Dans l'article intitulé Des "terroristes modérés" « font du bon boulot » à Puisseguin : 43 morts nous avons vu que le soit disant accident du bus était en réalité un "dégât collatéral" du soutien de La France au terrorisme islamiste "modéré" et "démocrate". Les armes utilisées lors de cette attaque sont des armes françaises qui leur ont été livrées" accidentellement" par la France en 2012 et en 2013. François Hollande, s'apercevant, un peu tard, de sa bourde, demande à Daech de les lui rendre. Il peut s'attendre à ce qu'elles reviennent en France, mais pas comme il l'espère.
Le
président français François Hollande a demandé aujourd’hui lors d’une
allocution officielle que les rebelles syriens ayant rejoint l’État
Islamique rendent les armées livrées par la France en 2012.
Il s’agit de plusieurs milliers d’armes offertes aux rebelles syriens
entre 2012 et 2013 pour les aider dans leur lutte contre
Bashar-al-Assad.
Or, depuis que l’État Islamique s’est étendu, de nombreuses armes
françaises circulent dans les rangs de l’organisation terroriste.
Alors que les pays de l’Union Européenne "s’insurgent" officiellement contre la
livraison d’armes par la Turquie aux rebelles syriens, ceux-ci semblent
oublier qu’ils en ont également livré précédemment, et que certains d'entre eux continuent à le faire à ce jour, directement ou indirectement.
Actuellement, l’État Islamique n’a pas souhaité donner de réponse à la
requête de François Hollande, mais celle-ci ne saurait être positive. A
moins bien sûr qu’il ne s’agisse d’explosifs, auquel cas ils rêvent de
pouvoir en livrer à la France un certain nombre, comme cela avait été le cas à Puisseguin. Ce ne sont là que quelques "dégâts collatéraux" d'une politique hollando-fabusienne pro sioniste qui se soucie fort peu de la France et des Français.
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