Ce texte est une adaptation résumée de la traduction
du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian
le 12 octobre 2020.
“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître
de leurs âmes.” Nicolas Machiavel, Le Prince
«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres
!»
Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous
le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid19
: la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une
prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une
dictature sanitaire avec le Covid 19 pour mettre en œuvre la grande
réinitialisation du capitalisme.
Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale [a] , rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» (1)
Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des
signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre
à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du
marché est porteuse de chaos.
«Ce
système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir
de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer
perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout
de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de
l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une
croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus
grandes.» (2)
Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.
De même que ce sont les États, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.
Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un
scénario planifié en deux temps simultanés:
– Tout
d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en
mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le
premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux États-Unis.
Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de
l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes
bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que
l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans
jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée.
C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec
l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans
le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement
que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le
candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney
Powell étant accablantes.
– Ensuite, la deuxième mise au pas des
peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par
son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective
planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à
l’échelle planétaire: le Covid 19.
Ce virus à la létalité de 0,05% n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.
Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid 19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre (3), pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne Youtube du FEM sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure. (4)
Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».
Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid 19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Age au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»
Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations». «Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale.
La
réponse est : jamais!»
Les
industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les
petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.
Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une
telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère «avant le
coronavirus» et «après le coronavirus» .
Tous ces commentaires montrent une seule et même chose
: Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses
acolytes pour mettre en place le grand reset.
Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.
Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».
Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)
Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».
La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le
monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les
organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur
quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des
neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement
artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout
comme «la perspective de connecter notre
cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des
nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de
Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente
permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans
aucune considération éthique. Ainsi : «Notre
peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre
accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles
réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser,
quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des
régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)
«Bon
nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter
pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au
fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront,
l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander
conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des
habitudes autrefois ancrées».
«Le mouvement de l’entreprise ira vers
une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les
entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs
effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la
température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une
application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».
Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».
Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?
La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.
Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.
Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.
Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.
Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.
C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.
Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid 19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.
Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.
Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.
Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.
Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants !
Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.
(1) le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir
mondial, Domenico Moro, éditions Delga (2) les esclaves de l’anthropocène,
Nicolas Teterel, éditions Yves Michel
(3) Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing
(4) https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY
(5) lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html
Par Winter Oak
Mondialisation.ca, 15 janvier 2021
Off-Guardian 12 octobre 2020
Résumé et adaptation par Jean-Michel Grau, Concepteur-rédacteur en communication
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Bientôt, l'installation de « QR codes » va devenir obligatoire dans les lieux accueillant du public révèle RMC. Que ce soit dans les restaurants, les bars, les salles de sports ou dans les Maison France Service, des accueils destinés à faciliter les démarches administratives de tous. Les usagers devront alors scanner ces codes avec leurs smartphones et remplir leurs informations (identité, numéro de téléphone...)
Les « QR codes » permettront notamment de remplacer les « cahiers de rappel » physiques, utilisés jusqu’à présent pour enregistrer la présence dans certains lieux publics considérés à risques par les autorités. Ce dispositif de « QR codes » vise à favoriser le « traçage » et remonter les chaînes de contaminations.
« C'est un gros chantier pour permettre la réouverture de ces lieux fermés depuis longtemps », a réagi le cabinet du secrétaire d'Etat chargé du Numérique, Cédric O, auprès de nos confrères.
Notes de H. Genséric
[1] Mondialisme.
Commission Trilatérale, Sir Keir Starmer, Jeffrey Epstein
- Chroniques
Illuminati. Une brève histoire du nouvel ordre mondial, partie II
- Affaire
Epstein: nouvelles révélations sur le vilain visage de l'élite
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nouvel ordre mondial et ses bourreaux volontaires. Par N. Bonnal
- USA
/ Iran. C'est la queue qui remue le cabot et qui fait de Biden un idiot
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futur totalitaire que les globalistes veulent pour le monde entier est dévoilé
Hannibal Genséric
Tenez Hannibal site à découvrir pour rire : https://qactus.fr/2021/01/20/q-infos-resume-rapide-de-la-journee/
RépondreSupprimerTout ce beau monde prend de l'âge et sont plus près de la tombe que du berceau !!! Leur but est de trouver le secret de l'immortalité et là ils mettent les bouchées doubles.
RépondreSupprimerIls ont tous les cobayes voulus sous la mains...
J'écris certainement des conneries mais je ne peux m'empêcher de penser aux docteurs nazis!
Si notre gentil homme Klaus avait été inculpé à Nuremberg en 1946, il se balancerait très peu de temps après sa parution
RépondreSupprimerrothschild est mort papa gates est mort adelson est mort et schwab veut nous enterrer à 80 ans avec bon papa biden.
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