Les oligarques au pouvoir en Amérique sont actuellement totalement
paniqués, car leurs déviances sexuelles les plus odieuses (y compris le sexe
avec les enfants) seront bientôt publiées à partir de quatre serveurs
informatiques anonymes disséminés dans le monde. Un «compte à rebours du destin » a été
enclenché depuis 72 heures. La semaine dernière, des agents secrets américains de renseignement ont
tenté de découvrir où se trouvaient ces satanés ordinateurs, mais tout ce qu'ils ont pu faire, c'est assassiner un éminent avocat qui voulait diffuser la liste de ces pervers haut placés.
Au début des années 1990, le milliardaire et puissant financier de Wall
Street, le sioniste Jeffrey Epstein (qui est un ami proche du président Bill Clinton et du
candidat Donald Trump [1]) a financé et monté une grande opération de chantage basé sur la prostitution à Washington DC, dont il a donné la gestion à une femme nommée Deborah Palfrey [2] (alias MadameDC), qui, avant son assassinat en 2008, avait réussi recenser et
documenter plus de 800 « clients » du sexe tarifé et pervers, dans un «livre noir». Figurent, dans ce « livre
noir », des fonctionnaires et des cadres d'agences gouvernementales américaines et de grandes entreprisesdont le
FBI, State Department, Department of Commerce, Department of Health and Human
Services, IRS (les impôts) and US Coast Guard.
En Mars 2005, l’organisation criminelle de
chantage et de prostitution d'Epstein+MadameDC a commencé à s'effriter quand Epstein a été accusé d'avoir agressé
une petite gamine en Floride, ce qui a déclenché une enquête de 11 mois par la
police locale, ce qui a conduit à sa mise en accusation, en août 2006.
Ces
investigations ont prouvé qu’Epstein était le cerveau d’un vaste
réseau de prostitution utilisant des filles mineures comme esclaves sexuelles auprès de beaucoup de
clients (des « élites » c’est à dire des oligarques de la finance
et de la politique , américains et britanniques).
Cependant, malgré la gravité et le nombre de ses activités criminelles, une seule accusation a été portée contre Epstein. Ceci serait
dû au fait qu’Epstein collabora avec la police contre MadameDC, d’une part, et
que les autorités et l’establishment ne veulent pas ébruiter le scandale concernant les pervers sexuels haut placés, d’autre
part.
Le 18
Avril 2008, MadameDC a été reconnue coupable de ses crimes et a été
condamnée à 8 ans de prison. Mais deux
semaines plus tard, le 1er mai 2008, elle a été retrouvée morte. Comme dirait
le Canard Enchaîné, « elle s’est suicidée d’un coup de feu qu’on lui a
tiré à bout portant ». Naturellement, la justice et la police ont annoncé un
suicide, mais des
preuves accablantes prouvent qu'elle a été assassinée.
Epstein,
cependant, a plaidé
coupable de l'accusation unique contre lui en Juin 2008, contre une peine dérisoire
de prison de 18 mois, dont il n’a accompli que 13 mois. Ce que de nombreux
experts juridiques ont appelé
un «traitement de faveur».
Quant à
savoir pourquoi Epstein a été traité de manière "douce et aimable"
par les autorités de police et de justice pour ses crimes monstrueux contre les
filles-enfants utilisées comme esclaves
sexuelles, ceci est évidemment lié à la liste secrète des pervers sexuels hauts
placés, et qui étaient les clients de MadameDC. Cette liste n’a pas profité à
cette dernière, puisqu'on l'a assassinée.
Cette liste ait été saisie par un tribunal américain
qui a ordonné de ne pas la diffuser et de la garder top secret.
Au cours des
huit dernières années, cependant, l'avocat de MadameDC, Montgomery Blair Sibley, a lutté
contre cette décision de la Cour des États-Unis stipulant que ce «livre noir» doit
rester secret. L’avocat indiquait que le peuple américain avait le droit de
connaître les noms qu'il contient, car cela pourrait avoir une influence
déterminante sur l'élection présidentielle de 2016.
L’avocat
Montgomery Sibley (à gauche) et Deborah Palfrey ( MadameDC) en 2006 |
Au cours de
ces années, la colère de l’avocat Sibley n’a fait qu’augmenter, ainsi que son
combat pour libérer ce "livre noir" (on lui a détruit sa vie
professionnelle et sa vie personnelle, c'est aussi cela, le fameux "rêve américain").
Le 31 Mars, il a publiquement
annoncé aux oligarques américains qu'il mettra sa propre copie de ce "livre
noir" sur quatre serveurs informatiques à travers le monde. Ces ordinateurs
contiennent une
"horloge
de l'apocalypse", et que l'heure de la diffusion approche. Il a précisé qu’en cas de problème, cette liste serait envoyée
immédiatement aux agences de presse à travers le monde.
Dans son combat
pour publier ce "livre noir", l’avocat Sibley a été aidé par l’avocat
Gary Welsh et par le journaliste d'investigation américain Wayne Madsen.
Comparé à Madsen ayant
travaillé déjà en essayant d'exposer toute l'ampleur de l’organisation
criminelle de chantage-prostitution d'Epstein+MadameDC, et connaissant des
représailles à venir, l’avocat Welsh était un débutant dans ce genre d’affaires.
Il a payé cash son manque d'expérience la semaine dernière, puisqu’il a été
suicidé, lui aussi, le 1er mai (le 8ème anniversaire de l'assassinat de MadameDC)
dans un couloir de son immeuble par un coup de feu qu’on lui a tiré à bout
portant à la tête.
Deux jours avant son assassinat, il nous a averti dans son
dernier poste de son blog, en écrivant ce message énigmatique et prémonitoire : «Si je ne suis pas là pour voir les résultats du
vote, ma prédiction est que Trump va gagner l'Indiana ... "
Un jour
après l’assassinat de l'avocat Welsh, soit le 2 mai, la Cour
suprême des États-Unis a rejeté un appel final de l’avocat de Sibley pour
la libération du "livre noir".
Ce à quoi l’avocat Sibley a répondu qu'il pourrait risquer la prison et libérer
ce "livre noir" de toute façon, et s'il est tué lui aussi, personne ne serait laissé en vie pour réinitialiser son «horloge de
l'apocalypse".
Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2037.htm
[2] Deborah Jeane Palfrey (18 mars 1956 - 1er
mai 2008) est la
propriétaire de la Pamela Martin and Associates,
agence d'escortes ayant eu pour clients des membres du gotha
américain de Washington DC, ce qui lui vaut d'être surnommée par
les médias « Madame-DC » - en référence à
la capitale américaine Washington DC - ou la « Madame
Claude américaine ». Accusée de proxénétisme, "on la suicide" alors qu'elle venait d'être condamnée pour racket, blanchiment d'argent et gestion d'un réseau de
prostitution.
Hannibal GENSERIC