Les récentes attaques contre les bases militaires russes en Syrie,
qualifiées par le Washington Post de «nouveau
mystère», ne sont pas mystérieuses du tout. Ce sont des missions de formation
avancées et très sophistiquées, dont le but secret est de lancer une attaque de
type 11/9 afin d'assassiner le président Donald Trump. Cette attaque devrait se
produire dans les semaines ou même les jours à venir.
Selon un rapport
du Ministère russe de la Défense (MoD) , la base aérienne russe de Hmeimim en Syrie a été
attaquée, le 31 décembre 2017, par un «groupe
de sabotage mobile» de terroristes dont
les obus de mortier ont
tué deux soldats russes. Mais ce groupe de
saboteurs a été rapidement éliminé, et les prisonniers ont révélé des
informations top secret non divulguées dans ce rapport.
Ce "groupe mobile de sabotage" ayant échoué dans sa
mission du 31 décembre, une attaque plus avancée contre la base aérienne de Hmeimim
a eu lieu six jours plus tard, le 6 janvier 2018. Elle a été faite par 10 drones de combat (véhicules aériens sans
pilote ou UAV), et 3 autres UAV de combat ont ciblé le
centre logistique de Tartous (base navale russe en
Syrie). Ces 13 drones de combat étaient armés d’engins explosifs de fabrication
étrangère.
Cependant, grâce à leur haute compétence dans la guerre électronique
militaire, les forces de défense aérienne russes ont été capables de
neutraliser rapidement ces 13 drones de combat, dont 3 ont
été récupérés intacts, 3 se sont écrasés et 7 détruits par les systèmes de
missiles de défense Pantsir-S. Par conséquent, aucun
drone n’a causé de dommages ou de décès.
Photo des drones de combat capturés en Syrie le 6 janvier 2018 |
Un examen de ces UAV de combat a montré qu'ils étaient fabriqués
à partir de panneaux de contreplaqué et avaient leurs fils électroniques
enveloppés dans du ruban adhésif et du polyéthylène vert. Mais ils avaient un
système de ciblage électronique sophistiqué, qui ne
pouvait être obtenu qu'à partir des États-Unis.
Sans même être interrogé par la Russie sur la façon dont ces drones de
combat (soi-disant fabriqués par les terroristes) pouvaient embarquer une telle
technologie de pointe américaine, le Pentagone a déclaré que
le système de ciblage électronique hautement sophistiqué utilisé "était facilement disponible sur le
marché libre".
Ce à quoi le MoD a immédiatement répliqué en
demandant: "Les questions qui se posent sont (1)
de quel type de technologies parle le Pentagone, (2) où se trouve ce "
marché ouvert "et (3) quel service spécial vend des données de
surveillance spatiale."
Avec ces 13 drones de combat tous guidés vers leurs cibles avec des
systèmes électroniques de surveillance spatiale très avancés connus seulement
par les forces américaines du renseignement et par leurs forces spéciales, les spécialistes
électroniques du MoD ont
pu déterminer de façon concluante que tous ces UAV étaient sous le contrôle
direct d'un avion de reconnaissance P-8 Poséidon de la marine américaine
qui a navigué pendant plus de quatre
heures sur la mer Méditerranée entre la base aérienne de Tartous et Hmeimim à
une altitude de 7.000 mètres pendant que ces attaques de drones étaient menées.
Avion de reconnaissance Poseidon P-8 de la US Navy |
En cherchant à déterminer pourquoi cet avion de reconnaissance de la US
Navy P-8 Poséidon dirigeait ces 13 drones de combat contre des bases militaires
russes en Syrie, les analystes du MoD se
sont "alarmés" lorsqu'ils ont découvert que cet avion avait commencé sa mission à partir de la
Joint Base
Andrews près de Washington DC, et il
y est retourné à la fin de sa mission, et pendant tout son temps de vol, ses seules
communications ont été avec l'Office of Naval Intelligence (ONI) des États-Unis.
Or, deux jours avant le début de ces attaques de drones, le Service russe de renseignement étranger (SVR) avait, le
4 janvier, averti que l'ONI tentait de détruire le président Donald
Trump en utilisant les mêmes méthodes d’attaque qu'ils avaient utilisées
contre le président Richard Nixon.
L'ONI étant le plus ancien membre de la United States Intelligence Community depuis sa création en 1882, ce rapport détaille ses crimes de trahison contre le peuple américain afin de déclencher des guerres pour protéger son pouvoir. Parmi celles-ci, qui figurent parmi les «Les top-10 des opérations sous faux-drapeaux qui ont façonné notre monde» , il y a :
L'ONI étant le plus ancien membre de la United States Intelligence Community depuis sa création en 1882, ce rapport détaille ses crimes de trahison contre le peuple américain afin de déclencher des guerres pour protéger son pouvoir. Parmi celles-ci, qui figurent parmi les «Les top-10 des opérations sous faux-drapeaux qui ont façonné notre monde» , il y a :
-
Le 15 février
1898, ce fut l'explosion de l'USS Maine alors qu'il se trouvait dans un
port cubain, et sans aucune preuve ou enquête, l'ONI avait accusé
l'Espagne, déclenchant ainsi la
guerre hispano-américaine qui plantait un grand clou dans le cercueil de
l'empire mondial espagnol. Cela a donné le contrôle américain non seulement de Cuba,
mais aussi des Philippines, de Porto Rico, de Guam et des îles
hawaïennes.
- Le 7 décembre
1941, ce fut la soi-disant « attaque sournoise » de l'Empire japonais
sur Pearl Harbor. En réalité, ce n'était pas une attaque sournoise et la
flotte américaine du Pacifique était loin d'être détruite. De plus, l'ONI
était non seulement au courant de cette attaque sans en avertir quiconque, mais
il fit de grands efforts pour la provoquer.
- Le 2 août 1964,
l'attaque du Golfe du Tonkin par le Nord-Vietnam contre les destroyers
de la marine américaine a été intégralement réalisée par l'ONI, mais elle a
coûté la vie à des millions de personnes innocentes pendant la guerre inutile
du Vietnam.
- Le 11 septembre 2001, l’ONI a commis l'un des plus grands crimes de
l'histoire moderne contre le peuple américain, en attaquant le WTC à New-York et d'autres cibles. Ces attentats de l’ONI n’ont pu
être stoppés que lorsque des
forces militaires américaines (encore inconnues à ce jour) avaient tiré un
missile de croisière sur le Pentagone détruisant le siège et le centre
de communication de l'ONI. Mais tout cela a quant même donné à l'ONI la
guerre qu’il voulait et qui sévit depuis lors dans le monde entier, tout en
accusant le groupe terroriste Al-Qaïda et son
chef Oussama ben Laden, financés par la CIA.
Supputant que l'ONI se préparait à déclencher une attaque de type
11/9 contre le POTUS en utilisant des terroristes-outils de la CIA, le
ministère russe de la Défense a noté que, le 29 décembre 2017, les Américains avaient exfiltré des champs de
bataille de la province de Deir ez-Zor, les principaux chefs terroristes
islamistes de l'EI/Daech, et que la CIA les transférait vers la
province d'Idlib, au nord-ouest de la Syrie.
Une fois transférés vers la province d’Idlib, la CIA les a
rebaptisé Hay'at
Tahrir a-Sham, qui est juste un autre nom pour Al-Qaïda. Appuyés par la
CIA, ces terroristes ont pu prendre
le dessus sur leurs rivaux politiques et militaires dans la province d'Idlib
au cours des dernières semaines. Ils ont pu ainsi prendre le
contrôle des principaux centres de population dans la province d'Idlib, monopolisant
l'autorité civile et militaire avec leur tactique de terreur takfiriste que
tout le monde connaît.
Croyant que les forces soutenues par la Turquie contrôlaient la
province d'Idlib, le Ministère russe de la Défense admet, dans ce rapport, qu'il a été
"surpris et choqué" lorsque, le 6 janvier, ces 13 drones
de combat ont été lancés à partir de là. Suite à cette attaque, les forces militaires syriennes ont
immédiatement riposté en lançant leur redoutable division des tigres
sur cette région. Au cours des dernières 24 heures, ces
troupes syriennes d'élite ont libéré 12 villes dans la province orientale
d'Idlib, et s’approchent à toute vitesse de la base aérienne, point crucial
pour le contrôle de la province.
Basées sur les méthodes connues, les opérations et les tactiques
employées par l'ONI et leurs alliés de la CIA dans leurs «faux drapeaux», les
analystes du MoD affirment que les drones de combat qui ont attaqué les bases
russes en Syrie ont été un "test" pour voir jusqu'où ces armes pouvaient
aller avant que des contre-mesures électroniques puissent les neutraliser. L’ONI
et la CIA ont ainsi constaté l'inefficacité
de l’attaquer d’une "cible durcie" par un "groupe de
sabotage mobile" formé de terroristes.
Par le terme «cible durcie», l’ONI veut signifier une cible
fortement protégée, et, en l’occurrence, la Maison Blanche dans laquelle la
cible n’est autre que le président Trump. L’ONI entend utiliser contre cette « cible
durcie » ses UAV de combat «une fois perfectionnés».
Il a l'intention de tuer le POTUS dans une explosion spectaculaire causée par de multiples bombes transportées par des UAV. Naturellement, cette attaque sera imputée à leurs harkis, les terroristes islamistes d'Al-Qaïda /Daech, opérant dans la province syrienne d'Idlib, où la CIA les a installés, et où des milliers de soldats américains sont déployés pour prendre le contrôle de la base aérienne vitale d'Abou al-Dhouhour [1] pour commencer à se battre et lancer la troisième guerre mondiale.
Il a l'intention de tuer le POTUS dans une explosion spectaculaire causée par de multiples bombes transportées par des UAV. Naturellement, cette attaque sera imputée à leurs harkis, les terroristes islamistes d'Al-Qaïda /Daech, opérant dans la province syrienne d'Idlib, où la CIA les a installés, et où des milliers de soldats américains sont déployés pour prendre le contrôle de la base aérienne vitale d'Abou al-Dhouhour [1] pour commencer à se battre et lancer la troisième guerre mondiale.
Pour savoir à quel point l’ONI et la CIA sont proches du
déclenchement de leur attaque contre le président Trump, ce rapport note avec
inquiétude que cela pourrait se produire dans quelques semaines ou peut-être
moins. En effet, il y a quelques heures à peine, un drone de combat ultra perfectionné a réussi à
échapper à toutes les contre-mesures électroniques russes et a percuté un
dépôt d'armes dans la campagne orientale de la province de Lattaquié en Syrie
provoquant une explosion massive.
Donc l'ONI et la CIA semblent être prêts à lancer leur attentat sous faux drapeau contre Trump.
Donc l'ONI et la CIA semblent être prêts à lancer leur attentat sous faux drapeau contre Trump.
[1] Le 11 janvier, les Forces du Tigre, l'Armée syrienne (ASA) et les
Forces de défense nationale (FDN) ont lancé un dernier effort pour récupérer la
base aérienne stratégique Abou al-Douhour de Hayat Tahrir al-Sham (HTS)
dans le sud d'Idlib.
Les forces gouvernementales ont atteint la base aérienne le 10
janvier après avoir capturé les villages d'al-Baiyaiyah, d'Al-Dabshiyah, de
Zafr Sagheer, de Zafr Kabeer, de Bayaa Kabeera, de Bayaa Sagheera, d'Umjorah,
d'Al-Buwyti, de Rasm Ayed et d'Um Jareen. Depuis
lors, des combats intenses se poursuivent dans la région.
Des rapports ont également montré que HTS a commencé à retirer ses
forces du mont Hass au nord-est de la base aérienne d'Abou Douhour, se
préparant à un effondrement inévitable de sa défense là-bas.
Plus de 80 membres d'Ahrar al-Sham, Faylaq al-Rahman et Hay'at Tahrir
al-Sham ont été tués et plus de 100 autres ont été blessés dans des
affrontements près de la base des véhicules blindés dans la Ghouta orientale
ces derniers jours, selon un communiqué officiel
de la 4ème division blindée de la SAA contacté par SouthFront.
Agissant sous la férule des États-Unis, les forces démocratiques
syriennes (SDF) ont libéré 400 terroristes islamistes de l'État islamique, quelques semaines
seulement après leur capture, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de
l'homme (OSDH) le 10 janvier. Auparavant,
le SDF avait libéré 75 anciens membres de l'État islamique le 8 mai 2017, et 86
le 8 novembre 2017.
Le 16 décembre, l'armée russe a déclaré que la coalition dirigée
par les États-Unis utilisait le camp de réfugiés d'al-Hasakah comme base pour
former d'anciens membres de l'État islamique, de Hayat Tahrir al-Sham et
d'autres groupes terroristes pour les réutiliser en Syrie et ailleurs.
Source : SouthFront
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC