hystérie et la panique. Une seule
conversation, et les médias britanniques parlent déjà de crises de nerfs parmi
les politiciens bruxellois qui ne comprennent tout simplement pas comment vivre
dans cette nouvelle réalité terrifiante dans laquelle le président élu des
États-Unis trouve facilement le moyen de discuter calmement et avec une compréhension
réciproque avec Poutine.
Cela signifie que beaucoup de politiciens européens qui ont
construit leur carrière sur la vente de la « russophobie à bon marché »
pourraient se retrouver sans emploi ni carrière ni argent.
Le Financial Times écrit que les diplomates britanniques se
préparent à une «crise diplomatique» provoquée par un éventuel rapprochement
entre les États-Unis et la Russie. Entre les lignes, on peut lire que Londres
n'a tout simplement pas de solutions prêtes à l'emploi pour ce problème.
Les réactions des médias américains et européens créent
soudain une sorte d'aura miraculeuse autour de la conversation de Trump et de
Poutine, ou bien, pour des partisans de Clinton et des fans d'ISIS/Daech, une
catastrophe universelle. Par exemple, le journal populaire américain USA Today
a publié un article intitulé «Après le chat de Trump, Poutine pilonne Syrie», ce qui veut dire que c'est la faute de Trump si les avions russes ont intensifié leurs
bombardements contre les terroristes syriens si proches et si chers au cœur de
tout américain vraiment libéral.
C’est comme si les journalistes américains nous disaient que
«cela ne se passerait pas sous la Clinton» ce qui est, bien sûr, un
mensonge éhonté. Car, rien n’aurait changé. La seule différence est que,
avec la Clinton, les mercenaires terroristes mourraient sous les bombes russes
seulement après avoir reçu leur chèque de paie de la CIA ou du Pentagone. Et
maintenant, ils sont complètement terrifiés, car avec Trump, les Américains ne paient plus,
et les Russes les bombardent quant même, il n’y a plus de justice en ce bas
monde d’apostats ! Mais que ces terroristes modérément cannibales et violeurs se sentent rassurés : ils ont toujours
la sympathie sincère de journalistes américains des tentaculaires réseaux de médias pro Soros-Clinton.
Vladimir Poutine reste prudent
Vladimir Poutine, clairvoyant comme toujours, a déclaré, au sujet de la politique de Trump: « Nous savons tous parfaitement qu’entre la rhétorique de la campagne électorale et la politique suivie ensuite il existe une grosse différence dans la plupart des pays ».En d’autres termes: Pas d’euphorie, on attend de voir!
L’élection de Trump a déjà éloigné le risque d’une guerre nucléaire avec la Russie. Elle permet aussi d'assurer que les terroristes islamistes, ces barbares des temps modernes, soient définitivement éradiqués de la surface de la terre.
Hannibal GENSERIC