dimanche 14 janvier 2018

Trump veut libérer Julian Assange, alors que les Russes effacent une importante base de la CIA en Syrie



Un nouveau rapport du Service russe de renseignement étranger (SVR) indique que quelques heures après que les forces spéciales Spetsnaz russes aient effacé une importante base de la CIA en Syrie, à partir de laquelle un complot était organisé  visant à assassiner le président Donald Trump, Julian Assange, le patron de Wikileaks, a posté sur son compte Twitter le message "Marshall Attack" tant attendu, qui marque son acceptation des "termes de sa libération" par Trump,  ce qui pourrait  provoquer une réponse violente du "Deep State".

Message de Julian Assange
"Marshall Attack"
Selon ce rapport, Julian Assange est un agent de renseignement américain de longue date dont le site internet de dénonciation Wikileaks est une organisation sous couverture créée et dirigée par la CIA. Mais Wikileaks s’est séparée du "Deep State" et la guerre des factions qui s’en est suivi, a brouillé l'élection présidentielle américaine de 2016, car Wikileaks a publié des dizaines de milliers de courriels d'Hillary Clinton et du Parti Démocrate, et Wikileaks, après la victoire de Trump, a commencé à divulguer certains des secrets les plus cachés de la CIA.
Craignant que Julian Assange ne commence à publier d'autres secrets gênants pour les USA, le président Trump a commencé à planifier de le libérer de son confinement forcé (à cause de Deep State qui veut sa peau) à l'ambassade d’Équateur à Londres.
Mais ce plan sembla échouer lorsque, le 25 décembre, l’ONI (US Office of Naval Intelligence l'Office du Renseignement Naval des États-Unis,) a posté sur le compte Twitter de la Navy les mots «Julian Assange» , signalant ainsi que les agents de l’ONI du Deep State, se préparaient, à tout prix, à empêcher Trump de libérer Assange.
Pour prévenir contre une tentative d'assassinat contre lui, Julian Assange  a posté, le 1er janvier, un tweet cryptique comportant un code de 60 caractères avec un lien vers la vidéo musicale "Paper Planes" (un code se référant à un "interrupteur de l’homme mort" destiné à déclencher la publication de documents secrets en cas de décès) et dont les paroles exactes disent : "Si tu m'attrapes à la frontière, j'ai des visas en mon nom ... et ... j'ai plus d’enregistrements que le KGB ... Alors, pas de coups tordus".
En réponse à cet avertissement de Julian Assange, le Président Trump a révélé une information explosive qui a alarmé le "Deep State", disant qu'il venait d’autoriser ses avocats à déposer une requête devant la Cour fédérale américaine afin laver Assange de toute accusation de crime contre les États-Unis.
L’étape suivante de ce plan pour accomplir cette libération, est que l'Équateur accorde sa citoyenneté à Assange ainsi que l'immunité diplomatique. La voiture officielle de Trump étant couverte par  l'immunité diplomatique, Trump comptait sortir Assange de l’ambassade équatorienne dans cette voiture pour le faire embarquer sur Air Force One - ce qui impliquerait qu'Assange ne soit jamais obligé de marcher sur le sol britannique ou européen au risque d’être arrêté. 
Ce transfert de haut niveau de Julian Assange aux États-Unis, devait avoir lieu lors de la visite du président Trump à Londres la semaine prochaine, mais Trump a dû l’annuler brusquement après que la Russie l’ait averti car elle a découvert que le "Deep State" comptait l’assassiner à Londres  en utilisant des drones de combat chargé de bombes  que l’ONI et la CIA ont perfectionné et testé en réel en Syrie en les lançant contre les bases russes de Tartous et de Hmeimine

Ces drones sophistiqués sont conçus et maquillés par la CIA afin de prétendre qu’ils sont fabriqués et lancés par les terroristes islamistes, afin que l’attentat contre Trump  soit attribué à ces harkis islamistes. C’est la méthode classique des attentats sous faux drapeau concoctés par la CIA et le Deep State.
drones de combat de l'ONI-CIA
capturés en Syrie le 6 janvier 2018
Connaissant parfaitement les plans de l'ONI et de la CIA, le président Poutine   a publiquement déclaré: «Nous savons qui vous êtes!». Il a fait envoyer des soldats d'élite de la 3e Brigade Spetsnaz  (les tueurs les plus efficaces du monde) immédiatement en Syrie. Dans les 72 heures, ils ont localisé la base principale de la CIA que ces terroristes utilisaient et l'ont détruite en tuant tous ses occupants et en détruisant leur dépôt de drones de combat.
Les Spetsnaz retournent à la base après avoir
détruit la base terroriste de la CIA en Syrie le 12 janvier 2018
Quelques heures après que le président Trump a reçu la confirmation que cette base de l'ONI-CIA en Syrie a été détruite, d'autres communications ont été faites entre les États-Unis et Julian Assange. Suite à cela, Assange a répondu en publiant sur son compte Twitter une photographie contenant un échiquier  montrant un mouvement du jeu d'échec de Capablanca contre Marshall datant de 1918 [1] - considéré comme l'une des plus belles parties de jeux défensifs de tous les temps - connu sous le nom de Marshall Attack”— et suggérant qu'Assange prépare un "échec et mat" .
En effet, l'agent des services de renseignement américain Julian Assange représente actuellement la menace la plus grave contre le Deep state et la CIA, car il dispose des preuves écrites et vidéo prouvant que c’est l’analyste des données démocrates Seth Rich, et non pas la Russie, qui a donné tous les courriels à Wikileaks. Suite à cela, Rich a été liquidé immédiatement après sa rencontre avec la principale adjointe du chef du Parti démocrate, Debbie Wasserman-Schulz , et, à ce jour, le Parti démocrate refuse toujours de divulguer les liens qu'ils ont découverts entre Rich et WikiLeaks.
Hannibal GENSERIC
[1] Le Gambit de  Marshall


En 1909, José Raúl Capablanca, (Cubain, champion du monde) avait sévèrement battu Frank Marshall en match (+8 -1 =14), et les rencontres suivantes ne furent pas plus heureuses pour le joueur américain. Au tournoi de New York, Capablanca et Marshall étaient en tête du tournoi, lorsqu'ils eurent à s'affronter directement le . Marshall, qui préparait secrètement cette attaque (réputée fautive à l'époque) depuis des années, décida de l'utiliser pour la première fois contre Capablanca. Mais, face à cette nouveauté théorique, le champion du monde cubain réussit à se défendre et gagna en 36 coups :

José Raúl Capablanca - Frank Marshall, New York 1918
1.e4 e5 2.Cf3 Cc6 3.Fb5 a6 4.Fa4 Cf6 5.0-0 Fe7 6.Te1 b5 7.Fb3 0-0 8.c3 d5 9.exd5 Cxd5 10.Cxe5 Cxe5 11.Txe5 Cf6 12.Te1 Fd6 13.h3 Cg4 14.Df3 Dh4 15.d4 Cxf2 16.Te2 Fg4 17.hxg4 Fh2+ 18.Rf1 Fg3 19.Txf2 Dh1+ 20.Re2 Fxf2 21.Fd2 Fh4 22.Dh3 Tae8+ 23.Rd3 Df1+ 24.Rc2 Ff2 25.Df3 Dg1 26.Fd5 c5 27.dxc5 Fxc5 28.b4 Fd6 29.a4 a5 30.axb5 axb4 31.Ta6 bxc3 32.Cxc3 Fb4 33.b6 Fxc3 34.Fxc3 h6 35.b7 Te3 36.Fxf7+ 1-0
Malgré cette défaite, Marshall réutilisa sa variante contre un autre adversaire dans le même tournoi. Avec plus de succès cette fois.

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