Un nouveau
rapport du Service russe de renseignement étranger (SVR) indique que
quelques heures après que les forces spéciales Spetsnaz russes aient effacé une importante base de la CIA en Syrie,
à partir de laquelle un complot était organisé visant à assassiner le président Donald
Trump, Julian Assange, le patron de Wikileaks, a posté sur son
compte Twitter le message
"Marshall Attack"
tant attendu, qui marque son acceptation des "termes de sa libération"
par Trump, ce qui pourrait provoquer une réponse violente du "Deep
State".
Message de Julian Assange "Marshall Attack" |
Selon ce rapport, Julian Assange est un agent
de renseignement américain de longue date dont le site internet de
dénonciation Wikileaks est une organisation sous
couverture créée et dirigée par la CIA. Mais Wikileaks s’est séparée du "Deep State"
et la guerre des factions qui s’en est suivi, a brouillé l'élection
présidentielle américaine de 2016, car Wikileaks a publié des dizaines de milliers de
courriels d'Hillary Clinton et du Parti Démocrate, et
Wikileaks, après la victoire de Trump, a commencé à divulguer certains des secrets les plus
cachés de la CIA.
Craignant que Julian Assange ne commence à publier d'autres
secrets gênants pour les USA, le président Trump a commencé à planifier de le libérer de
son confinement forcé (à cause de Deep State qui veut sa peau) à l'ambassade
d’Équateur à Londres.
Mais ce plan sembla échouer lorsque, le 25 décembre, l’ONI (US Office of Naval Intelligence
l'Office du Renseignement Naval des États-Unis,) a posté sur le compte Twitter de la Navy les mots «Julian Assange»
, signalant ainsi que les agents de l’ONI du Deep State, se préparaient, à tout
prix, à empêcher Trump de libérer Assange.
Pour prévenir contre une tentative d'assassinat contre lui, Julian Assange a
posté, le 1er janvier, un tweet cryptique comportant un code
de 60 caractères avec un lien vers la vidéo musicale "Paper Planes" (un code se référant à
un "interrupteur de l’homme mort" destiné à déclencher
la publication de documents secrets en cas de décès) et dont les paroles
exactes disent : "Si tu
m'attrapes à la frontière, j'ai des visas en mon nom ... et ... j'ai plus d’enregistrements que le KGB ... Alors, pas de coups tordus".
En réponse à cet avertissement de Julian Assange, le Président
Trump a révélé une information explosive qui a alarmé le "Deep
State", disant qu'il venait d’autoriser ses avocats à déposer
une requête devant la Cour fédérale américaine afin laver Assange de toute
accusation de crime contre les États-Unis.
L’étape suivante de ce plan pour accomplir cette libération, est que l'Équateur
accorde sa citoyenneté à Assange ainsi que l'immunité diplomatique. La
voiture officielle de Trump étant couverte par l'immunité diplomatique, Trump comptait
sortir Assange de l’ambassade équatorienne dans cette voiture pour le
faire embarquer sur Air Force One - ce qui impliquerait qu'Assange
ne soit jamais obligé de marcher sur le sol britannique ou européen au risque d’être
arrêté.
Ce transfert de haut niveau de Julian Assange aux États-Unis, devait
avoir lieu lors de la visite du président Trump à Londres la semaine
prochaine, mais Trump a dû l’annuler brusquement après que la Russie l’ait
averti car elle a découvert que le "Deep State" comptait
l’assassiner à Londres en utilisant des
drones de combat chargé de bombes que l’ONI et la CIA ont perfectionné et testé
en réel en Syrie en les lançant contre les bases russes de Tartous et de
Hmeimine.
Ces drones sophistiqués sont conçus et maquillés par la CIA afin de prétendre qu’ils sont fabriqués et lancés par les terroristes islamistes, afin que l’attentat contre Trump soit attribué à ces harkis islamistes. C’est la méthode classique des attentats sous faux drapeau concoctés par la CIA et le Deep State.
Ces drones sophistiqués sont conçus et maquillés par la CIA afin de prétendre qu’ils sont fabriqués et lancés par les terroristes islamistes, afin que l’attentat contre Trump soit attribué à ces harkis islamistes. C’est la méthode classique des attentats sous faux drapeau concoctés par la CIA et le Deep State.
drones de
combat de l'ONI-CIA capturés en Syrie le 6 janvier 2018 |
Connaissant parfaitement les plans de l'ONI et de la CIA, le président
Poutine a publiquement déclaré: «Nous savons qui vous êtes!». Il a fait
envoyer des soldats d'élite de la 3e Brigade Spetsnaz (les tueurs les plus efficaces du monde) immédiatement
en Syrie. Dans les 72 heures, ils ont
localisé la base principale de la CIA que ces terroristes utilisaient et
l'ont détruite en tuant tous ses occupants et en détruisant leur dépôt de
drones de combat.
Les Spetsnaz retournent à la
base après avoir détruit la base terroriste de la CIA en Syrie le 12 janvier 2018 |
Quelques heures après que le président Trump a reçu la confirmation
que cette base de l'ONI-CIA en Syrie a été détruite, d'autres
communications ont été faites entre les États-Unis et Julian Assange. Suite
à cela, Assange a répondu en publiant sur
son compte Twitter une photographie contenant un échiquier montrant un mouvement
du jeu d'échec de Capablanca contre Marshall datant de 1918 [1] -
considéré comme l'une des plus belles parties de jeux défensifs de tous les
temps - connu sous le nom de “Marshall Attack”— et suggérant
qu'Assange prépare un "échec et mat" .
En effet, l'agent des services de renseignement américain Julian Assange
représente actuellement la menace la plus grave contre le Deep state et
la CIA, car il dispose des preuves écrites et vidéo prouvant que c’est l’analyste
des données démocrates Seth Rich, et non pas la Russie,
qui a donné tous les courriels à Wikileaks. Suite à cela, Rich
a été liquidé immédiatement après sa rencontre avec la principale adjointe du
chef du Parti démocrate, Debbie Wasserman-Schulz , et, à ce jour, le
Parti démocrate refuse toujours de divulguer les liens qu'ils ont découverts entre
Rich et WikiLeaks.
Hannibal GENSERIC
[1] Le Gambit de Marshall
En 1909, José Raúl Capablanca, (Cubain, champion du monde) avait sévèrement battu Frank Marshall en match (+8 -1 =14), et les rencontres suivantes ne furent pas plus heureuses pour le joueur américain. Au tournoi de New York, Capablanca et Marshall étaient en tête du tournoi, lorsqu'ils eurent à s'affronter directement le .
Marshall, qui préparait secrètement cette attaque (réputée fautive à
l'époque) depuis des années, décida de l'utiliser pour la première fois
contre Capablanca. Mais, face à cette nouveauté théorique, le champion du monde cubain réussit à se défendre et gagna en 36 coups :
José Raúl Capablanca - Frank Marshall, New York 1918
1.e4 e5 2.Cf3 Cc6 3.Fb5 a6 4.Fa4 Cf6 5.0-0 Fe7 6.Te1 b5 7.Fb3 0-0
8.c3 d5 9.exd5 Cxd5 10.Cxe5 Cxe5 11.Txe5 Cf6 12.Te1 Fd6 13.h3 Cg4 14.Df3
Dh4 15.d4 Cxf2 16.Te2 Fg4 17.hxg4 Fh2+ 18.Rf1 Fg3 19.Txf2 Dh1+ 20.Re2
Fxf2 21.Fd2 Fh4 22.Dh3 Tae8+ 23.Rd3 Df1+ 24.Rc2 Ff2 25.Df3 Dg1 26.Fd5 c5
27.dxc5 Fxc5 28.b4 Fd6 29.a4 a5 30.axb5 axb4 31.Ta6 bxc3 32.Cxc3 Fb4
33.b6 Fxc3 34.Fxc3 h6 35.b7 Te3 36.Fxf7+ 1-0
Malgré cette défaite, Marshall réutilisa sa variante contre un autre
adversaire dans le même tournoi. Avec plus de succès cette fois.VOIR AUSSI :
- L’attaque de drones en Syrie est une préparation d’un attentat meurtrier contre Donald Trump
- Syrie. Comment la Russie combat-elle les drones USlamistes?