Le monde
sait que l’Amérique est finie.
Trump ne
rend pas l’Amérique plus grande, il danse sur le cadavre. Nous pourrions donner
des dates, le 11/9, ou 1913 quand l’Amérique a accepté une banque
centrale Rothschild illégale. Peut-être que c’est vraiment en
1913 que l’hémorragie a commencé pour en terminer avec l’Amérique
d’aujourd’hui.
C’est
toujours une question de dette. Lorsque les nations acceptent une banque
centrale – et toutes les banques centrales sont
sous contrôle étranger, celui de la famille Rothschild – leurs
institutions s’effondrent, la famille, la religion, leur gouvernement, les
tribunaux, leurs médias. Tout y passe.
Nous avons
vu cela encore et encore. La raison pour laquelle le 11/9 est critique n’a rien
à voir avec la guerre interminable qui a balayé le monde, les armées par
procuration, les groupes terroristes bidons et les millions de réfugiés.
Pour
l’Amérique, il a annoncé
le plus grand cambriolage de l’histoire, 10.000 milliards de dollars d’actifs,
assez pour acheter toute l’Europe, ont simplement « disparu ».
Quelques jours avant le 11/9, on apprenait que 2.400 milliards de dollars
manquaient au budget militaire, selon le secrétaire à la Défense Donald
Rumsfeld. Ce que peu de
gens savent, c’est que le groupe qui enquêtait sur cette affaire a été tué,
dans son intégralité, le 11/9 lors de l’incident au Pentagone.
Nous
appelons ça un incident parce que le qualifier d’attaque terroriste ou même
d’accident d’avion est insupportable sans abandonner totalement son
intelligence.
Ensuite,
nous nous interrogeons : qui ferait une telle chose, qui détruirait
l’Amérique et son gouvernement, écraserait son économie comme en 2008, et permettrait
à une nation d’être dirigée par un leader connu pour être cliniquement fou ? Pourquoi ne
nomme-t-on jamais les coupables, qui sont les « suspects habituels » ?
Examinons ce
qui s’est passé en Amérique alors que le monde regardait les invasions de
l’Afghanistan et de l’Irak, deux guerres que l’Amérique a techniquement
perdues, au delà de toute mesure, chacune faisant de la débâcle du Vietnam un
parangon de la raison.
À la fin de
2007, les cinq principales banques d’investissement américaines étaient en
faillite, ayant « égaré » des milliers de milliards d’actifs. La
plupart des grandes entreprises étaient dans le même état, brisées,
désespérément, jusqu’au point où l’indice Down Jones Industrial Average
avait dû être reconfiguré car les grandes entreprises américaines n’étaient
plus viables.
Si vous
suivez des choses telles que la dette sur les cartes de crédit ou la
valeur de l’immobilier, vous voyez une histoire différente. Entre 2008 et 2010,
le chômage en Amérique a augmenté à plus de 10%. L’épargne personnelle s’est
effondrée et la dette personnelle a atteint des niveaux inimaginables alors que
des industries clés comme les armes, le pétrole et les produits
pharmaceutiques, connues officieusement pour avoir un pouvoir immense sur le
gouvernement, ont fait des profits records.
Alors que
les taux d’intérêt chutaient à presque rien avec Bush junior, des
millions de familles américaines cherchant à protéger leurs actifs achetaient
imprudemment des maisons trop grandes, inabordables, vendues par les médias sur
l’idée d’un marché immobilier en hausse.
En 2008, ces
maisons se sont vidées. De nombreuses maisons à un million de dollars ont
vu saccager leurs murs, leurs câblages, leur plomberie alors que les
propriétaires en colère faisaient leurs valises pour emménager chez
des parents ou simplement rejoindre les millions de sans-abri.
La plupart des maisons ont perdu 60% de leur
valeur en Amérique et ceux qui
ont été obligés de vendre ont contracté une dette à vie. De même,
l’épargne-retraite a généralement perdu 72%. Un plan de retraite par
capitalisation de un million de dollars, dans le cadre du 401K, qui devait
rapporter 5.000 dollars par mois à vie sur la base des taux de l’ère Clinton
et de la performance du marché, valait maintenant un peu plus de 200.000
dollars avec un potentiel de revenu de 200 dollars par mois. La classe moyenne
des États-Unis aura travaillé entre le milieu et la fin des années 1970, pour
voir des retraités, managers et qualifiés, condamnés à une décennie de
travail servile par la grâce des banques qui ont organisé le crash.
Ceci, bien
sûr, a poussé la jeune génération vers le service militaire. Avec peu
d’emplois disponibles, payés bien en dessous du seuil de pauvreté, les
salaires militaires étaient plus élevés avec une garantie de déploiement en
Irak et en Afghanistan année après année.
Était-ce un
plan ? Savait-on que l’armée américaine s’épuiserait, perdant son corps de
sous-officiers, ses meilleurs officiers, ses équipements défaillants face à des
armes soviétiques de l’époque de la guerre froide, pour lesquels l’Amérique
elle-même a dépensé des milliards de dollars et qui sont maintenant entre
les mains des terroristes du monde entier ?
L’idée de
trahison est encore pire. Quand
la guerre syrienne a été mise au point, quelque chose d’incroyable s’est
produit. Washington a été forcé d’accepter que non seulement les groupes
terroristes al-Qaïda et ISIS soient soutenus par l’Arabie saoudite et la
Turquie, mais qu’Israël était peut-être derrière tout cela.
Pire encore,
la relation entre l’Arabie saoudite et Israël, supposée être une confrontation haine contre haine,
a maintenant été mise en évidence. L’Arabie saoudite et Israël , semble-t-il, ont coopéré non pas depuis
les années 1980, mais dés les années 1970.
Ainsi,
lorsque l’Arabie saoudite avait organisé l’embargo pétrolier de l’OPEP contre
les États-Unis, poussant le prix du pétrole à des niveaux stratosphériques,
tout cela basé sur l’aide américaine à Israël durant la guerre de 1973,
cela pourrait-il avoir été coordonné aussi ?
Plus
récemment, il est apparu que l’Arabie saoudite avait eu un rôle majeur
dans le 11/9. S’ils ont toujours été proches d’Israël, depuis le début, et
si l’on examine les conséquences du 11/9, comme de connaître qui en a
bénéficié, il est clair
que tout ce qui s’est passé depuis ce jour n’a pas seulement profité à l’Arabie
saoudite mais aussi à Israël.
En
fait, il est devenu clair que presque tout le terrorisme mondial, les attentats
de Paris, Boko Haram en Afrique, certainement ISIS, tout cela a profité à Israël aussi
bien qu’à l’Arabie saoudite.
Alors on
peut aussi formuler l’hypothèse selon laquelle les intérêts de l’État
israélien bénéficieraient plus à la famille Rothschild qu’à Israël lui-même.
Si les
résultats sont un indicateur, Israël fait face à une Syrie unifiée, à l’Irak et à l’Iran avec le
puissant Pakistan, la Turquie et la nouvelle quasi-superpuissance, la Russie,
qui évolue rapidement vers la formation d’une alliance régionale de pouvoir.
Israël est
loin d’être en sécurité, tant s’en faut, mais ce qui reste ce sont des
milliards de milliards de dettes, la promesse de guerres pour une autre
décennie ou au-delà, le chaos, la méfiance, la balkanisation du monde, la
pauvreté et la maladie, les signes sont clairs. C’est le modèle économique du
système bancaire mondial. C’est ce que l’on entend par « globalisme »
ou « mondialisation ».
Par Gordon Duff
– Le 20 décembre 2017 – Source New Eastern Outlook