mercredi 26 mai 2021

USA. Les mathématiques victimes du wokisme

Le déclin des États-Unis et de la société occidentale est bien amorcé. Mais parions qu’il s’accélérera au cours des prochaines années. Non pas en raison d’agressions extérieures, qu’elles soient politiques, économiques ou militaires, mais bien à cause du wokisme, cette idéologie toxique qui gangrène toutes les strates de la société.
Au nom de la « justice sociale », on veut tout déconstruire sans discernement, sans considérer les conséquences éventuelles sur l’avancement de la société. On a fait d’un slogan vide une arme de destruction massive !
Les mathématiques sont devenues la plus récente victime du wokisme. Par souci "d’équité", la Californie réinvente son système d’éducation de manière à décourager les enfants doués en mathématiques de suivre des cours accélérés et plus avancés. Au nom de la « justice », on nivelle par le bas. On pratique la castration intellectuelle.

Bo Winegard on Twitter: "1. Beyond bonkers, beyond parody, this math  program, funded partially by Bill and Melinda Gates, attempts to rid  mathematics classrooms of "white supremacist culture." You might ask, "how
En fait, la pseudo-vertu woke n’est rien d’autre qu’une attaque envers le mérite, le talent, les aptitudes, et l’effort. Les chevaliers de la justice sociale refusent de reconnaître le succès, et encore moins de le valoriser. Au contraire, ils redoublent d’imagination pour l’asphyxier. Il suffit que quelqu’un sorte du lot pour qu’on le sabote. 
Au nom de l’égalité, le wokisme impose la nullité.
Or, la nullité est un projet de société assassin.
D’une part, quelle injustice l’enfant doué aurait-il commise ? Et en quoi est-il « juste » de l’empêcher de progresser ? Au contraire, c’est presque de la maltraitance.
D’autre part, la stérilisation des esprits empêche l’émergence de grands talents, peut-être même de génies dont les découvertes et les inventions bénéficieraient à tous.
Aujourd’hui, on assiste au grand remplacement.
Celui où l’idiocratie, voire la nullocratie, remplace la méritocratie.

« Suprématie blanche » en mathématiques ?
 
Math is racist guys. They said because they were writing on "white" boards  lmao. : facepalm  On sait qu'il y a un grand mouvement pour remettre en cause les valeurs les plus éprouvées de notre civilisation, de notre culture et de notre histoire. Écrivains, artistes et autres personnalités éminentes du passé sont vilipendés, leurs statues détruites, les lieux portant leur nom débaptisés. Pour l'instant, et c'est heureux, ceci touche surtout les États-Unis et la Grande- Bretagne, mais ça vient chez nous : [www.revuedesdeuxmondes.fr]
Nous matheux, nous pouvions nous sentir à l'abri. Un théorème ne saurait être mis en cause pour racisme, homophobie, ou autre crime-pensée (thoughtcrime) répertorié aujourd'hui. C'est du moins ce que je croyais, et sans doute beaucoup d'entre vous comme moi.
Las ! Voici que d'Oregon nous vient ceci : [www.washingtonexaminer.com]
Oregon promoting teacher course on 'dismantling racism in mathematics'
En voici une traduction :
Le service de l’éducation de l’Oregon promeut et encourage ses éducateurs à s’inscrire à un cours qui compare l’enseignement moderne des mathématiques aux “caractéristiques toxiques de la culture de la suprématie blanche”.
Oregon encouraging teachers to take course called "Dismantling Racism in  Mathematics Instruction" in which teachers are encouraged to "Come up with  at least two answers" that might solve a math problem. |  Un bulletin d’information envoyé par l’organisme gouvernemental la semaine dernière mentionnait un cours intitulé “Un Chemin vers l’Équité dans l’Enseignement des Mathématiques : Démanteler le Racisme dans l’Enseignement des Mathématiques“, auquel les enseignants peuvent participer le 21 février. Le programme cherche à inscrire les éducateurs sur la “voie vers l’équité en mathématiques” en explorant “les ethnomathématiques” avec “une pédagogie, des pratiques et un programme d’études antiracistes et culturellement pertinents”.
“La culture de la suprématie blanche s’infiltre dans les salles de classe de mathématiques dans les actions quotidiennes des enseignants“, indique la description du cours. “ Couplée aux croyances qui sont à la base de ces actions, elle perpétue le préjudice éducatif sur les élèves noirs, latinos et multilingues, les privant d’un accès complet au monde des mathématiques”.
Le cours continue avec une section sur la “culture de la suprématie blanche” dans les classes de mathématiques, disant : “Cela renforce l’idée qu’il n’y a qu’une seule bonne façon de faire des mathématiques. L’histoire des mathématiques, de leur colonisation et de ce qui est considéré comme un savoir “acceptable” est riche et complexe. Par conséquent, la manière dont les mathématiques sont enseignées aux États-Unis doit être remise en question car elle est actuellement centrée sur les méthodes occidentales et eurocentriques de traitement et de connaissance de l’information. Lorsque les étudiants sont tenus d’apprendre de cette manière, soit ils doivent désapprendre les traditions autochtones qu’ils ont apprises pour répondre aux attentes des enseignants, soit ils sont privés de l’apprentissage des mathématiques dans leur histoire ancestrale. Pour les enseignants, le fait d’enseigner de la manière dont ils ont appris renforce également le droit au confort des enseignants, car il est plus facile de se conformer que de se mettre au défi d’enseigner les mathématiques différemment”.
Le programme insiste pour que les éducateurs “identifient et remettent en question les façons dont les mathématiques sont utilisées pour soutenir les points de vue capitalistes, impérialistes et racistes”. Il a ajouté qu’il est “sans le moindre doute faux” de supposer que les mathématiques sont une discipline “objective”.
“Le concept de mathématiques purement objectives est sans le moindre doute faux, et encore moins pour son enseignement”, a-t-il déclaré. “Soutenir l’idée qu’il y a toujours des bonnes et des mauvaises réponses perpétue l’objectivité ainsi que la peur d’un conflit ouvert”.
Le cours a plutôt encouragé les enseignants à “trouver au moins deux réponses qui pourraient résoudre ce problème”. Le cours est également truffé de conseils pour rejeter “l’individualisme” au profit du “collectivisme”.
“Bien qu’il y ait de l’intérêt à ce que les étudiants puissent travailler de manière indépendante, lorsque c’est la seule ou la plus courante des voies d’apprentissage ou de pratique, cela renforce l’individualisme et l’idée que je suis seul”, peut-on lire dans le document. “Cela ne valorise pas le collectivisme et la compréhension de la communauté, et favorise les conditions de concurrence et de réussite individuelle, ce qui perpétue l’idée que si un étudiant échoue, c’est parce qu’il ne fait pas assez d’efforts ou qu’il s’en moque“.
La formulation comportait également une attaque apparente contre les pratiques capitalistes.
“Nous ne pouvons pas démanteler le racisme dans un système qui exploite les gens pour le profit privé”, a-t-il déclaré. “Si nous voulons démanteler le racisme, alors nous devons construire un mouvement pour une justice économique.”
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Les profs de maths,  suppôts du suprématisme blanc ?
Un document diffusé par des associations pédagogiques californiennes affirme que le suprématisme blanc est partout dans l’enseignement des mathématiques. Mathématicien et enseignant à l’université Sorbonne Paris Nord, Benoît Rittaud se demande s’il vaut mieux en rire.
Les tables de multiplication se fichant du « mariage pour tous » et le carré de l’hypoténuse n’ayant pas d’avis sur les mérites comparés des différentes religions, les enseignants de mathématiques pouvaient jusque-là s’estimer à l’abri des questions décoloniales, des problématiques de genre et autres luttes intersectionnelles qui envahissent parfois les salles de cours. Las ! Ce temps des mathématiques comme havre de paix, où l’inclusion se rattachait à la théorie des ensembles plutôt qu’au racisme systémique, touche à sa fin.
C’est qu’il y a de quoi faire. Qu’on se le dise : les enseignants de mathématiques forment une horde sournoise de suprémacistes blancs.
Cette révélation des plus préoccupantes nous est faite par un document concocté par une impressionnante brochette d’associations pédagogiques californiennes.
On y apprend que « la culture de la suprématie blanche s’immisce dans les classes de mathématiques au travers des actes quotidiens des enseignants. Joints aux croyances qui les sous-tendent, ces actes perpétuent les préjudices à l’encontre des élèves noirs, latinos et allophones, en leur refusant un plein accès au monde des mathématiques ».

Je relis fébrilement les fiches d’exercices que je donne à mes étudiants… On tire deux boules d’une urne qui en contient huit blanches et cinq noires, déterminer la probabilité que les deux soient blanches… Devrais-je plutôt mettre des boules rouges et bleues ? Peut-être, mais ça ne suffira pas. Que croyais-je ? Ils sont repérés depuis longtemps, ces enseignants qui croient donner le change par des « modifications superficielles tels que le remplacement des prénoms dans les problèmes pour leur donner une tonalité plus ethnique ». Les spécialistes de la déconstruction du racisme dans l’instruction mathématique ne laisseront pas la bête immonde s’en sortir par de telles pirouettes !
Le suprématisme blanc se doit d’être traqué dans chacune de ses cachettes.

Du point de vue de l’Histoire universelle, les mathématiques sont l’un des domaines les mieux partagés par toutes les civilisations et toutes les cultures.
- Vous enseignez les mathématiques de la même manière que vous les avez apprises ? Suprémactisme blanc.
- Vous demandez à vos élèves de vous montrer ce qu’ils ont fait ? Suprématisme blanc.
- Vous centrez vos objectifs sur l’obtention de la bonne réponse ? Suprématisme blanc.
- Vous corrigez les erreurs ? Suprématcisme blanc.
Pour écraser l’infâme, le document préconise force méthodes pédagogiques tout droit sorties de l’imaginaire d’Épinal auquel souscrivent volontiers ceux qui ne sont pas trop souvent face à des élèves. Mais pour cette fois, leur naïveté gentillette n’est pas ce qui frappe le plus. Ce qui étonne vraiment, c’est cet improbable lien avec la question raciale, nulle part démontré. Et pour cause…
...

En formant de futurs ingénieurs de toutes les couleurs de peau et de toutes les origines dans mon université au cœur de la Seine-Saint-Denis, je mesure chaque année combien les mathématiques sont un moyen puissant d’ascenseur social. Du point de vue de l’Histoire universelle, elles sont aussi l’un des domaines les mieux partagés par toutes les civilisations et toutes les cultures, aux antipodes de toute considération raciale ou même culturelle. C’est pourquoi, lorsque le document californien m’affirme que « considérer un ‘bon’ enseignement des maths comme un antidote aux inégalités mathématiques pour les Noirs, les Latinos et les allophones » est, là encore, de la suprématie blanche, j’en conclus deux choses.
- La première : je ne suis pas près d’aller enseigner en Californie.
- La seconde : la faiblesse avérée des digues françaises face à ce genre d’idées, qui déferlent d’outre-Atlantique, doit nous mettre sans attendre sur le qui-vive.

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"Racisme anti-blanc" dans les meilleures universités ?
Si l'Ivy League avait un mantra, ce serait la diversité. Depuis 20 ans, elle a soutenu les efforts rhétoriques et juridiques pour accroître la représentation des Noirs et des Hispaniques dans les institutions d'enseignement supérieur les plus prestigieuses d'Amérique.
Mais caché à la vue de tous aussi bien à Harvard que sur les campus d'élite à travers le pays, se trouve un dilemme de diversité qui peut démystifier ce mantra de manière déconcertante: la surreprésentation des étudiants asiatiques et juifs et la sous-représentation des blancs non juifs, en particulier des ethnies blanches comme les Italo-Américains et des groupes religieux comme les baptistes du Sud et autres évangéliques.
À l'heure actuelle, à Harvard, l'école la plus élitiste d'Amérique, on estime que 20% des étudiants de premier cycle sont juifs et presque 20%  sont asiatiques. Ensemble, les Juifs, seulement 2% de la population américaine, et les Asiatiques, seulement 3%, représentent près de 40% des inscriptions à Harvard. C'est à peu près le même que le pourcentage d'étudiants de Harvard qui sont blancs non juifs, un groupe qui représente plus de 70% de la population américaine.
Les étudiants juifs sont sur représentés dans les huit écoles de l'Ivy League.
En pourcentage, Columbia est en tête avec 27%, suivie de Cornell (20%), UPenn (17%), Brown (14%) et Yale (13%).

Rappelons une locution du président Clinton: "Faisons en sorte que les Ivy Leagues ressemblent davantage à l'Amérique". 
Jusqu'à présent, la sous représentation a été un problème concernant les minorités. Mais comment parlerons-nous du problème des "sous-représentés'' lorsqu'ils forment 70% de la population ? 
Si les 2% de juifs trustent plus de 50% des postes du gouvernement fédéral Biden et Trump, les 3% d'Asiatiques y sont quasi invisibles.
 
#James_Baker to call the Congress "The Little Knesset" after Israel's Knesset (parliament) in Jerusalem. [1]
#Paul_Craig_Roberts
wrote "When the world looks at America, what it sees is an Israeli colony",
#Pat _
described Capitol Hill as "Israeli-occupied territory".
 
Cet énorme monstre endormi, la droite chrétienne, est le groupe le plus sous-représenté. Obnubilés par leur soumission quasi fanatique au sionisme agressif, ces chrétiens évitent d’en parler, de peur d'offusquer leurs patrons juifs. 
Mais, ce n'est plus qu'une question de temps avant que les plus brimés et les plus nombreux ne commencent à réclamer, eux aussi, le mantra de la diversité.
NOTES
[1] La longue histoire du soutien du Congrès américain à Israël a conduit l'ancien secrétaire d'État James Baker à appeler le Congrès "La Petite Knesset" après la Grande Knesset, qui est le parlement d'Israël à Jérusalem. Un sénateur américain a déploré qu'il avait le droit de critiquer son propre gouvernement, mais pas un tel droit de critiquer le gouvernement d'Israël même si ses actions étaient contraires à l'intérêt national américain. Paul Craig Roberts a écrit "Quand le monde regarde l'Amérique, ce qu'il voit est une colonie israélienne", et l'ancien candidat présidentiel Pat Buchanan a décrit Capitol Hill comme "un territoire occupé par Israël".
 
Il y a quelques années, Paul Findley a écrit un livre intitulé "Ils osent parler", détaillant l'influence juive et le contrôle du gouvernement américain. Dans son livre, Findley a cité le sénateur américain William Fulbright, alors président de la commission des relations extérieures du Sénat, qui avait mené des enquêtes sur le contrôle étranger du gouvernement de son pays, et qui avait écrit en 1973:

"Israël contrôle le Sénat ... environ 80% (des sénateurs américains) soutiennent totalement Israël, et l'influence juive à la Chambre des représentants est encore plus grande. Tout ce qu'Israël veut (Israël obtiendra). ... [Israël] est capable d'étouffer la liberté d'expression, de contrôler notre Congrès et même de dicter notre politique étrangère ".
Dans une interview à CBS TV, Fulbright a déclaré en outre:
"Les Israéliens contrôlent la politique au Congrès et au Sénat. Je sais à quel point il est presque impossible dans ce pays de mener une politique étrangère [au Moyen-Orient] non approuvée par le Juifs ... le contrôle formidable des Juifs sur les médias d'information et le barrage que les Juifs ont construit sur les membres du Congrès ...Je suis très préoccupé par le fait que l'influence juive ici domine complètement la scène et rend presque impossible d'amener le Congrès à faire quelque chose qu'il n'approuve pas. L'ambassade israélienne dicte pratiquement au congrès par l'intermédiaire de personnes juives influentes dans le pays. "

 

Le rabbin Cohen a déclaré dans sa désormais célèbre conférence :

"(Le président américain) Wilson a signé la Federal Reserve Act et nous a donné un pouvoir financier total sur les États-Unis. En tant que propriétaires uniques de la FED, nous contrôlons tout le commerce américain et tirons les ficelles du gouvernement . Bien que nous, les Juifs, n'en formions que 4%  de la population américaine, plus de soixante pour cent des nominations politiques de Clinton sont allées à des juifs. En tant que juges de la Cour suprême, ambassadeurs étrangers, fonctionnaires du FBI et de la CIA et officiers du Parti démocrate, nous contrôlons désormais à 80% le Gouvernement des États-Unis "

Comment cela peut-il être plus clair que cela? De façon inquiétante, Cohen a également ajouté cette déclaration: "Et ainsi nous aurons notre vengeance ... chaque homme, femme et enfant des goyim (non-juifs) doit être détruit sans pitié."



2 commentaires:

  1. Notre société est totalement folle, je suis récemment allée dans une bibliothèque scientifique universitaire et j'ai été stupéfait d'être le seul Européen parmi tous les étudiants asiatiques là-bas ... Mais quand je suis allé à la bibliothèque générale, beaucoup d'étudiants européens étudiaient pour leur, Étude féministe, diplômes d'études sur la justice sociale et étude sur la tolérance LGBTQ

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    Réponses
    1. Vargas Llosa en parlait il y a dix ans dans son livre sur la Société du Spectacle. Fin des bibliothèques universitaires...

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