"Si la bagarre s'avère inévitable, sois le premier à frapper !" Vladimir Poutine.
Le président Poutine vient d’autoriser le déploiement des forces navales
et d'infanterie
de marine pour mener une guerre éclair visant à obtenir une
victoire rapide contre le programme de
pré positionnement du corps des US Marines en Norvège.
En effet, des
milliers de soldats russes d'élite viennent de terminer les préparatifs de
cette invasion sur leur terrain d'entraînement de Khmelyovka. Cette
opération est prévue comme un appui direct aux préparatifs turcs d’attaquer la
nouvelle armée américano-terroriste de 30.000 djihadistes basés en Syrie.
Le grand déploiement de personnel - y compris des ingénieurs et des sapeurs de la flotte baltique de la marine russe - a fait exploser d'énormes bombes lors d'un atterrissage fictif sur le terrain d'entraînement de Khmelyovka à Kaliningrad. Sur la photo: Une énorme explosion sur le site d'entraînement le 10 janvier 2018. |
En effet, les dirigeants norvégiens ont commencé, l’année dernière,
à se demander pourquoi ces forces navales américaines avaient envahi leur pays.
En réponse, il y a deux semaines, le
général Robert Neller, commandant des forces navales américaines, a
déclaré à ses forces: «Il y a une guerre qui se prépare ... préparez-vous à un
putain de combat ".
Immédiatement après la publication de cet avertissement de guerre du
général Neller, le président Poutine a ordonné
au ministère de la Défense de préparer l'invasion de la Norvège dans le but de détruire tous les sites de stockage du pré
positionnement des Marine Corps en Norvège, car les énormes
quantités d’armes et d’approvisionnements de guerre qui y sont stockés sont
destinés à soutenir une expédition des
Marines américains contre la Russie.
N’étant même pas sûre que le président Trump soit au courant que la
Norvège est sur le point de devenir un prochain champ de bataille, la Première
ministre norvégienne, Erna Solberg, s'est
précipitée à Washington DC le 9 janvier. Ce qui a confirmé les craintes que
c’est bien le gouvernement de l’ombre, le "Deep State" américain, qui
dirigeait cette guerre, sans la connaissance de Trump. D’ailleurs, Trump lui-même l’a quasiment
confirmé lors de sa conférence de presse avec la Première ministre Solberg.
Lorsqu'on lui a directement demandé ce que voulait dire le général Neller avec
sa proclamation de guerre, Trump a répondu: "Peut-être qu'il sait quelque chose que je ne sais pas." Vidéo
Dans la même veine concernant les décisions du "Deep
State" que le président Trump ne connaît pas, il y a l’annonce par la CIA
de la création en Syrie d’une "nouvelle"
armée terroriste islamiste de 30.000 hommes fortement armés pour couper ce pays en deux. À cette
annonce, le gouvernement syrien a annoncé, à juste titre, qu'il s'agissait
d'une grave violation du droit international, la
Russie prépare des contre-mesures, et la Turquie a averti les États-Unis
qu'ils «jouaient avec le feu».
En effet, le président
turc Erdogan vient d’annoncer une attaque imminente de la Turquie contre
cette nouvelle armée américano-terroriste. D’ailleurs, les forces militaires
turques ont déjà commencé
à bombarder les bases américano-terroristes en Syrie et à déplacer un grand
nombre de chars à la frontière en prévision de l'invasion.
« L’Amérique a avoué qu’elle était en train de constituer une armée terroriste à notre frontière. Ce qui nous revient, à nous autres, c’est de tuer dans l’œuf cette armée terroriste », a lancé le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d’un discours enflammé à Ankara.
« L’Amérique a avoué qu’elle était en train de constituer une armée terroriste à notre frontière. Ce qui nous revient, à nous autres, c’est de tuer dans l’œuf cette armée terroriste », a lancé le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d’un discours enflammé à Ankara.
« Les
préparatifs sont terminés, l’opération peut commencer à tout moment », a
affirmé M. Erdogan, ajoutant que « les opérations se (poursuivraient)
jusqu’à ce qu’il ne reste plus un seul terroriste ».
Dimanche,
lors d’une allocution télévisée prononcée le 14 janvier, le président turc a
menacé de lancer une offensive contre Afrine « dans les jours à venir».
«Avec la
volonté de Dieu, nous continuerons dans les jours à venir nos opérations
lancées dans le cadre de l’opération Bouclier de l’Euphrate pour nettoyer nos
frontières sud et débarrasser Afrine de la terreur», a déclaré Recep Tayyip
Erdogan.
«Le
moindre trouble à la frontière sera, pour nous, un signal pour intervenir»,
a-t-il ajouté.
Son
porte-parole Ibrahim Kalin avait auparavant accusé ces mesures comme étant
destinées à "légitimer une organisation terroriste et la rendre
pérenne dans la région sont inquiétantes ", en allusion aux YPG qui
sont une émanation syrienne du PKK, organisation classe sur la liste terroriste
turque. «Nous
continuerons à lutter contre les organisations terroristes quelles que soient
leur nom ou leur forme, à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières»,
a-t-il prévenu.
Le SDF a été mis en scène par les États-Unis, style hollywoodien, avec beaucoup de photos de filles, mais aucune d'entre elles au combat |
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, le 15 janvier 2018, accuse Washington d'établir une "armée de terreur" le long de la frontière turque, alors que son pays se rapproche de la confrontation ouverte avec les troupes kurdes soutenues par les États-Unis en Syrie. |
Si le "Deep State" alignait l'armée américaine et / ou
les services de renseignements américains contre la Turquie - qui est membre de
l'OTAN -, les forces militaires russes n'auraient pas d'autre choix que de défendre
leur allié turc, ce qui donnerait à ces monstres du "Deep State" la
"putain de guerre" dont
ils ont si désespérément besoin.
La raison pour laquelle le
«Deep State» a si désespérément besoin de guerre, est la récente victoire du
président Trump contre lui. En effet, d’une part Trump vient d’obtenir les premières
accusations contre les alliés d'Hillary Clinton dans le scandale Uranium One , et d’autre
part, l'Arabie
Saoudite vient de mettre le prince milliardaire Aloualid Ben Talal dans
la prison de la plus haute sécurité, car il a refusé à remettre ses
dossiers bancaires (qui sont le principal
outil de blanchiment d'argent des Clinton). L’arrestation des autres
princes saoudiens corrompus a fortement secoué
le régime Obama-Clinton et le Deep State.
Hannibal GENSERIC