lundi 2 mai 2016

L’origine satanique de DAECH

J’ai retrouvé dans le Diable au XIXème siècle une information stupéfiante concernant certaines populations vivant dans la zone où sévit actuellement l’armée de l’Etat Islamique, plus communément appelé DAECH.
D’où sortent-ils réellement ?
Comment ont-ils pu être aussi efficaces en si peu de temps ?
Pourquoi ces hommes font-ils preuve d’une barbarie et d’une cruauté que l’on pensait éteintes dans une société aussi civilisée que celle de notre XXème siècle ?
Quel est leur but réel ?

daech

Toutes ces questions ont une réponse et vous allez comprendre en lisant les lignes qui vont suivre. Car, de même qu’il n’y a pas de fumée sans feu, il n’y a pas d’explication réelle sans se rapporter à la période bien spécifique que nous vivons, à savoir la fin des temps.
L’émergence d’une telle force et l’attitude des Occidentaux à son égard s’inscrivent dans un plan occulte et secret prévu de longue date, aux acteurs soigneusement préparés depuis des générations en vue de la grande confrontation, la fameuse bataille de l’Armageddon.
Nous y sommes presque.
le-diable-au-19e 
Un mot sur le Diable au XIXème siècle. 
Il s’agit d’une série d’ouvrages écrits en 1894 et 1895 par le docteur Bataille, et consistant en une compilation de révélations sur l’occultisme, le satanisme, la franc-maçonnerie, et surtout la réalité du luciférianisme dans la franc-maçonnerie. C’est ce genre d’ouvrage qui a vulgarisé les écrits d’Albert Pike et du palladisme (haute franc-maçonnerie luciférienne) et démontré la relation directe de ces sociétés secrètes et de certaines religions avec le prince de ce monde.
Ces ouvrages recensent des témoignages, notamment par le biais de l’infiltration de la franc-maçonnerie par le docteur Bataille (mais pas uniquement), ainsi que l’observation d’un certain nombre de faits historiques, politiques, scientifiques ou religieux.
Bien entendu, tout ce qui dénonce un tant soit peu la franc-maçonnerie, surtout avec autant de détails qui lui sont hautement défavorables, est méchamment attaqué afin d’être discrédité. Le ou les auteurs présumés, vu les révélations faites, étant forcément des ex-occultistes de haut niveau, repentis ou convertis au catholicisme, il est facile d’utiliser leur passé pour distiller le doute concernant lesdites révélations. Il n’empêche, la plupart des observations formulées ont été constatées également par d’autres auteurs réputés sérieux, dénonciateurs eux aussi des mécanismes sataniques de la franc-maçonnerie.
On peut toujours critiquer le docteur Bataille ou Léo Taxil et semer le doute à leurs sujets, ce qui est relativement facile, mais quand Monseigneur Jouin, Henry Coston, William Guy Carr ou le marquis de la Franquerie (pour n’en citer que quelques uns) parviennent à peu près aux mêmes observations et conclusions sur le fonctionnement de la franc-maçonnerie, à quelques détails près, il y a fort à parier que malheureusement ces révélations sont pour la plupart fondées.
J’en veux pour preuve d’ailleurs que ces ouvrages sont complètement oubliés, ignorés, même par la plupart des dénonciateurs de la franc-maçonnerie. Si vous voulez connaître la vérité, il faut toujours chercher ce qui est caché et que nos ennemis n’ont pas intérêt à voir dévoiler, surtout quand ils sont concernés.
N’oublions pas qu’ils sont passés eux-mêmes maîtres dans l’art de la mystification, c’est-à-dire qu’ils suscitent de pseudo-dénonciateurs qui mêlent intelligemment le vrai et le faux afin de désorienter les honnêtes chercheurs, et surtout de les diriger dans de fausses directions.
La base de la subversion est de maîtriser à la fois ceux qui dirigent le système et ceux qui dénoncent le système ; ainsi il est très difficile de connaître les véritables enjeux.
Ainsi donc, je retrouve incidemment il y a quelques jours dans le tome 4 du Diable au XIXème siècle un chapitre intitulé Le diable à l’assaut du saint Sépulcre et c’est alors que toute l’affaire DAECH s’éclaire.
Voici la clé. Écrite il y a plus de 100 ans je le rappelle, mais dont l’actualité est aujourd’hui criante. Il suffisait d’attendre.
En bleu le texte original, en noir mes commentaires.

L’armée de l’EI provient de tribus sataniques installées dans la région depuis des générations

« Les adorateurs du diable existent par milliers et milliers ! Tout le Kurdistan en est rempli, toute l’Arménie turque, et ils s’étendent jusqu’en Syrie et en Palestine.
Yézidis, Daseni, Chemsieh, ces trois mots signifient Jézides, les plus exécrables des banabacks. Ceux de la province russe de la Transcaucasie sont au nombre de 4400 familles au moins ; on en compte autant dans le Kurdistan persan, et près du double dans le Kurdistan turc. Ce sont là des familles fixées dans ces pays, mais il y a les tribus nomades qui échappent à toute évaluation exacte. Moritz Wagner, dans sa remarquable étude de ces contrées de l’Asie antérieure estime que, parmi les kurdes nomades, les Jézides qui se cantonnent principalement dans les montagnes de Sindjar, au nord des campagnes de la Mésopotamie, sont au nombre de 50.000, épars sur un espace considérable, et déjouant toute répression. Selon Théophile Deyrolle (Voyage dans le Lazistan et l’Arménie), ils sont fort nombreux aux environs du Sipan-Dagh, au nord du lac de Van.
« Les Yézidis adorent le diable, écrit M. Deyrolle ; leur doctrine inspire également de l’horreur aux persans, aux turcs et aux chrétiens. »
Une de leurs tribus, fixée entre Mossoul et le Khabour, affluent du Tigre, pouvait, au commencement de ce siècle, mettre sur pied environ 8000 hommes, dont 6000 fantassins.
Chaque tribu de Jézides est gouvernée par un cheikh indépendant ; mais toutes relèvent au spirituel du Mir, sorte de pape sataniste ou cheikh-kan, qui réside au bourg de Baadlî, situé sur une roche escarpée. Ce Mir, qui est choisi parmi les descendants d’Yésid, fondateur de la secte, est en même temps le prince de la tribu sur le territoire de laquelle se trouve le tombeau révéré de leur grand saint, le cheikh Adi, auteur de leur livre de doctrine, Aswat ou « le Noir » ; les sectaires se rendent en pèlerinage à ce lieu sacré, leur saint sépulcre, au nord de Mossoul, sur la route d’Amadiah. Ils ont encore un sanctuaire vénéré à Lalech, village où vécut un de leurs prophètes.
On le voit, les Jézides ne sont pas des mythes ; les témoignages abondent sur leur religion à rebours, sur leurs mœurs, féroces dans les contrées que leurs bandes terrorisent.
Le fait est que leur origine est bien confuse. Il y a dans la doctrine qu’ils affichent un mélange, en apparence bizarre, de manichéisme, de parsisme, de mahométisme et de judaïsme. Autant que les musulmans et les juifs, ils ont la haine des chrétiens, même ils les détestent encore à un plus haut degré.
Tout porte à croire qu’ils sont les descendants directs des premiers Manichéens. La contrée dont ils proviennent, où ils sont en force, est celle-là même où Manès conçut et propagea ses doctrines avec le plus de succès. Le nom de leur cheikh vénéré, de leur grand saint, Adi, est celui d’un des plus zélés disciples de Manès.
Comme les anciens mages, comme les sectateurs de Zoroastre, ils qualifient d’Ahriman, dieu du mal, la divinité qu’ils reconnaissent, mais qu’ils refusent d’adorer, et ils réservent leurs hommages à un Ormuzd nettement luciférien, un dieu du feu, dont ils font la divinité bienfaisante.
Ils vénèrent le soleil comme manifestation permanente du bon principe divin. Le feu est sacré pour eux. Des deux dieux, celui qu’ils adorent est appelé par eux Taous ou Mélek-Taous, c’est-à-dire roi Phénix, Seigneur de vie, ou encore Esprit-saint feu-et-lumière, et même, très carrément, Lucifer.
De même que les occultistes des triangles [les francs-maçons palladistes] ont leur livre sept fois sacré, mille fois secret, le Livre Apadno, les Jézides possèdent un livre mystique et mystérieux, le Sôhuph Sheit, que l’on ne peut montrer aux étrangers sous peine de mort.
Les palladistes ont à Charleston l’image sacrée nommée Baphomet, qui est leur palladium ; les Jézides ont à Lalech l’effigie sacrée du Mélek-Taous, qui est aussi leur palladium, et que le Mir expose à la vénération des fidèles, à l’époque des pèlerinages.
Parmi les Jézides les plus fanatiques, les plus dépravés, les plus féroces et par conséquent les plus redoutés, il convient de signaler ceux des tribus de Khizîl-bach ou Têtes rouges, qui vivent dans le bassin moyen de l’Euphrate, sur les bords du Ghermili et du haut Khizil-Irmak. Ceux-ci ont, sous la dépendance du Mir de Baadli, un patriarche résidant dans le Derzim, près du fleuve Mourad. Cette branche de Jézides compte, dit-on, 400 000 sectaires. Dans la contrée, on les gratifie du sobriquet de Terah-Sonderan, ce qui veut dire les éteigneurs de lumière.
Dans ces pays perdus du Kurdistan, des missions catholiques ont réussi à s’installer, mais avec quelle peine ! La conquête des âmes est particulièrement difficile dans le pays du Tigre ; entre Mossoul (endroit où s’élevait jadis Ninive) et Elkous, la rive droite du fleuve est presque entièrement occupée par les Jézides, et la rive gauche par les Chaldéens, qui ne valent guère mieux. Ailleurs, ce sont les Jacobites et les Nestoriens, hérétiques haineux qui dominent.
C’est bien là, vraiment, une contrée du diable.

Arrêtons-nous ici quelques secondes.
Nous découvrons donc qu’il existait il y a 150 ans, dans les contrées où sévit actuellement DAECH, des tribus notoirement lucifériennes, réparties entre l’ancienne Mésopotamie et l’ancienne grande Arménie, soit une partie de la Turquie, de l’Irak, de l’Iran et de la Syrie actuelles, et qui correspondent grosso modo au Kurdistan.
Depuis des générations, ces hommes sont prêts, avec les mêmes doctrines et les mêmes aspirations qu’il y a un siècle. Ils se transmettent leurs traditions, leurs rites et leurs doctrines.
Les Américains n’ont pas eu besoin d’aller loin pour trouver de pseudo opposants à Bachar el Assad et les armer.
Il y a là un choix occulte qui dépasse largement les agents manipulateurs de la CIA, du Mossad ou du Mi6.
Un choix que seuls quelques personnages hauts placés connaissent car ils doivent, à l’insu de tous, préparer les conditions de la bataille de l’Armageddon.
Et ces conditions passent par le réveil et l’armement de tribus placées là depuis des lustres par Satan, auxquelles on a enfin donné l’autorisation d’attaquer.
D’abord la Syrie, phase A du plan.
Même si elle fut un demi-échec, elle a permis d’armer et d’entraîner ces tribus.
Ensuite la région autour de Mossoul, leur berceau en réalité, et le Kurdistan d’une manière générale. Phase B.
Il faut voir la facilité et la rapidité avec laquelle ces hordes se sont rendues maîtres d’une bonne partie de l’Irak en quelques semaines seulement au mois de juin dernier.
L’équipement militaire et la campagne de Syrie n’expliquent pas tout.
Elle n’explique par la furie, les décapitations, les violences sans nom envers les chrétiens et tout ce qui ne cadre pas avec leur idéal.
L’effondrement programmé de l’Irak n’explique pas non plus cette puissance soudaine et si bien organisée.
C’est pourquoi d’ailleurs, aller armer les Kurdes, parmi lesquels il y a forcément d’autres tribus Jézides, est une folie, un non sens, une trahison, une inconscience totale de la part des Occidentaux.
Car les pseudos affrontements entre Kurdes et l’Etat islamique ne sont en réalité, nous venons de le voir, que des bagarres entre tribus qui se connaissent très bien et qui se préparent pour l’assaut final, où elles seront alors toutes réunies dans le même objectif.
Par conséquent, ces affrontements ne sont là que pour justifier le regroupement et l’intervention sur place d’une large coalition occidentale où la quasi-totalité des grandes nations sont représentées, certaines y ayant envoyé des forces armées. C’est le cas des américains, des français, des anglais, des russes.
Intervention militaire qui, comme chacun sait, est plutôt inefficace malgré les moyens employés.
C’est normal, puisqu’il ne faut surtout pas décimer trop tôt des forces soi-disant ennemies dont on a besoin pour la PHASE C.
Voyons maintenant en quoi consiste cette phase C. Car elle est connue à l’avance.

L’objectif final : les lieux saints en Palestine

Trois montagnes sont spécialement l’objet de leur vénération : le Sindjar où ils se rendent en pèlerinage et où, en l’honneur de Lucifer, ils jettent dans un abîme de l’argent et des joyaux ; l’Alagoz, massif volcanique qu’ils considèrent comme une sorte de lunette ou de télescope où leurs mages prédisent l’avenir ; et surtout l’Ararat, dont le massif est le centre historique du plateau d’Arménie, l’Ararat, mont sacré des kurdes et en particulier des Jézides.
En effet, le mont Ararat fort célébré dans les légendes de la maçonnerie d’adoption, joue un grand rôle dans le Livre Apadno, et rien n’est plus frappant que la ressemblance entre la tradition jézide et les fausses prophéties apadniques au sujet de cette haute cime de la Caucasie.
En tout cas il y a là une connexion étonnante qui laisserait supposer une unité réelle dans le plan diabolique, dans le projet que satan médite d’une nouvelle et suprême révolte contre Dieu.
Les Jézides rêvent de l’extermination des races chrétiennes. Au grand jour, d’après leur tradition, ils réuniront au mont Ararat toutes leurs tribus éparses en Russie, en Perse et en Turquie, et de là ils descendront comme une avalanche sur la Palestine pour proclamer le règne de Lucifer sur la terre, détruire le sépulcre du Christ et planter l’effigie du Mélek-Taous, transportée de Lalech, au sommet du Golgotha.
Déjà ils préparent les voies à cette campagne.
En nombre relativement important, quelques familles de jézides se sont implantées en Palestine, y compris à Jérusalem, les uns et les autres prenant leurs positions, attendant l’invasion, qui viendra quand le Mélek-Taous en aura décidé.
Ainsi, le diable se prépare à donner l’assaut au Saint-Sépulcre.
Les Lieux Saints sont visés par les Jézides ; de jour en jour, ils s’établissent dans les environs, resserrant peu à peu leur cercle, tout en entretenant leur zèle de maudits aux pays dont l’Ararat est le centre. Sommet qu’ils appellent, exactement comme les palladistes, la Montagne mère du monde persuadés, toujours comme les palladistes, que c’est Lucifer qui a sauvé, au moyen de l’arche, l’humanité noyée par le déluge de son rival malfaisant, Adonaï pour les uns ou Ahriman pour les autres.

Oui, vous avez bien compris. L’auteur de ces lignes ne pouvait pas savoir, en 1895, que la Palestine serait devenue entre-temps L’État d’Israël.
Mais l’objectif final et réel des satanistes de DAECH reste bien la prise des Lieux Saints, d’où la complicité du Mossad qui arme ces tribus pour qu’elles attaquent Israël, non pas pour anéantir les juifs mais pour détruire les lieux saints chrétiens.
Ainsi le plan Pike s’appliquera à la lettre, car bien évidemment le monde entier considèrera qu’il s’agit d’une agression contre l’état juif, et interviendra pour stopper les islamistes de Daech, qui ne sont que les descendants des Jézides.
C’est pourquoi il fallait rassembler dans la zone un grand nombre de moyens militaires, non pas pour exterminer maintenant les Jézides, mais pour le faire une fois qu’ils auront accompli leur mission : déclarer la mort définitive du christianisme par la destruction des lieux saints.
D’où également les menaces qui pèsent sur Rome, pour les mêmes raisons. Car il faudra anéantir en même temps les deux « temples » saints qui représentent le christianisme : le Vatican et le Saint-Sépulcre.
Et comme les Jézides sont assimilés à l’Islam, les musulmans de tous les autres pays, dont un grand nombre ont été judicieusement infiltrés dans les pays occidentaux en vue de cette guerre justement, se révolteront en voyant l’extermination de leurs coréligionnaires.
Il y aura des dégâts collatéraux en Israël ?
Et alors ?
Je rappelle ce qu’écrivait Israël Adam Shamir (un juif dénonçant les méfaits du judaïsme talmudique), en 2004 dans son ouvrage Etude sur la Kabbale :
« Yisraël [l’église des juifs, qui les dirige] ne se soucie nullement des juifs en tant qu’individus. Les juifs, Yisraël peut parfaitement s’en passer, si la mission l’impose. »
Et d’ajouter un peu plus loin : « La Palestine n’est pas le but ultime des juifs ; leur but ultime, c’est le monde. La Palestine n’est que l’endroit où doit être implanté le quartier général de L’État mondialisé.(…)
Les juifs intelligents et qui réussissent n’immigrent presque jamais en Israël. Ils font carrière aux Etats-Unis ou en Russie, en France ou en Allemagne. Les Israéliens ne sont que la racaille de la communauté juive mondiale, envoyée à la conquête de la terre nécessaire à l’édification du Quartier général du Nouvel Ordre Mondial. »
Entre-nous, le plan est diaboliquement génial. Les nombreux morts juifs aux côtés des jézides, palestiniens et chrétiens, seront les nouveaux martyrs nécessaires à la phase ultime du plan de domination mondiale.
Nécessaires car en même temps la Palestine et Jérusalem auront été nettoyés de tous les ennemis, chrétiens comme musulmans.
Place nette aura été faite pour construire le troisième Temple et inaugurer leur âge d’or avec leur Messie.
La même chose aura été faite simultanément dans le monde.
C’est grosso modo le contenu de la 6ème trompette de l’Apocalypse, vu du côté de la synagogue de Satan bien entendu.


Source : https://legrandreveil.wordpress.com/2015/02/24/lorigine-satanique-de-daech/

VOIR AUSSI : 
 
Le "Calife" Baghdadi est un juif israélien, agent du Mossad

Les Juifs Khazars nient être khazars