vendredi 6 mai 2016

Attentats de Paris. Le corps du "kamikaze" était intact !

Miracle d'Allah ( سبحان اللّه) ? ou, plus probablement,  louches manipulations de la police et des autorités françaises ?
Le témoignage d'un infirmier ayant tenté de réanimer Brahim Abdeslam contredit la version officielle. Révélations.
Dimanche 1er mai, Panamza publiait une vidéo exposant une manipulation de l'horaire affiché sur les images de vidéosurveillance relatives à "l'attentat-suicide" commis au Comptoir Voltaire, le 13 novembre.
De nombreux commentateurs, s'exprimant sur les réseaux sociaux à propos de ces images diffusées par M6, se sont interrogés sur l'incongruité de la scène : un homme, présenté par les autorités comme un membre du redoutable "commando des terrasses", rentre dans le bar, porte sa main gauche au visage et disparaît soudainement de l'écran après l'apparition d'une fumée blanche et de deux éclairs dans son dos.
Le 4 mars, Panamza avait déjà évoqué les anomalies du principal témoignage et d'une vidéo "amateur".
Parue le 14 mars, une enquête journalistique est entièrement consacrée aux évènements survenus au Comptoir Voltaire.
Ex-secrétaire général de Reporters sans frontières et résident du quartier, son auteur Hervé Deguine a recueilli plusieurs témoignages inédits.
Détail cocasse : L'Express, magazine détenu par le milliardaire israélien Patrick Drahi, a choisi d'en publier quelques extraits en écartant ceux qui ne valident pas le récit officiel faisant état d'un islamiste kamikaze dont le gilet explosif aurait été défectueux.
Il faut se rendre, par exemple, à la page 39 de l'ouvrage pour découvrir ainsi un témoignage stupéfiant.
Selon "Jason C" (pseudonyme), infirmier à l'hôpital Salpêtrière qui fut présent dans le bar, Brahim Abdeslam -qui agonisa sous ses yeux- n'avait étrangement aucune blessure et ne portait aucun fil relié à un quelconque dispositif explosif.
image: http://www.panamza.com/wp-content/uploads/2016/05/jason.png
jason
Ses propos contredisent radicalement le seul témoignage à visage découvert faisant état d'un kamikaze, le dos sanguinolent et enserré dans des fils suspects : celui de "David M", infirmier logisticien dont l'une des spécialités -selon Hervé Deguine- est d'ailleurs la "médecine de catastrophe".
Cet infirmier – qui aurait lui-même contacté Reuters pour relater son expérience (de même, curieuse similitude, qu'un certain "Mehdi M", l'auteur de la "vidéo amateur" qui a pris également contact avec l'agence britanno-canadienne)  a été identifié par Panamza : il s'agit de David Murat, basé à l'hôpital Saint-Antoine.
Ce dernier a depuis accepté de rapporter, une nouvelle fois, ce qu'il affirme avoir vu dans un film documentaire -en cours de montage- qui s'intitule "Vendredi 13".
Une chose est certaine : les témoignages de David Murat et "Jason C" sont totalement irréconciliables.
Détail troublant -voire accablant- pour conclure : l'infirmier "Jason" a précisé à Hervé Deguine qu'il avait transmis son numéro de téléphone à la police afin de pouvoir donner son témoignage précieux. Celle-ci ne l'a jamais rappelé
Jason a dû lui-même insister pour être enfin entendu au 36, quai des Orfèvres. On ne sait pas s'il a été mis en prison pour avoir contredit les versions officielles.

Bonus : pour en savoir plus sur les attentats de Paris et Bruxelles, consultez le dossier de Panamza.
HICHAM HAMZA
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