Nous avons, depuis longtemps, dénoncé les complicités du gouvernement et de la "justice" avec les terroristes. Voici encore un témoignage poignant d'une victime de la "justice" et du terrorisme réunis. Tous les jours, des dizaines de terroristes sont arrêtés par la police, et tous les jours le soi-disant pôle anti-terroriste, dirigé par un pro-terroriste nahdhaoui, les libère immédiatement.
Monsieur Mouldi Charni, père de Socrate Charni, assassiné
par les terroristes islamistes a publié la lettre suivante sur son compte FaceBook.
«Monsieur, le juge où sommes-nous ???????
Nous, familles des victimes des attentats ayant fait
des morts et des blessés parmi les nôtres (perpétrés à Ben Aoun le 23 octobre
2013), sommes entrés dans la salle N°6 du Tribunal de première instance à Tunis
le matin du 01/04/2016 à 9H comme cela nous a été demandé .... Et nous nous
sommes assis attendant même une petite lueur de justice.
Et voilà que, soudainement, la salle s’est remplie des
familles des terroristes et de leurs avocats .... Et de beaucoup de bruit et de
clameurs....
Puis un groupe de plus de 15 avocats des terroristes
se sont regroupés dans un coin de la salle, pour bien montrer qu’ils nous
ignorent totalement.
... Ensuite, l'un d'eux a dit à haute voix ... {Nous,
sommes les avocats du terrorisme ...}, en se tournant vers nous afin de montrer
qu’il nous provoque délibérément ....
Lorsque nous sommes tournés vers eux pour savoir qui
ils étaient, nous avons constaté qu’ils venaient tous d’Ennahdha, sauf un seul
qui venait du Parti du Congrès ... Certaines personnes continuent de prétendre
que Ennahdha a évolué, que c’est un parti civil.
Si cela est vrai, expliquez-moi pourquoi tous les
avocats qui défendent le terrorisme viennent d’Ennahdha. ????? Avez-vous vu, un seul jour, un avocat islamiste défendre un
martyr victime des terroristes armés ??? ... Non et Mille fois non.
Les mouvements islamistes ne changent jamais .....
Les mouvements islamistes ne changent jamais .....
Encore mieux. Lorsque
les juges sont entrés et que le
procès a commencé, les voix des avocats islamistes couvraient celle du juge
.... Et vous prétendez pouvoir juger pour
les victimes avec justice .... Réveillez-vous, Monsieur le juge La Tunisie est
en train de couler.
والد الشهيد سقراط الشارني يكشف هذه المعطيات عن محاميي الإرهابيين ويوجه هذه الرسالة
نشر السيد مولدي الشارني والد الشهيد سقراط الشارني التدوينة التالية على صفحته الرسمية بالفايسبوك:
"ســـيــدي
الــقــاضــي أيــن نــحــن ؟؟؟؟؟؟؟ دخلنا نحن عائلات الشهداء و جرحى
العملية الإرهابية ببن عون ( التي جدت يوم 23 اكتوبر 2013 ) قاعة الجلسة
عدد 6 بالمحكمة الإبتدائية بتونس صبيحة يوم 01/04/2016 على الساعة 9 صباحا
كما هو مطلوب منا ....و جلسنا نتأمّل في بصيص من العدالة . فإذا بالقاعة
تَـمْـتَلـِـؤُ بعائلات الإرهابيين و محاميهم ....وكثر الضجيج ....ثم
اتَّخَذَ أكثر من 15 محام ركنا بالقاعة ..و كأنهم لا يستعرفون بنا و
بالبقية .....وقال أحدهم بصوت عال ...{ ..نحن محامو الإرهاب ...} ملتفتا نحونا قصد استفزازنا ....التفتنا لتنعرّف على هؤلاء أبطال الإرهاب ..فوجدناهم كلهم ..
من
انصار حركة النهضة.و واحد فقط من حزب المؤتمر ..نعم كلهم من اتباع النهضة
...و يقول البعض ان حركة النهضة تتطور ..وهي حزب مدني . إن كان كذلك
فأجيبوني لمذا كل المحامون الذين يدافعون عن الإرهاب هم من النهضة.؟؟؟؟؟ هل
رأيتم يوما محام نهضاوي يدافع عن شهيد من حاملي السلاح ؟؟؟لا...و..ألف لا.
..إذا اقتنعوا ..
أن
الحركات الإسلامية لا تتغيّر .....أكثر من ذلك فلما دخل القضاة و بدأت
الجلسة..كانت أصوات محامو الإرهاب أعلى من صوت القاضي....و تريدون أن يحكم
هذا المسكين بالعدل....استيقضوا...فتونس تغرق.
Combat de Sidi Ali Ben Aoun (Wikipédia)
Le combat de Sidi Ali Ben Aoun se déroule en Tunisie en octobre 2013, entre la garde nationale tunisienne et des djihadistes d'Ansar al-Charia.
Le , des hommes de la garde nationale tunisienne gagnent une maison de Sidi Ali Ben Aoun où des personnes suspectées d'être des djihadistes ont été signalées. Ils s'apprêtent à perquisitionner le bâtiment lorsque des hommes armés ouvrent le feu sur eux. Estimés au nombre d'une vingtaine d'hommes divisés en deux groupes et dissimulés dans des tranchées
creusées autour et à proximité de l'habitation, les djihadistes
engagent la fusillade au moment où les gendarmes reçoivent des
renforts : trois djihadistes sont tués lors du combat1.
Après l'affrontement, la police découvre une voiture piégée en cours de confection, ainsi que des armes et des explosifs. Mohamed Ali Aroui, porte-parole du ministère de l'Intérieur déclare : « On
a saisi des armes, des explosifs, deux ceintures d'explosifs et une
voiture piégée contenant trois cylindres prêts à exploser ». De la TNT et de l'ammonitrate sont également découverts selon le porte-parole, qui affirme également qu'un suspect « a été tué, un a été arrêté et un est en fuite.». Le 24,
le bâtiment théâtre des combats est détruit ainsi que les voitures
piégées ; un cadavre muni d'une ceinture explosive est alors découvert. Le 25, les forces de l'ordre découvrent de nombreuses armes dissimulées dans un puits près de l'habitation, une quinzaine de personnes suspectées d'être liées avec les djihadistes étant également arrêtées.
D'après Mohamed Ali Aroui, « il y a six policiers tués, quatre blessés et un homme armé abattu ». Les corps des six gardes nationaux sont enterrés le lendemain : Imed Hizi, chef de l’unité anti-terrorisme, le premier lieutenant Socrate Cherni (frère de Majdouline Cherni), les premiers caporaux Mohamed Marzouki et Anis Salhi, le caporal Ridha Nasri et Tahar Chebbi.
Selon les informations initiales de la Télévision Tunisienne 1, il y aurait eu sept morts du côté des gardes nationaux et deux tués chez les djihadistes.
Les djihadistes prennent la fuite et auraient trouvé refuge au Djebel Sidi Aïch, entre Sidi Bouzid et Kasserine
Hannibal GENSERIC