mercredi 18 novembre 2015

Voici la preuve que les attentats de Paris sont un false-flag

Comme nous l'avons dit dans "Paris. Attentats sous faux drapeau ?" il se confirme de plus en plus que, comme les attentats du 9/11 et bien d'autres, ce dernier et horrible attentat s'avère être sous faux drapeau.
En effet, la vague d’attentats qui s’est abattue sur Paris pose quelques interrogations. Nous allons énumérer ici les faits qui nous font dire que la thèse officielle de ces attentats de Paris ne tient pas la route. Il est courant de qualifier de « complotiste » les articles qui dérangent et qui sont reproduits par des sites internet de toutes obédiences, y compris par d’authentiques extrémistes. Nous n’y sommes pour rien, nous ne faisons que relever des faits. Que le lecteur se fasse sa propre idée mais franchement, il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas voir la supercherie de ces attentats… 
BREAKING NEWS - La preuve que les attentats de Paris sont un false-flag

Présentation générale des faits les plus accablants

Déjà pour commencer, une chose simple qu’aucun média n’a osé relever, rappelons quand même que l’Etat français a remis les frontières le jour des attentats, déployant ainsi trente mille policiers,  lesquels ont été mobilisés pour cette opération de contrôle aux frontières devant durer un mois dans le cadre de la conférence de Paris sur le climat (COP21). Comme c’est bizarre… Après les attentats le même jour, cette fermeture des frontières se trouve prolongée avec l’Etat d’urgence décrété…
Le jour même des attentats, vendredi 13 novembre 2015, toujours le même, non vous ne rêvez pas, est présenté le matin même le nouveau "Plan Armes" du gouvernement visant à renforcer le contrôle des armes et des identités aux frontières sur  le territoire national et européen. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, tiendra un discours pour présenter ce nouveau « Plan armes » à Nanterre le matin du vendredi 13 novembre 2015, quelques heures avant les attentats. Ces nouvelles mesures étaient critiquées car jugées trop fascisantes, mais avec les attentats du même jour, hop, celles-ci seront bientôt votées comme une lettre à la poste. Comme c’est bizarre… (source : http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministre/Interventions-du-ministre/13.11.2015-Presentation-du-Plan-Armes )
Un jour avant les attentats,  Le 12 novembre, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales —rattaché au ministère de l’Intérieur— ( tiens encore Cazeneuve…) publiait un rapport selon lequel le terrorisme était devenu la seconde préoccupation des Français après le chômage…( source : « La grande peur du terrorisme », Timothée Boutry, Le Parisien-Aujourd’hui en France, 13 novembre 2015.)
Et pour finir, un exercice simulant des attentats a été conduit le matin même de l’attaque par les services d’urgence hospitaliers, sous le contrôle des ministères de l’Intérieur ( tiens encore Cazeneuve…) et de la Défense. Une coïncidence que l’on avait déjà relevée lors des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, de ceux du 11 mars 2004 à Madrid, ou encore de ceux du 7 juillet 2005 à Londres. (source : Cf. Intervention du Dr Patrice Pelloux, président de l’Association des médecins urgentistes de France, sur France Info à 10h26 et au journal du soir de France2, le 14 novembre 2015. « Comment le Samu s’est préparé aux attentats simultanés de Paris », Kira Mitrofanoff, Challenges, 15 novembre 2015.)

Cas du Bataclan

Contrairement aux lampistes qui ont agi dans les quartiers parisiens  et près du Stade de France, les terroristes du Bataclan sont, d'après les témoins, des professionnels. Nous avons affaire ici à des blancs (c'est à dire qu'ils ne ressemblent ni à des Arabes ni à des Maghrébins), ultra-pros, vêtus de noir de la tête aux pieds, AK-47 à la main, super bien entraînés et qui tuent avec précision, comme l’ont décrit des témoins. Arrivés dans uns Mercédès noire, ils repartent tranquillement dans la même voiture, une fois le massacre perpétré, sans avoir été inquiétés le moins du monde. Bizarrement, PERSONNE n'en parle dans le médias ou parmi les officiels français.

Ainsi, quand on fait déjà un premier scan des événements, c’est-à-dire juste une petite analyse globale, on se rend compte à quel point la thèse officielle des attentats vole en éclats, cédant sous la pression simple et logique des faits. Les faits sont accablants, et tout cela démontre que les attentats de Paris ont bien été planifiés par les hauts services de l’État français.

Mais il y a encore plus fort, nous allons maintenant nous intéresser à la personne de Brahim Abdeslam.

Le cas Brahim Abdeslam

Brahim Abdeslam, 31 ans, commando kamikaze impliqué dans les attentats du vendredi 13 novembre 2015, était propriétaire du café Les Béguines  situé dans une petite rue tranquille du quartier de Karreveld, à Molenbeek en Belgique. Ce bar faisait également office de coffee shop. Les autorités communales ont ordonné le 2 novembre la « fermeture au public de l’établissement », pour une « durée de 5 mois prenant cours le 5 novembre 2015 pour se terminer le 4 avril 2016 ».
(Source : le Parisien http://www.leparisien.fr/faits-divers/belgique-le-bar-des-freres-abdeslam-a-molenbeek-un-repaire-de-petits-voyous-16-11-2015-5280961.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr )
Brahim Abdeslam s’est fait exploser, seul, à 21h41 à la terrasse du bistrot Comptoir Voltaire, au 253 boulevard Voltaire, à deux pas de la place de la Nation, vendredi soir, blessant grièvement une quinzaine de personnes. Selon le récit du responsable du café à L'Express, le terroriste s'est installé tranquillement dans le café. C'est lorsqu'il a passé la commande qu'il s'est fait sauter. La serveuse, Catherine, a été blessée à l'abdomen et au thorax. Hospitalisée, ses jours ne seraient plus en danger, selon ses collègues, sous le choc. 
Il avait loué une voiture Seat noire, immatriculée en Belgique, et retrouvée à Montreuil, près de Paris, au lendemain des attaques. A son bord, trois fusils d’assaut kalachnikov, onze chargeurs vides et cinq pleins…
Comme par hasard, les autorités ordonnent la fermeture de son bar quelques jours avant les attentats de Paris, que lui a-t-on promis en échange ? De l’argent probablement, ce n’était donc pas son but de se faire exploser…
De plus, Brahim Abdeslam buvait de l’alcool et fumait du cannabis à outrance, c’était un délinquant de droit commun, il n’avait pas le profil d’un fanatique religieux prêt à mourir en martyr. Continuons, il s’installe tranquillement à la terrasse d’un café et se fait sauter, sans crier« Allah akbar », isolé des autres personnes sauf de la serveuse… Et ne tuant personne… Même pas la serveuse qui est à moins d’un mètre de lui ! Incroyable cette ceinture d’explosifs !... Ce n’est pas très logique, un vrai kamikaze :
  • ne s’assoit pas à la terrasse d’un café pour passer une commande, 
  • secondement, il revendique son acte, 
  • troisièmement, il ne laisse pas une voiture rempli d’affaires personnelles, d’armes et de munitions prêtes à servir. 
  • Et quatrièmement, s’il avait porté une vraie ceinture d’explosifs il y aurait eu des morts car l’explosion aurait été bien plus puissante.
Or, l’explosion a été vraiment peu puissante. La preuve : la serveuse à côté de lui n’est même pas morte, mais seulement blessée et on veut nous faire croire qu’il est rentré pour se faire exploser avec une ceinture d’explosifs. Franchement, cela ne tient pas la route. S’il avait eu une vraie ceinture d’explosifs, il y aurait eu un tas de cadavres, et la serveuse, à moins d’un mètre de lui, aurait volé en éclats !
Il n’a jamais voulu se faire sauter, il devait attendre  et aller chercher les autres en voiture après leur fusillade. Les services secrets ont déclenché à distance des micro-explosifs qu’ils ont dissimulés dans son blouson ou dans la ceinture de son pantalon, assez puissant pour le tuer lui et blesser des gens alentour sans grande gravité. Tout cela dans le but de faire croire  à un attentat suicide. Non seulement il n’y a aucun mort sauf celui qui travaille pour les services secrets et dont il faut se débarrasser, comme dans l’affaire Merah, mais cela passe pour un attentat suicide et provoque quand même une peur terrible. D’une pierre on fait deux coups. On fait naitre une peur terroriste en faisant zéro mort, à qui profite le crime ? Personne n’a relevé l’incohérence de cet acte car les morts du Bataclan aveuglent tout le monde.


Photo: WikiStrike
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Le mystère des 3 kamikazes du Stade de France

Pourquoi se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ? Tout le monde s’interroge. Personne ne comprend. Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi, alors qu'ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant qu'une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient pu faire beaucoup plus de victimes. Rappelons ici la chronologie des faits :
21h20 Au niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de sa ceinture explosive remplie de TATP (explosif artisanal) et de boulons. Un passant, proche de lui, est tué.
21h30. Nouvelle détonation. Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux gît sur le bitume. La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.
22h. Dans une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la ceinture piégée, dans l'entrée d'une impasse, comme s'il s'était isolé avant d'appuyer sur le bouton mortel.
A la fin de la rencontre. S'ils avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de terribles dégâts, d'autant que Paris aurait déjà été sous le coup des attaques contre les restaurants et le Bataclan.
"C'est incompréhensible", confie dimanche à l'AFP, sous le sceau de l'anonymat, une source policière. "Il est miraculeux qu'il y ait eu si peu de victimes. Concrètement, ce qu'ils ont fait, à part se suicider, ça n'a aucun sens." "Ce n'est pas la bonne heure : si vous voulez faire un carnage, vous faites ça au moment de l'entrée ou de la sortie des spectateurs, ajoute le même policier. Autant ce qui s'est passé dans Paris intra-muros a du sens, autant là ce sont juste des mecs qui se sont suicidés."

Wikistrike va maintenant résoudre en direct l’énigme

La clé de compréhension résidait dans le cas Brahim Abdselam que personne n’a vu… à part nous. Et que nous venons d’élucider quelques lignes plus haut.
Le premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y aura un mort… Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur, secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.
C’est pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant, lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.
Et 30 minutes après ils ont dû trouver un vice, raconter n’importe quoi, une histoire à dormir debout, au troisième, afin que celui-ci s’isole dans une impasse, seul, pour qu’ils le fassent sauter à son tour sans faire de victimes. Les services secrets voulaient les faire sauter sans causer de victimes, voilà pourquoi personne ne comprend leurs actes. Si les terroristes avaient été de vrais kamikazes, ils auraient fait de nombreux morts. Car ils se seraient fait explosés au bon moment et avec bien plus d’explosifs.
Ce qui prouve de manière certaine qu’ils étaient manipulés par les services secrets, c’est déjà le fait qu’ils aient explosés isolés sans faire de mal à personne, et que secondement, leurs ceintures d’explosifs étaient de qualité très faible. De plus, quand un kamikaze veut faire un gros coup, il n’utilise jamais une ceinture mais un gilet d’explosifs, bien plus puissant. En Irak, les kamikazes daéchiens font, à chaque fois, plusieurs dizaines de maorts, des centaines de blessés, et des dégâts matériels immenses.
La preuve irréfutable est le second djihadiste, dont le corps n’a même pas explosé, mais s’est seulement retrouvé coupé en deux. La vitre à proximité de lui se retrouve fendue, même pas brisée. Preuve que tout était calculé pour faire le moins de victimes possible. C’est un false flag absolu. C’est la preuve que l’État français est bien derrière : vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire passer le changement de constitution tant désiré. C’est tellement gros qu’il est à peine croyable que personne n’ait deviné la supercherie. C’est pourtant d’une simplicité déconcertante.
* 3 apprentis kamikazes sans cervelle munis de ceintures d’explosifs moyens faites pour tuer un ou deux pigeons, 
* 3 débiles avec des oreillettes d’où ils reçoivent leur ordre, 
* 3 abrutis munis de GPS incrustés dans leur ceinture d’explosifs qu’on promène et qu’on file, voilà nos 3 marionnettes avec lesquelles les services secrets français ont joué aux jeux vidéo. Le Djihad international est devenu la PlayStation des services secrets français.

Le cas Salah Abdeslam

Soupçonné d'être l'un des huit auteurs des attentats de Paris vendredi, Salah Abdeslam, frère de Brahim Abdeslam, le soi-disant kamikaze du boulevard Voltaire, pour une raison indéterminée, recul ou raté, Salah Abdeslam n'a pas déclenché de ceinture explosive à l'inverse de son frère et des six kamikazes qui "ont agi " au Stade de France et au Bataclan. Les enquêteurs pensent que Salah et son frère Brahim ont pu former l'équipe qui a tiré à la kalachnikov sur des terrasses et des restaurants, y semant la mort et se déplaçant en Seat.
Salah Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et Mohamed Amri. Ils ont fait en voiture le trajet Molenbeek-Paris-Molenbeek - plus de 600 km et 6 heures de route – dans la nuit du vendredi au samedi matin.
 Les enquêteurs ont trouvé du nitrate d'ammonium aux domiciles de ces deux complices ainsi que des munitions de calibre 5.56 et de 7.62, adapté aux kalachnikovs. Le nitrate d'ammonium est un composant utilisé pour la fabrication d'engrais, mais est hautement dangereux. C'est ce composant chimique qui avait entrainé l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse en 2001, faisant 31 morts.
Le commanditaire des attentats est l'ami d'enfance de Salah Abdeslam, le célèbre Abdelhamid Abaaout, qui a pour kounia (nom de guerre) Abou Omar. Ce dernier travaille pour l’EMNI, il s’agit de la sécurité intérieure de l’Etat Islamique (Daech). L’EMNI est également chargé d’envoyer des espions  et des kamikazes en Europe. Chaque espion touche 50.000 € par l’EMNI pour faire une attaque en Europe. Et beaucoup plus s’il est prêt à se faire exploser (dans ce cas précis c’est la famille du "martyr" qui touche l’argent). C’est Abou Omar en personne qui gère les dossiers.
Ainsi, il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes autorités de Daech. Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les "martyrs". Ils se sont fait doubler par les services secrets français de peur qu’ils ne parlent. Car il est au courant des accords secrets entre la France et Daech (voir la conclusion). Pour Brahim cela a fonctionné, mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est débarrassé du dispositif GPS ainsi que de la ceinture explosive.  Et ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.

Conclusion

Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’État français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ceci pour changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les Américains après les attentats du World trade Center, lui aussi notoirement sous faux drapeau, en utilisant Al-Qaïda comme couverture. Autres temps, autres outils : les services secrets français ont utilisé Daech et ses agents, comme ils l’ont toujours fait depuis le début pour tenter de renverser Bachar al Assad et dépecer la Syrie.
N’oublions pas que Daech est une création artificielle. Ce n’est que l’instrument de la politique de plusieurs États et multinationales. En Syrie, la présence d’officiers français encadrant des groupes armés extrémistes lorsqu’ils perpétraient des crimes contre l’humanité est largement attestée.
En effet, la France n’a pas toujours bombardé Daech, mais lui a largué des armes durant plus d’un an. Ce point est ignoré de la presse occidentale, mais a été largement discuté un an durant par la presse arabe et perse. La vérité a éclaté au grand jour lorsque cinquante analystes du CentCom ont dénoncé les mensonges des rapports sur la Coalition, qu’une enquête interne a été déclenchée et que, finalement, le général John Allen a été contraint à la démission. Voir notamment : « Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone » et « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 12 et 23 septembre 2015.

David J. Feldmann pour Wikistrike
Commentaire


Lorsque deux  services secrets "coopèrent", chacun garde en mains des "cartes" qu'il ne montre pas à l'autre. Lorsque les services secrets français et daéchiens (Emni) ont monté cette opération conjointe, il est clair que l'Emni a sacrifié des agents secondaires, des lampistes comme on dit dans le jargon barbouzard, des êtres plutôt falots (les "kamikazes" inutiles) pour se concentrer sur le Bataclan. EMNI a donc réussi à piéger ses homologues français en perpétrant un massacre de masse. Flouées et ridiculisées, les autorités françaises se tournent maintenant vers les Russes pour se venger de Daech. Les Ricains se marrent, en versant des larmes de crocodile.

Voici quelques rappels.


Qui a fourni les armes et financé l’État islamique ou les organisations terroristes en Syrie et en Irak et qui lui ont donné naissance ?
 
En 2012 – Hollande admet qu’il arme les rebelles syriens en violation de l’embargo.
Le président français a reconnu avoir livré des armes aux rebelles syriens pendant l’embargo de l’UE, selon un livre qui va bientôt sortir en France. Les livraisons ont eu lieu en 2012, avant qu’il ne soit mis fin à l’embargo en mai 2013, a admis François Hollande lors de sa dernière interview de l’année avec le journaliste et écrivain Xavier Panon. « Nous avons commencé à les livrer quand nous avons été sûrs qu’elles finiraient dans les bonnes mains. Pour les armes létales, ce sont nos services qui les ont livrées» a dit Hollande à l’écrivain, …
Oct 2012 – En Syrie, il semble que ce soient les djihadistes qui profitent des armes livrées aux rebelles
WASHINGTON – La plus grande partie des armes expédiées à la demande de l’Arabie saoudite et du Qatar à des groupes rebelles syriens qui combattent le gouvernement de Bachar al-Assad finissent dans les mains de djihadistes islamiques radicaux, et non dans celles des groupes d’opposition, plus laïques, que l’Occident veut renforcer, selon des responsables américains et des diplomates du Moyen-Orient.
Décembre 2012 – La France finance des rebelles syriens dans un nouvel effort pour évincer Assad
La France est devenue le plus important bailleur de fonds de l’opposition armée syrienne et elle finance maintenant directement des groupes rebelles autour d’Alep, dans le cadre d’un effort renouvelé pour renverser le régime assiégé d’Assad. De grosses sommes d’argent liquide ont été transférées par des mandataires du gouvernement français via la frontière turque aux commandants rebelles, le mois dernier, selon des sources diplomatiques. L’argent a été utilisé pour acheter des armes à l’intérieur de la Syrie et pour financer des opérations armées contre les forces loyalistes.
Août 2014 – Hollande confirme que la France a livré des armes aux rebelles syriens
Le président François Hollande a déclaré jeudi que la France avait livré des armes aux rebelles qui luttent contre le régime syrien de Bachar al-Assad, « il y a quelques mois. »
Novembre 2015
Murad Gazdiev @MuradoRT – Le lanceur de roquettes français APILAS fourni aux #rebelles syriens tombe entre les mains de #ISIS.
Photos de #Deraa, #sud de la Syrie 12h09 – 6 novembre 2015


Juin 2014 – « Merci à Dieu pour les Saoudiens » : ISIS, Irak et le retour de manivelle
Les deux factions qui ont les meilleurs résultats contre les forces d’Assad sont deux groupes extrémistes islamistes : Jabhat al-Nosra et État islamique en Irak et en Syrie (ISIS), ce dernier gagne actuellement du terrain en Irak et menace de déstabiliser davantage l’ensemble de la région. Et ce succès est en partie dû à l’appui que ces deux groupes ont reçu de deux pays du Golfe : le Qatar et l’Arabie saoudite. Jabhat al-Nosra a tellement bénéficié des largesses militaires et économiques du Qatar qu’un important officiel qatari m’a dit qu’il pouvait reconnaitre les commandants al-Nosra aux pâtés de maisons qu’ils contrôlent dans diverses villes syriennes. Mais ISIS, c’est autre chose. Comme un responsable qatari principal l’a déclaré, «ISIS est depuis le début un projet saoudien.» La France a tiré profit de son soutien au projet étasuno-wahhabite de changement de régime en Syrie et en Irak.
Avril 2015 – La France et le Qatar scellent un accord d’un montant de 7 milliards de dollars pour des Rafales.
Le Qatar a accepté d’acheter 24 avions de combat Rafales construits par Dassault pour 6,3 milliards d’euros (4,55 milliards de livres), a annoncé, jeudi, le gouvernement français. Cet état du Golfe arabique cherche en effet à augmenter sa puissance militaire dans une région de plus en plus instable.

Juin 2015 L’Arabie Saoudite et la France concluent un marché de 12 milliards de dollars.
L’Arabie saoudite et la France ont signé, mercredi, un accord commercial de 12 milliards de dollars, a déclaré le ministre des Affaires étrangères saoudien, Adel Al-Jubair, lors de la visite historique du vice-prince héritier Salman bin Mohammed à Paris. Même après qu’il soit devenu évident pour tout le monde que le projet de changement de régime en Syrie favorisait l’expansion du terrorisme, Hollande a continué à exiger la fin de l’État syrien.
Septembre 2015 – François Hollande dit qu’Assad doit partir
Le président François Hollande de France a déclaré à l’Assemblée générale des Nations Unies, lundi, que son pays allait «assumer ses responsabilités» dans l’effort mondial pour mettre fin aux combats en Syrie, mais que le conflit ne pourrait être résolu que si le président Bachar al-Assad était écarté du pouvoir.
Hollande va-t-il maintenant changer de discours?


Les grands délires des « révélations »

La presse subventionnée n’en finit pas de changer de « version définitive » sur les attentats du 13 novembre, pendant que la police s’efforce d’étouffer les polémiques sur l’attentat de Charlie Hebdo. Voici un petit condensé des grands délires auxquels nous assistons.

Les attentats du 13 novembre et les ceintures d’explosifs

Je lis dans le Figaro un article divertissant sur l’origine bruxelloise des ceintures d’explosifs qui ont servi au stade de France. En voici le best of:
Composés d’un bouton pressoir servant de détonateur, de TATP (peroxyde d’acétone) utilisé lors des attentats de Londres en 2005 ainsi que d’une charge primaire pyrotechnique de quelques grammes placée dans un détonateur, ces engins très instables, susceptibles de détoner au contact de la chaleur humaine, ont été confectionnés dans un appartement de Schaerbeek, quartier populaire du nord de Bruxelles. Là, dans un bâtiment situé rue Henri-Bergé, les policiers ont retrouvé le 10 décembre dernier du matériel destiné à la préparation d’explosifs, des traces de poudre suspectes ainsi que trois ceintures «qui pourraient avoir été destinées à transporter des explosifs».
Lors de la perquisition de ce laboratoire clandestin, les policiers ont aussi découvert une empreinte digitale de Salah Abdeslam, unique rescapé des commandos du vendredi sanglant et plus que jamais désigné comme «objectif prioritaire» de toutes les polices.
Nous sommes très contents d’apprendre cette information de premier ordre, manifestement donnée par la police. Son seul problème est de contredire une autre version policière donnée il y a quelques jours par le Monde.
On y lisait en particulier que les ceintures d’explosifs ayant servi à Saint-Denis avaient été confectionnées la veille de l’attentat dans la maison que les terroristes avaient louée à Bobigny. On aurait même retrouvé des rouleaux de scotch dans la maison, pour preuve de cette intense préparation.
Allez comprendre!

Les attentats du 13 novembre et l’incompréhensible agenda des terroristes

Dans sa grande enquête tirée des procès-verbaux de l’enquête, Le Monde avait par ailleurs affirmé que les terroristes avaient quitté Bruxelles le 12 novembre au matin, pour Charleroi, puis pour Paris. Ils auraient dormi à Bobigny et à Maisons-Alfort, la nuit précédant leur forfait. J’avais souligné l’invraisemblance de cette relation des faits, dans la mesure où Abrini et Salah Abdeslam avaient été filmés en route pour Paris au volant de la Clio de location le 11 novembre à 19h, et que des témoins très précis affirmaient avoir vu les frères Abdeslam à Molenbeek le 12 novembre au soir.
Résultat: une autre version est désormais donnée sur l’emploi du temps de Salah Abdeslam et de Mohamed Abrini, qui ont été filmés partout entre la France et la Belgique avant le 14 novembre à 10 heures (moment où Abdeslam franchit trois barrages de police destinés à arrêter les coupables du 13 novembre), et qui sont introuvables depuis ce jour.
Le 13 novembre, retour en Belgique. A 3h01, la Seat quitte la ville de Molenbeek. Elle arrive à Bruxelles quelques minutes plus tard. Derrière elle, un autre véhicule, qui semble être la Clio noire louée par Salah Abdeslam. Les deux voitures s’arrêtent. Trois hommes en descendent. A 4h20, la Seat quitte Bruxelles à destination de Charleroi (Belgique).
Le véhicule se gare vers 5h25 à Charleroi, rue de la Garenne, d’où il ne repartira pas avant plusieurs heures. Que font les trois hommes durant ces 10 heures ? C’est une zone d’ombre pour les enquêteurs.
Les terroristes ne sont donc pas partis pour Paris le 12 novembre (avec nuit dans la maison de Bobigny qu’ils ont louée sur Airbnb semble-t-il), mais le lendemain, 13 novembre, au matin. Le véhicule aurait quitté Charleroi vers 15h50 pour rejoindre Bobigny où la Seat est repérée à 19h37. Dans cette version, il n’est pas fait mention de la Clio, qui aurait passé une heure à Roissy entre 18h20 et 19h20.
Si l’on en croit les derniers éléments qui sont fournis par ces versions manifestement non contenues dans les 6.000 procès-verbaux compilés par la police durant les six premières semaines de l’enquête, les terroristes ont donc préparé leur ceinture d’explosifs à Bruxelles, ont reçu des armes à Charleroi le 13 novembre, pour commettre des attentats le soir même. Comme ce sont des kamikazes, ils n’avaient pas l’ambition de survivre au 13 novembre, mais ils ont quand même loué une maison à Bobigny, qu’ils n’ont pas occupée, mais où ils se sont rendus entre 19h et 21h.
On le voit, on est encore loin d’avoir un récit cohérent de ce qui s’est passé… et on n’en a pas fini avec les « révélations » tonitruantes de la presse subventionnée.

Les attentats et les cerveaux belges

Entretemps, il semblerait que les condés belges aient identifié les cerveaux des attentats, ceux qui suivaient par SMS depuis Bruxelles le déroulement des opérations à Paris. Ils s’appelleraient Samir Bouzid et Soufiane Kayal.
Les deux suspects ont aussi transféré le 17 novembre, dans une agence de la Western Union en région bruxelloise, la somme de 750 euros à Hasna Ait Boulahcen, la cousine d’Abdelhamid Abaaoud, tous les deux tués lors de l’assaut de Saint-Denis. De là sont tirées les images de surveillance.
Enfin, le rôle central des deux hommes apparaît encore dans le fait qu’ils ont été contrôlés à la frontière austro-hongroise bien avant les attentats, le 9 septembre, dans une Mercedes où avait pris place également Salah Abdeslam, en provenance de Budapest.
Ces deux mystérieux cerveaux sont en fuite.
Là encore, on est loin de tout savoir sur ces gens dangereux et fichés qui ont traversé les frontières de l’Union au vu et au su de la police à plusieurs reprises depuis plusieurs mois sans que personne ne semble s’en inquiéter particulièrement.

La police cherche à tuer dans l’oeuf la plainte Brinsolaro

Dans l’affaire Charlie Hebdo, on se souvient que l’épouse du garde du corps de Charb reproche au ministère de l’Intérieur un homicide involontaire aggravé. Elle considère en effet que les services de renseignement n’ont pas traité avec diligence le signalement d’un homme qui ressemble à l’un des Kouachi, surpris en train de faire une planque devant le siège de Charlie Hebdo fin octobre 2014.
Avec une rapidité déconcertante, l’inspection générale de la police nationale (dont l’indépendance et l’impartialité sont forcément au-dessus de tout soupçon) vient de rassurer le Ministre en lui expliquant que tout va bien, et que cette affaire ne tient pas debout.
Une première accusation, concernant l’éventuelle défaillance de Patrick Hacgeman, le deuxième policier en charge de la protection de Charb, a été levée. Sylvain Louvet, un journaliste de Premières lignes, l’agence de presse située sur le même palier que Charlie Hebdo, avait appelé l’autre officier de sécurité de Charb, qui était de repos, lorsque a débuté la tuerie. Selon le journaliste, le policier lui aurait répondu qu’il était en congés, mais que la police n’allait pas tarder à intervenir. Mais d’après le rapport de l’IGPN, il s’avère qu’il ne serait pas resté inactif, mais aurait passé plusieurs appels, à Franck Brinsolaro et à sa hiérarchie. (…)
Le rapport de la DGPN répond à une deuxième accusation, concernant une voiture suspecte aperçue au mois de septembre 2014 à proximité de Charlie Hebdo. Le même journaliste dePremières lignes avait alerté les policiers du Service de la Protection de la présence d’un individu suspect proférant des menaces contre Charlie Hebdo qui aurait «insulté le prophète». Il avait transmis les coordonnées du véhicule aux policiers, qui avaient fait un rapport à leur hiérarchie. Il s’était avéré que le propriétaire du véhicule n’était connu des services que pour une affaire de droit commun. Pourtant, Sylvain Louvet, lorsqu’il aperçoit la photo des deux terroristes au lendemain des attentats, croit reconnaître dans Chérif Kouachi l’homme vu dans la voiture en septembre, ce qui pourrait faire croire à un éventuel repérage des Kouachi sur les lieux du drame, et surtout à une défaillance des services de protection. Mais devant les enquêteurs de l’IGPN, le journaliste était moins sûr de lui, et semble avoir reconnu le propriétaire de la voiture sur une photographie. Ce dernier serait un déséquilibré, ayant passé plusieurs mois en hôpital psychiatrique. «On est sûr à 99 % que l’homme dans la voiture n’était pas Chérif Kouachi», résume une source proche de l’enquête.
Ce n’était pas un Kouachi, qui était en planque, mais un déséquilibré, et le témoin oculaire n’est pas sûr de reconnaître le gaillard. Ah! tous ces témoins oculaires à qui on ne peut décidément pas se fier… Surtout que la présence du Kouachi est visée, dans la plainte de l’épouse Brinsolaro, fin octobre 2014, et que l’incident évoqué par la police a lieu en septembre.
La conclusion de cette enquête est évidemment ailleurs:
«Ces conclusions de l’IGPN, indique-t-on de source policière, ainsi que les investigations, ne permettent pas de démontrer les éléments constitutifs de l’infraction de non-assistance à personne en danger».
L’objectif était bien là: non pas comprendre la vérité, mais s’assurer que la plainte Brinsolaro serait classée sans suite. Le rapport de l’IGPN doit déjà être entre les mains du zélé procureur Molins, qui pourra classer en toute bonne conscience.
Éric Verhaeghe

VOIR AUSSI

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Point de vue d'un analyste américain







Sun Nov 15, 2015








Police cordon off a street following several attacks in and around the French capital, Paris, November 13, 2015. (Photo by AFP)

The Paris attacks could be the work of foreign intelligence services in order to “facilitate a NATO strike against Syria,” says a former US Army psychological officer.

On Saturday, Daesh (ISIL) claimed responsibility for a series of coordinated attacks in Paris that killed at least 129 people and injured some 352 on Friday night.
The terror organization called the attacks “the first of the storm” and denounced France as a “capital of prostitution and obscenity.”
In an interview with Press TV, Scott Bennett pointed to two scenarios, arguing that the attacks could be either carried out by ISIL terrorists or “a foreign entity.”
They could be “a sort of Zionist Mossad, MI6, CIA operation, or trained fighters that have been trained and financed by the United States and Saudi Arabia and others,” he explained.



Bennett said “it’s very possible that this (Paris attacks) was a fabricated assault.”
If that is the case, Bennett said, “Then we see a larger pattern, a larger trigger of war which resembles the Gulf of Tonkin (Vietnam War) and the 9/11 attacks. We’re seeing all of this language repeated in the past; we’re seeing the world coming behind the United States after the false-flag attacks of 9/11, and we now see the world coming behind France.”“So this may have been designed to be a false-flag attack in order to shift momentum from the war-footing, ship NATO and the United States, France and the United Kingdom into an offensive position and help get them a moral high ground that they can now use to exploit a buffer or no fly-zone in Syria, they can use this for new sanctions and request for investigations in Iran and they can use this to destabilize Russia,” he added.
 “The important thing is for Russia, Iran and China to be ahead of that in order to not be blamed for any of this connection because it’s very possible, that if this was a fabricated assault, then it very easily could be claimed on people who are connected with [Syrian President Bashar al-] Assad, or connected with Iran or even with Russia,” he concluded.
Observers say while the US and its allies claim they are fighting against terrorist groups like ISIL, they in fact helped create and train those organizations to advance their policies in the Middle East.

Hannibal GENSERIC

Voir aussi :

  •  http://www.wikistrike.com/2016/01/qui-a-organise-les-attentats-de-janvier-et-novembre-2015-a-paris.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail