mardi 16 janvier 2018

La Russie prépare un Blitzkrieg sur la Norvège pendant que la Turquie se prépare à attaquer l’armée américano-terroriste en Syrie

"Si  la bagarre s'avère inévitable, sois le premier à frapper !" Vladimir Poutine.

Le président Poutine vient d’autoriser le déploiement des forces navales et d'infanterie de marine pour mener une guerre éclair visant à obtenir une victoire rapide contre le programme  de pré positionnement du corps des US Marines en Norvège. En effet, des milliers de soldats russes d'élite viennent de terminer les préparatifs de cette invasion sur leur terrain d'entraînement de Khmelyovka. Cette opération est prévue comme un appui direct aux préparatifs turcs d’attaquer la nouvelle armée américano-terroriste de 30.000 djihadistes basés en Syrie.

Le grand déploiement de personnel - y compris des ingénieurs et des sapeurs de la flotte baltique de la marine russe - a fait exploser d'énormes bombes lors d'un atterrissage fictif sur le terrain d'entraînement de Khmelyovka à Kaliningrad. Sur la photo: Une énorme explosion sur le site d'entraînement le 10 janvier 2018.
En effet, les dirigeants norvégiens ont commencé, l’année dernière, à se demander pourquoi ces forces navales américaines avaient envahi leur pays. En réponse, il y a deux semaines, le général Robert Neller, commandant des forces navales américaines, a déclaré à ses forces: «Il y a une guerre qui se prépare ... préparez-vous à un putain de combat ".
Immédiatement après la publication de cet avertissement de guerre du général Neller, le président Poutine a ordonné au ministère de la Défense de préparer l'invasion de la Norvège dans le but  de détruire tous les sites de stockage du pré positionnement des Marine Corps en Norvège, car les énormes quantités d’armes et d’approvisionnements de guerre qui y sont stockés sont destinés à soutenir une expédition des Marines américains contre la Russie.
N’étant même pas sûre que le président Trump soit au courant que la Norvège est sur le point de devenir un prochain champ de bataille, la Première ministre norvégienne, Erna Solberg, s'est précipitée à Washington DC le 9 janvier. Ce qui a confirmé les craintes que c’est bien le gouvernement de l’ombre, le "Deep State" américain, qui dirigeait cette guerre, sans la connaissance de  Trump. D’ailleurs, Trump lui-même l’a quasiment confirmé lors de sa conférence de presse avec la Première ministre Solberg. Lorsqu'on lui a directement demandé ce que voulait dire le général Neller avec sa proclamation de guerre, Trump a répondu: "Peut-être qu'il sait quelque chose que je ne sais pas." Vidéo
Dans la même veine concernant les décisions du "Deep State" que le président Trump ne connaît pas, il y a l’annonce par la CIA de la création en Syrie d’une "nouvelle" armée terroriste islamiste de 30.000 hommes fortement armés  pour couper ce pays en deux. À cette annonce, le gouvernement syrien a annoncé, à juste titre, qu'il s'agissait d'une grave violation du droit international, la Russie prépare des contre-mesures, et la Turquie a averti les États-Unis qu'ils «jouaient avec le feu».
En effet, le président turc Erdogan vient d’annoncer une attaque imminente de la Turquie contre cette nouvelle armée américano-terroriste. D’ailleurs, les forces militaires turques ont déjà commencé à bombarder les bases américano-terroristes en Syrie et à déplacer un grand nombre de chars à la frontière en prévision de l'invasion.

« L’Amérique a avoué qu’elle était en train de constituer une armée terroriste à notre frontière. Ce qui nous revient, à nous autres, c’est de tuer dans l’œuf cette armée terroriste », a lancé le président turc Recep Tayyip Erdogan,  lors d’un discours enflammé à Ankara.
« Les préparatifs sont terminés, l’opération peut commencer à tout moment », a affirmé M. Erdogan, ajoutant que « les opérations se (poursuivraient) jusqu’à ce qu’il ne reste plus un seul terroriste ».
Dimanche, lors d’une allocution télévisée prononcée le 14 janvier, le président turc a menacé de lancer une offensive contre Afrine « dans les jours à venir».
«Avec la volonté de Dieu, nous continuerons dans les jours à venir nos opérations lancées dans le cadre de l’opération Bouclier de l’Euphrate pour nettoyer nos frontières sud et débarrasser Afrine de la terreur», a déclaré Recep Tayyip Erdogan.
«Le moindre trouble à la frontière sera, pour nous, un signal pour intervenir», a-t-il ajouté.
Son porte-parole Ibrahim Kalin avait auparavant accusé ces mesures comme étant destinées à  "légitimer une organisation terroriste et la rendre pérenne dans la région sont inquiétantes ", en allusion aux YPG qui sont une émanation syrienne du PKK, organisation classe sur la liste terroriste turque.  «Nous continuerons à lutter contre les organisations terroristes quelles que soient leur nom ou leur forme, à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières», a-t-il prévenu.
Le SDF a été mis en scène par les États-Unis,
style hollywoodien, avec beaucoup de photos de filles,
mais aucune d'entre elles au combat
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, le 15 janvier 2018, accuse Washington d'établir une "armée de terreur" le long de la frontière turque, alors que son pays se rapproche de la confrontation ouverte avec les troupes kurdes soutenues par les États-Unis en Syrie.
Si le "Deep State" alignait l'armée américaine et / ou les services de renseignements américains contre la Turquie - qui est membre de l'OTAN -, les forces militaires russes n'auraient pas d'autre choix que de défendre leur allié turc, ce qui donnerait à ces monstres du "Deep State" la "putain de guerre" dont ils ont si désespérément besoin.
La raison pour laquelle  le «Deep State» a si désespérément besoin de guerre, est la récente victoire du président Trump contre lui. En effet, d’une part  Trump vient d’obtenir  les premières accusations contre les alliés d'Hillary Clinton dans  le scandale Uranium One , et d’autre part, l'Arabie Saoudite vient de mettre le prince milliardaire Aloualid Ben Talal dans la prison de la plus haute sécurité, car il a refusé à remettre ses dossiers bancaires (qui sont le principal outil de blanchiment d'argent des Clinton). L’arrestation des autres princes saoudiens corrompus  a fortement secoué le régime Obama-Clinton et le Deep State.
Hannibal GENSERIC