Les
nouvelles ne sont pas bonnes du tout. Selon de nombreuses sources
concordantes, BCE veut, avec Ennahdha, conduire le pays droit
dans un abîme dont personne ne peut prévoir le fond. Car il semblerait que le président soit
« incommodé » par la présence au sein de l’équipe de Habib Essid,
d’Abderrahmen Bel Haj Ali, le directeur général de la sûreté nationale.
Eh oui ! BCE en voudrait à Habib Essid car celui-ci tenait absolument à
garder Abderrahmen Bel Haj Ali dans son équipe malgré les multiples
demandes exprimées par BCE, pour le « dégager ». Donc, en d’autres
termes, BCE va dégager Habib Essid parce que celui-ci ne voulait pas
dégager le seul Homme de son équipe qui réussit dans son domaine, et parce que EnnahDaech estime que Bel Haj Ali est trop efficace contre le terrorisme islamiste. Les terroristes islamistes, malgré une "justice scélérate" aux ordres des khouanjia, n'ont plus la totale liberté d'antan. Scandaleux pour BCE et Ghannouchi !! Hannibal Genséric
Union sacrée entre la secte islamiste et la secte des Francs-maçons : les Tunisiens sont cuits |
Il
semblerait, en effet, que la décision soit prise, depuis déjà une certaine
période, et que sa mise en exécution est imminente. Il paraitrait que le
président de la République, Béji Caïed Essebsi ait déjà tranché dans l’affaire,
et qu’il va, incessamment, annoncer la « démission » du chef du
gouvernement Habib Essid. Il paraitrait, même, selon les mêmes sources, que la
question de son successeur est presque réglée, puisqu’il s’agirait d’un proche
de Béji Caïed Essebsi, et le choix balance entre deux noms, celui de Youssef
Chahed actuel ministre du développement local, et celui de Slim Azzabi, actuel
chef de cabinet de la présidence. Ces deux messieurs ayant des liens de parenté
avec BCE.
Jusque
là, rien de vraiment étonnant ni d’inattendu, seraient tentés de dire certains,
vu qu’on avait à un certain moment évoqué, voire redouté, la volonté de Béji
Caïed Essebsi d’accaparer le pouvoir au sein de sa famille, d’où le séisme qui
avait ébranlé Nidaa Tounes à cause de la trop grande ambition, aux yeux de
certains, de Caied Essebsi, le fils, qui voulait mettre la main sur
« l’héritage » du père.
Mais
là où les choses se corsent et deviennent, à la limite, incompréhensibles,
c’est quand on apprend la raison pour laquelle BCE avait décidé de se
débarrasser de son chef du gouvernement actuel. Car il semblerait que le
président soit « incommodé » par la présence au sein de l’équipe de
Habib Essid d’Abderrahmen Bel Haj Ali, le directeur général de la sûreté
nationale. Eh oui ! BCE en voudrait à Habib Essid car celui-ci tenait absolument
à garder Abderrahmen Bel Haj Ali dans son équipe malgré les multiples
demandes exprimées par BCE, pour le « dégager ». Donc, en d’autres
termes, BCE va dégager Habib Essid parce que celui-ci ne voulait pas dégager le
seul Homme de son équipe qui réussit dans son domaine. Car personne ne peut
nier que, depuis son arrivée à la tête de l’appareil sécuritaire, Bel Haj Ali
n’a pas cessé de multiplier les succès, surtout en matière de lutte contre le
terrorisme, et que cette réussite a complètement métamorphosé la scène sociale
du pays, et a changé la donne, générant un sentiment grandissant de retour de
la sécurité dans le pays, et le début de la déconfiture des cellules
terroristes qui tombaient les unes après les autres. Ce regain de sécurité commençait,
à peine, à agir positivement sur l’environnement économique avec un début de
stabilisation de la situation, en vue d’amorcer le virage de la reprise.
Donc,
voilà la situation telle qu’elle se présente. BCE va limoger son chef du
gouvernement, très probablement, dès son retour du Qatar. Il va le remplacer
par quelqu’un de novice et d’inexpérimenté, qu’il va, en plus, priver des
services de son « Monsieur Sécurité ». Ce qui conduira,
inéluctablement, le pays dans l’abîme et l’inconnu. Car, dans ces conditions,
il sera difficile, pour ne pas dire impossible, de relever les défis sur les
plans sécuritaire et économique.
Printemps Arabe = coups d'état sionisislamistes et impérialistes + Triomphe du bédouinisme arabe d'il y a 14 siècles et des comportements ultra violents |
On
serait tenté de se demander si le président n’est pas conscient de ce qu’il va
opérer, ni des conséquences que cela allait avoir sur le pays. Mais on
comprendrait mieux si on essayait de répondre à la question fatidique « à
qui profitera le crime ? ». Car c’est bien d’un crime qu’il s’agit.
Un crime envers le pays, et envers les tunisiens qui se trouveront condamnés à
supporter les conséquences d’un certain « vote utile ». Et il est
facile de comprendre que le crime profitera, inéluctablement à Ennahdha, qui
aura, au bout de quelques mois réussi à anéantir son concurrent Nidaa Tounes,
et démontré l’incapacité de l’équipe de BCE à gouverner. Et se sera, surtout,
débarrassée de Abderrahmen Bel Haj Ali, qui faisait preuve, décidément, d’une
efficacité redoutable à leurs yeux et qui commençait sérieusement à ébranler
les colonnes de leur édifice. Et pendant ce temps, où on est obligé de supporter
toute cette médiocrité, Ennahdha, elle, prétend entreprendre des modifications
radicales de sa composition et de sa politique, et qu’elle est en train de se
muer en un parti civil progressiste, tout en essayant de prendre ses distances
du spectre des frères musulmans qui devient trop gênant à porter, conjoncture
internationale oblige.
http://www.tunisienumerique.com/tunisie-lheure-est-grave-le-pays-a-deux-doigts-de-labime/293362?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Scandale: une espionne, sœur d’un terroriste dangereux, provoque le limogeage d’un ministre !!
D’après le journal Achourouk,
dans son édition de ce lundi 16 mai 2016, le leader terroriste en question
répond au nom de Abou Ahmed Attounsi. Il est l’un des dirigeants de la
filiale de l’organisation terroriste l’État Islamique/Daech/ISIS en Libye.
Il est âgé de 33 ans et
originaire de la ville de Sfax. Il avait envoyé sa sœur "draguer" le ministre en question
en vue de lui soutirer certaines informations relatives aux dossiers des
terroristes détenus dans les prisons tunisiennes. Grâce à son "savoir-faire", elle a réussi à connaitre les lieux et les espaces fréquentés
par l’ancien ministre avant de se lancer dans l’exécution de son plan. Le ministre est tombé dans le piège. La sœur du
terroriste a eu donc accès aux informations recherchées. Quelques jours plus
tard, le plan terroriste a été découvert par les unités sécuritaires. Un coup
de fil entre le terroriste et sa sœur était suffisant pour démanteler ce plan.
Le ministre a été donc immédiatement limogé.
D’après le journal Achourouk,
le ministre "ne se doutait pas" que son « amie » n’était autre que la
sœur d’un terroriste dangereux. En effet, ce terroriste est
impliqué dans un grand nombre d’affaires terroristes. Il est également impliqué
dans l’assassinat du martyr Chokri Belaid. Ce qui fait de lui l’un des
terroristes les plus recherchés en Tunisie.
Source : http://www.realites.com.tn/2016/05/scandale-une-espionne-soeur-dun-terroriste-dangereux-derriere-le-limogeage-dun-ministre/
Dans un "pays normal", le ministre aurait été poursuivi pour haute trahison, ou pour collaboration avec des groupes terroristes. Mais la Tunisie n'est plus un pays normal, c'est le Tunistan, fief des talibans ghannouchiens.
Hannibal GENSERIC
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