mardi 7 janvier 2025

L’année 2025 est une merveille mathématique

Jérôme Cottanceau, professeur de mathématiques et blogueur, a analysé l’année 2025. Verdict : c’est une année « incroyable ».

L’année 2025 est un « carré parfait » en mathématiques (photo d’illustration).
L’année 2025 est un « carré parfait » en mathématiques (photo d’illustration).

NOUVEL AN - Une année « carrément parfaite ». C’est un jeu de mots qui fait sourire les passionnés de mathématiques en ce début d’année 2025. Dans un article publié ce mercredi 1er janvier sur son blog, Jérôme Cottanceau, professeur de mathématiques « dans un petit lycée de campagne » comme il le dit, explique pourquoi cette expression est mathématiquement exacte. En effet, 2025 est un « carré parfait », c’est-à-dire le résultat de 45 multiplié par lui-même (45 × 45). Une particularité numérique plutôt rare.

La dernière année au carré parfait remonte à 1936, produit de 44 × 44. La prochaine ? Il faudra patienter jusqu’en 2116 pour retrouver ce phénomène, avec 46 × 46. Ces années au carré parfait sont donc de véritables curiosités dans l’histoire du calendrier. « Il y a fort à parier que 2025 sera le seul carré parfait de votre vie. Profitez-en bien ! », résume ainsi un internaute sur X, en ce début d’année.

Pour autant, ce n’est pas la seule particularité mathématique de cette année 2025, pointe Jérôme Cottanceau, professeur au lycée Léonard-de-Vinci de Montaigu-Vendée, sur son blog intitulé Choux Rom & co. En matière d’arithmétique, cette année se révèle particulièrement intéressante. En effet, deux calculs étonnants permettent également d’arriver à 2025.

  • Premier cas : additionnez tous les chiffres de 1 à 9, puis multipliez ce total par lui-même. Cela donne : (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 + 8 + 9) × (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 + 8 + 9) = 2025.
  • Encore plus étonnant, 2025 est également la somme des cubes des chiffres de 1 à 9 :
    1³ + 2³ + 3³ + 4³ + 5³ + 6³ + 7³ + 8³ + 9³ = 2025.

Le professeur détaille ses calculs dans cette  vidéo .

La découverte de cette relation étonnante est attribuée au mathématicien grec Nicomaque de Gérase. La dernière fois qu’une année répondait à son théorème, c’était en 1296, le carré de la somme des chiffres de 1 à 8. Il faudra désormais attendre un millénaire tout rond pour vivre une nouvelle année de Nicomaque, en… 3025, soit mille ans comme le cube de 10.

« C’est l’héritage de l’arithmétique à la grecque, commente Jérôme Cottanceau auprès du Parisien. C’est une propriété qui n‘est pas évidente au premier coup d’œil. Je pense qu’elle n’a pas d’utilité particulière, malgré l’élégance de la démonstration, ce à quoi les mathématiciens sont très attachés. » Une chose est sûre, ces propriétés uniques font déjà de 2025 une année fascinante pour les amateurs de nombres et tous les curieux.

Source 

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2025 quelques propriétés

Une année complète comprend généralement 52 semaines et 1 jour (ou 52 semaines et 2 jours pour une année bissextile).

  • 2025 n'est pas bissextile (365 jours).
  • Il y aura donc exactement 52 semaines et 1 jour en 2025.

Cela signifie que l'année se terminera également un mercredi (31 décembre 2025).

On rappelle que les années sont bissextiles une fois tous les quatre ans. Sauf l'année du siècle et cela trois fois sur quatre.
Soit toutes les années divisibles par 4, sauf les siècles à l'exception des siècles divisibles par 4 (années divisibles par 400).

  • Il n'y aura qu’un seul vendredi 13 en 2025, qui sera le 13 juin 2025.
  • 2025 est une année à 52 dimanches. On a eu 53 dimanches en : 2000, 2006, 2012, 2017 et 2023.

Années carrées et cubes ?
2025 première année carrée de ce siècle

2025 est la première année carrée de ce siècle car

depuis 1936 (= 44²).
Tableau: les précédentes années carrées et les suivantes. Notez l'écart entre elles qui vaut


En développant :

2025 Année produit de carrés ?

Puisque

on peut écrire 2025 sous forme d'un produit de deux carrés :

 Et les années cubes ?

Une année cube est une année qui peut être exprimée comme le cube d’un entier.

  • Année cube précédente : 1728

  • Année cube suivante : 2197

 2025 et quelques décompositions

Nombre de Harshad ou de Niven

Comme 2024, 2025 est un nombre Harshad ou de Niven, c'est à dire un nombre divisible par la somme de ses chiffres soit ici :

Autres Curiosités de 2025

Avec 20 et 25         

On avait      

2025 en somme de cubes 

 

 

C'est un cas particulier du théorème de Nicomaque

Le théorème de Nicomaque, attribué à Nicomachus de Gérase (environ 60 - 120 après J.-C.) énonce que la somme des cubes des premiers entiers naturels est égale au carré de leur somme : En d'autres termes :

Nicomaque n'a pas démontré le théorème de manière rigoureuse. Il l'a probablement découvert par observation et vérifications empiriques.

Il y a bien d'autres propriétés remarquables pour 2025... 

Hannibal Genséric

8 commentaires:

  1. Israël intensifie sa propagande et alloue 150 millions de dollars pour dissimuler le génocide.
    Alors que le génocide des Palestiniens de Gaza fait rage, le régime israélien intensifie sa campagne de propagande, allouant des fonds sans précédent pour façonner l’opinion publique mondiale.

    Le budget annuel du ministère israélien des Affaires étrangères pour la soi-disant « diplomatie publique », également connue sous le nom de Hasbara, a atteint le montant stupéfiant de 150 millions de dollars en 2025, soit une multiplication par 20 par rapport à l'année dernière.

    Cette mesure vise à blanchir les crimes de guerre effroyables du régime d'apartheid à Gaza et à redorer son image internationale, alors que la condamnation mondiale de sa campagne génocidaire continue s'accroît.

    Cette généreuse allocation de fonds, destinée à amplifier la propagande pro-sioniste, intervient alors que l’opinion publique mondiale s’est vivement retournée contre le régime de Tel-Aviv en raison de sa guerre d’extermination à Gaza.

    Depuis le lancement de la guerre le 8 octobre 2023, le régime israélien a largué 88 000 tonnes d’explosifs sur le minuscule territoire assiégé, détruisant des maisons, des hôpitaux, des écoles et des camps de réfugiés.

    La guerre a fait près de 46 000 morts et environ 109 000 blessés au cours des 15 derniers mois. Parmi les martyrs figurent plus de 17 800 enfants et 12 300 femmes, selon le ministère de la Santé de Gaza.

    Le ministère a recensé plus de 9 000 massacres contre les Palestiniens au cours de cette période, avec des dizaines de milliers de personnes déplacées et sans abri, et beaucoup d’autres aux prises avec la faim.

    Selon le nouveau budget annoncé plus tôt cette semaine, le ministère des Affaires étrangères du régime israélien devrait recevoir des fonds massifs pour ses efforts dits de « diplomatie publique », afin de laver les taches.

    Dans le cadre de ce programme, le ministère entend embaucher des influenceurs des médias sociaux, des leaders d’opinion et des célébrités pour réparer l’image ternie du régime meurtrier d’enfants à Tel-Aviv.

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  2. Démasquer l'esprit maléfique de Hasbara
    Hasbara, un terme hébreu signifiant « explication », est utilisés par les Israéliens pour désigner la propagande visant à modifier la perception globale d’Israël.
    Qu'est-ce que Hasbara ?

    Hasbara fait référence aux efforts de « diplomatie publique » du régime d’apartheid israélien qui visent à façonner les perceptions internationales et à justifier ses crimes de guerre génocidaires sans fin contre les Palestiniens.

    Le terme a été popularisé au début du XXe siècle par l’activiste sioniste polonais Nahum Sokolow, qui le décrivait comme une stratégie qui « cherche à expliquer les actions, qu’elles soient justifiées ou non ».

    Historiquement, la Hasbara a évolué à partir des premiers efforts de propagande sioniste, où les Juifs arabophones cherchaient à camoufler les véritables objectifs du sionisme auprès des communautés arabes.

    Aujourd’hui, elle englobe les méthodes de communication modernes, notamment les campagnes sur les réseaux sociaux, pour contrer les différents récits sur les offensives et les politiques meurtrières d’Israël dans les territoires palestiniens occupés.

    Selon les observateurs sionistes, Hasbara fonctionne comme un euphémisme pour la propagande, déformant les faits pour présenter le régime d’occupation comme une victime tout en décrivant les Palestiniens occupés comme des agresseurs.

    D’éminents groupes de pression sionistes tels que l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) et l’Agence juive pour Israël (JAI) fournissent des ressources et une formation aux défenseurs de l’islam pour qu’ils s’engagent dans la Hasbara.

    Par exemple, l’Agence juive est chargée de parrainer des bourses Hasbara dans différents pays, qui forment des étudiants à promouvoir des opinions pro-sionistes et anti-palestiniennes sur les campus universitaires.

    Le régime israélien soutient directement ces initiatives, avec des bureaux dédiés au sein de ministères tels que ceux des Affaires étrangères et de la diaspora.

    Depuis octobre 2023, et dans le contexte de la guerre génocidaire contre les Palestiniens à Gaza, ces efforts se sont considérablement intensifiés, comme en témoigne l’augmentation de 20 fois du budget de Hasbara de cette année.

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  3. L'AIPAC est un groupe de pression sioniste de premier plan qui s'engage dans la Hasbara
    Selon les experts, la forte augmentation du budget de Hasbara du régime israélien cette année est liée à la colère et à l'indignation croissantes à travers le monde face aux crimes de guerre génocidaires perpétrés par le régime israélien à Gaza.

    Les mandats d’arrêt émis contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant par la Cour pénale internationale (CPI) ainsi que les décisions historiques de la Cour internationale de justice (CIJ) sur le génocide de Gaza ont contribué à la montée du sentiment antisioniste dans le monde entier.

    Les crimes de guerre et les massacres quotidiens à Gaza, selon les experts, placent le régime israélien dans une position dangereuse, même des voix pro-régime appelant désormais à la fin de l'occupation en Palestine.

    Le récent raid militaire israélien sur l'hôpital Kamal Adwan dans le nord de la bande de Gaza, qui a conduit à la détention massive de personnel médical, dont le directeur de l'hôpital, le Dr Hussam Abu Safiya, a déclenché des protestations généralisées dans le monde entier, qui se poursuivent encore aujourd'hui.

    À New York, des manifestants devant le consulat israélien ont scandé « Libérez Gaza ! » et « Arrêtez le siège ! » À Londres, des manifestants à Trafalgar Square brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Les soins de santé sont un droit humain » et « Mettre fin à l'apartheid israélien ».

    Des militants à Paris ont défilé près de la Tour Eiffel, aux cris de « Solidarité avec la Palestine ! » et « Plus de crimes de guerre ».

    À Berlin, des manifestants ont déployé des banderoles devant la Porte de Brandebourg sur lesquelles on pouvait lire « Défendons les établissements médicaux ! » et « Justice pour Gaza ! » À Toronto, des rassemblements sur la place Nathan Phillips ont fait écho aux appels à la « paix en Palestine ».

    Ces manifestations témoignent d’un sentiment anti-israélien croissant dans le monde occidental, où les gouvernements sont complices du génocide en cours à Gaza.

    Selon le quotidien israélien The Times of Israel, l'allocation de ce budget intervient alors que « l'opinion publique » à l'égard du régime israélien aux États-Unis et dans d'autres pays a été « intensément malmenée ».

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  4. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu (à gauche) serre la main du leader de Nouvel Espoir, Gideon Sa'ar, après que ce dernier a annoncé son retour au cabinet le 29 septembre 2024.
    Le ministre des Affaires étrangères du régime israélien, Gideon Saar, aurait déclaré que le budget serait destiné à influencer « le sentiment dans la presse étrangère et sur les réseaux sociaux ».

    Sa'ar a également déclaré son intention de se concentrer sur les « campus universitaires américains », ajoutant que l'initiative sera menée en coopération avec des groupes sionistes américains.

    En avril 2024, une vague de manifestations universitaires a déferlé sur les États-Unis, marquant une escalade significative de l’activisme étudiant concernant la guerre génocidaire israélienne à Gaza.

    Le mouvement a débuté à l'Université de Columbia le 17 avril, lorsque des étudiants ont installé le « Camp de solidarité avec Gaza » avec environ 50 tentes, exigeant que l'université se désinvestisse des entreprises soutenant Israël.

    Après l’intervention de la police et les arrestations massives du 18 avril, les campements de solidarité se sont rapidement étendus à plus de 100 campus à travers le pays, et ont été réprimés par les forces de l’ordre.

    Le quotidien israélien Maariv a cité Saar disant qu'il était déterminé à apporter un changement.

    « Chaque shekel consacré à cette cause est un investissement, pas une dépense, et renforcera Israël et sa position dans le monde », a-t-il déclaré, faisant référence au projet Hasbara.

    Selon certaines informations, il a organisé des réunions avec des influenceurs des médias sociaux, des personnalités culturelles et des défenseurs de la diplomatie publique à l’étranger pour discuter des stratégies de mise en œuvre du plan. Parmi les participants à ces sessions figuraient d’anciens responsables israéliens, des influenceurs des médias et même des humoristes.

    Jeudi, Saar a tenu une réunion avec un groupe de candidats et a souligné la nécessité d'un changement stratégique dans l'approche du régime, qualifiant cet effort de « guerre de conscience » plutôt que de « Hasbara ».

    Tout au long de la session, Sa'ar a réitéré comment l'image déformée du régime israélien dans le monde a limité la capacité des dirigeants politiques de Tel-Aviv à manœuvrer sur la scène internationale.

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  5. Des partisans pro-palestiniens ont organisé un campement de protestation sur le campus de l'Université de Columbia le 26 avril 2024 à New York.
    Dans le même temps, des militants ont critiqué et ridiculisé cette décision, affirmant qu'elle cherchait à justifier la campagne génocidaire du régime à Gaza, qui a suscité une condamnation internationale généralisée.

    L'augmentation du budget pour la soi-disant « diplomatie publique » coïncide avec l'intensification des raids militaires israéliens sur les établissements de santé de Gaza, notamment l'hôpital Kamal Adwan dans le nord de Gaza.

    Le dernier établissement de santé en activité dans le nord de Gaza a récemment été entièrement évacué et le personnel médical a été arrêté, sans aucune information disponible sur le lieu où il se trouve.

    Depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023, 1 068 membres du personnel médical ont été martyrisés. En outre, 331 membres du personnel médical ont été arrêtés, et beaucoup ont été exécutés dans les prisons.

    Les attaques israéliennes ont rendu 34 hôpitaux inopérants, forcé la fermeture de 80 centres de santé et ciblé 162 établissements de santé. Au moins sept fosses communes ont été identifiées à l'intérieur d'hôpitaux.

    Alors que le ministère israélien des Affaires étrangères annonçait l'augmentation de son budget pour les influenceurs, la personnalité politique Van Jones est apparue aux côtés de Noa Tishby, productrice, actrice et fervente partisane de la politique israélienne.

    Le 29 décembre, Tishby a partagé une vidéo sur son compte X (anciennement Twitter) dans laquelle Jones participait à l'allumage de la « toute première bougie de Hanoukka ».

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  6. Van Jones (à gauche) célèbre son tout premier Hanoukka avec Noa Tishby.
    « @VanJones68 se joint à moi pour allumer sa toute première bougie de Hanoukka. Nous avons parlé du lien puissant entre les communautés noire et juive et de l'importance de se montrer solidaires les uns des autres », a-t-elle écrit, beaucoup liant cela au nouveau projet Hasbara.

    Tishby a décrit Jones comme « l'un des plus puissants alliés de la communauté juive ces dernières années ». L'auteur américain a répondu qu'ils cherchaient à « réparer le monde ».

    La vidéo a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Certains ont commenté la publication de Tishby en soulignant les cas de mauvais traitements infligés aux Noirs par les colons illégaux dans les territoires occupés.

    « Voilà comment votre peuple traite les Noirs en Israël ! » a écrit un utilisateur nommé Truth Seeker.

    Sur son compte X, Drop Site a partagé une vidéo montrant de jeunes garçons en train de planter un tonneau et a expliqué que les « campagnes coordonnées de Hasbara » impliquent généralement d'éminents propagandistes (Hasbaraïstes), qui diffusent la même désinformation malgré des preuves substantielles du contraire.

    L'article a également montré comment la même vidéo non datée a été partagée par des comptes de propagande, tous affirmant que les jeunes garçons étaient des membres du Hamas qui posaient des bombes près d'un hôpital à Gaza.

    La page a également noté que la vidéo avait été initialement partagée par le COGAT, l'organisme du régime israélien chargé de coordonner l'aide à Gaza, et avait été amplifiée par d'éminents hasbaristes.

    Selon le compte-rendu, cette libération a coïncidé avec l'indignation mondiale suscitée par l'attaque israélienne contre l'hôpital Kamal Adwan, dans le nord de Gaza, au cours de laquelle l'hôpital a été incendié, son directeur enlevé et, semble-t-il, envoyé dans l'une des tristement célèbres prisons israéliennes pour y être torturé.

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  7. l'héritage de l'arithmétique, c'est encore une science islamique qui l'a découverte avant le révisionnisme gréco-romain qui nageait encore dans le paganisme de l'occultisme des divinités païennes une de leur célèbre citation pour devenir intelligent, il faut mettre sa tête une grenouille
    La place des représentations de grenouilles dans le contexte
    La grenouille est en effet un animal à charge symbolique complexe.
    Elle est si étrange, et représente tant de forces apparemment contradictoires à première vue (mort et vie, fécondité et morbidité, ténèbres et lumière), que certains auteurs parlent de polydémonisme. Les grenouilles et les crapauds en contexte dans le monde gréco-romain : Fonctions possibles et symbolisme
    Dans ce contexte, il est plutôt nécessaire d'apporter un rétablissement historique concernant ce révisionnisme gréco-romain qui continue à ce romancier de leur histoire primitive des découvertes scientifiques des autres.

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    1. Apparemment, vous n’avez aucune connaissance de l’histoire réelle.
      Les mathématiques de la Grèce antique sont les mathématiques développées en langue grecque, autour de la mer Méditerranée, durant les époques classique et hellénistique. Elles couvrent ainsi une période allant du VIe siècle AVANT. J.-C. jusqu'au Ve siècle de notre ère. Dans l'histoire des sciences, on désigne par sciences arabes, les sciences qui se sont épanouies en terres d'Islam entre le VIIIe siècle et le XVe siècle. L'adjectif « arabe » fait référence à la langue scientifique qui, à cette époque, permet de transmettre les connaissances scientifiques d'un bout à l'autre de l'empire arabo-musulman.
      Grosso modo, les math grecques ont précédé les math arabes d’environ 1000 ans !!

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