Complot israélien pour tuer six millions d'Allemands en empoisonnant l'approvisionnement en eau

Des enregistrements supposément disparus révèlent les détails d'un plan du  gouvernement israélien visant à tuer six millions d'Allemands en empoisonnant leur approvisionnement en eau, « en représailles » à l'Holocauste.

Selon une série stupéfiante de bandes enregistrées, enfouies dans un musée en Israël et déterrées par un groupe de documentalistes britanniques, une bande de partisans israéliens a formé une alliance peu après la Seconde Guerre mondiale, chargée de tuer des millions de citoyens allemands innocents.

Préambule

Dans notre article intitulé « Le mythe de "L'Holocauste" a été révélé 7 ans avant qu'il n’est sensé se produire, et celui des « 6 millions de morts »a été imposé dans le Talmud !! «, nous avions écrit :

Des fausses sonnettes d'alarme concernant la mort de "millions de Juifs" avaient déjà sonné pendant la Première Guerre mondiale et durant la Guerre Civile Russe qui a suivi. Quant au chiffre des 6 millions de juifs morts dans des camps de concentration, il a été prévu dans les anciennes écritures juives, disant que les juifs ne pourront revenir dans la "Terre Promise" qu’après la mort violente de six millions d’entre eux. En  imposant ce double mensonge aux juifs et aux non juifs, les sionistes ont fait de l’Holocauste une affaire extrêmement rentable financièrement, politiquement, et moralement.

Et dans notre article Holocauste : La vérité révélée par un écrivain initié juif, nous avions écrit :

Cela pourrait être l'information la plus révélatrice de ce qui est réellement arrivé aux Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale (WW2) en Europe que l’on n’ait jamais lue. Ginsburg était un Juif qui a vécu les années de guerre en Europe. Il a été témoin des événements, puis a choisi de parler de ces événements tels qu’ils s’étaient réellement passés, ce qui est exceptionnel. En effet, il n’a pas choisi, comme la plupart des autres juifs, de coller aux faux récits des 6 millions, des chambres à gaz, des fours crématoires, etc. Ginsburg a écrit plusieurs livres qui exposent la vérité de l'Holocauste, malheureusement, ils ne sont disponibles qu’en allemand, leur langue originale, et sont très difficiles à trouver, allez savoir pourquoi ( ?).  Si ces livres avaient été écrits de nos jours, aucun éditeur n’oserait les imprimer. Allez savoir pourquoi. Ian Greenhalgh

Josef Ginsburg était exaspérant, car il était un témoin oculaire de l'histoire, en particulier de la collaboration entre les sionistes et les nazis (national socialistes), que tous les deux se sont toujours exercés si puissamment à couvrir. Pourtant, il n'a pas voulu révéler publiquement comment il avait appris la vérité sur le « Holocanular » et le mensonge des chambres à gaz. …Oui, il avait visité les camps de concentration d'Auschwitz, Birkenau, Majdanek, Treblinka, Sobibor et tous les autres en Pologne, en tant que membre de l'équipe d'inspection officielle soviétique et il n’a trouvé aucune preuve de toute tentative de la part des Allemands d’exterminer tout le monde et certainement pas au moyen de chambres à gaz mortelles!
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Selon le Dailymail.co.uk , les enregistrements - qui n'ont jamais été rendus en public - sont au cœur d'un nouveau documentaire intitulé Holocauste: Le complot de la vengeance, qui sera diffusé le 27 janvier.

Enregistré en 1985, quand leur leader, le survivant du ghetto de Vilnius et poète israélien, Abba Kovner, était en train de mourir d'un cancer, ils fournissent le compte rendu le plus détaillé des plans du groupe de terroristes comploteurs en 1946.

Abba Kovner , le  leader du groupedans son uniforme de Vengeur,
photographié à Vilnius en  1940.

Les bandes enregistrées décrivent comment Les Vengeurs, dirigés par Kovner et Pacha Reichmann, ont financé leurs activités avec des faux billets de 5 livres, falsifiés par les Juifs dans des camps de concentration et échangés sur le marché noir.

Elles disent que les présidents israéliens, Chaim Weizmann et Ephraim Katzir ont aidé les Vengeurs à acquérir le poison dont ils avaient besoin pour leur complot terroriste.

Elles décrivent comment les agents des Vengeurs se sont infiltrés dans les usines hydrauliques de quatre villes allemandes - Hambourg, Nuremberg, Francfort et Munich - mais les plans d'empoisonnement des réserves d'eau ont été déjoués lorsque Kovner a été arrêté en mer.

Et ils parlent de leur deuxième tentative de meurtre de masse visant à empoisonner le pain de 50.000 officiers SS dans les camps de Prisonniers de guerre de Nuremberg et de Munich, et qui a eu plus de succès, faisant tomber jusqu'à 2.000 victimes.

M. Merkado a déclaré à MailOnline: "L'histoire des bandes enregistrées a commencé il y a quelques années avec le petit-fils de Kovner, Nimrod. Il déménageait dans la vieille maison de son grand-père et les boîtes en sa possession ont été données au musée.

«Après avoir parlé à Avi Avidov, qui était le fils de Pacha Reichmann, qui m'a appris mon BA, j'ai trouvé une cassette dans une boîte de ses vieilles affaires. Je pensais qu'il devait y en avoir plus, alors je suis allé au Musée et j’ai fouillé dans son amas d’objets, et j'ai finalement trouvé dix cassettes. C'était un moment Eureka.

«J'ai été particulièrement intéressé par l'interview d'Abba Kovner au début lorsqu'il a expliqué comment ils l'ont fait et pourquoi ils ont ressenti le besoin de réagir aux horreurs. »

Le documentaire de Channel 4,  « Holocaust: The Revenge Plot », qui sera projeté le 27 janvier, interviewe six des Vengeurs restants, dont Yehuda Maimon, survivant d'Auschwitz, Simcha Rotem, le dernier survivant du soulèvement du ghetto de Varsovie, et Hasia Warshawski, une femme tellement traumatisée par les événements dont elle n'a jamais parlé auparavant en public.

Ils ont également retrouvé le fils de Kovner, Michael, et le fils des Vengeurs Avi et Léopold Vassiman, connu sous le nom de Poldeck, qui a maintenant 93 ans et qui était responsable du financement de l'opération.

Il a trouvé la source d'argent ingénieuse - et ironique - en achetant des faux billets de 5 livres, qui avaient été fabriqués dans des camps de concentration, en Allemagne et en les vendant sur le marché noir italien. «La différence que nous avons eue entre les taux d'achat et de vente a payé nos frais de subsistance», a-t-il révélé.

Dinah Lord, coproductrice exécutive, a déclaré: «C'est une histoire incroyable que très peu de gens connaîtront, racontée du point de vue des derniers survivants directement impliqués et basée sur des recherches approfondies qui ont mis au jour de nouvelles preuves remarquables. »

Le rédacteur en chef de la mise en service, Rob Coldstream, a ajouté: "Nous sommes fiers d'avoir ce film remarquable. À la fois émouvant et profondément choquant, il donne un véritable coup de poing émotionnel - et en retournant le récit traditionnel de l'Holocauste, il pose de profondes questions sur la nature de la justice."

Hannibal GENSERIC