Encore le 11/9 qui
apparaît décidément, il n’y a plus de hasard depuis bien longtemps !
Chaque fois qu’un lieu subit un attentat ultra médiatisé, on découvre qu'il vient d'être vendu juste avant l'attentat, et que cela se passe entre juifs, exclusivement. Et que le nouveau propriétaire touche une confortable somme après l'attentat. A chaque fois, le vendeur liquide tout et s'en va en Israël couler des jours heureux. Il faut aussi remarquer qu'à la veille des attentats, la communauté juive du lieu de l'attentat est prévenue de l'imminence de l'attentat. Il n'y a que les gogos goys pour croire à de pareilles coïncidences.
On peut citer l’achat des Tours Jumelles par Larry Silverstein peut avant le 9/11:
Au cours de l’attentat Charlie, le magasin Hyper Casher (supérette en forme de cube noir, référence occultiste au culte de saturne) avait été vendu la veille de l’attentat par Michel Edmond Mimoun Emsalem. C’est juste hallucinant.
Bref, aucune coïncidence encore une fois,
seulement un attentat prévu à l’avance comme le montre définitivement
la couverture de The Economist:
**les mots en bleus contiennent des liens avec du complément, n’hésitez pas à cliquer sur ces mots
Le Bataclan, vendu le 11 septembre par son détenteur parti en Israël
La famille Touitou possédait le Bataclan depuis 1976. Le 11
septembre 2015, la salle de spectacle -transformée vendredi en scène de
carnage- fut cédée au groupe Lagardère par ses ex-propriétaires engagés
en faveur d’Israël.
Le 15.11.2015 à 9h11
L’information provient de sources qu’il sera difficile de qualifier d’« antisémite » ou de « complotiste » : The Times of Israel et l’Agence télégraphique juive.
Les deux organes de presse rapportent des propos tenus par les frères
Laloux (Pascal et Joël) et accordés à la seconde chaîne de télévision
israélienne : ces deux hommes affirment avoir vendu le Bataclan le 11 septembre dernier (au groupe Lagardère qui a choisi de conserver ses gérants Jules Frutos et Olivier Poubelle) en raison de la récente émigration de l’un d’entre eux (Joël) en Israël.
Soit deux mois avant la prise d’otages du 13 novembre qui causa la mort de plus de 89 spectateurs (sur la centaine de victimes fauchées au total par les attentats).
Rappel : Michel Emsalem, propriétaire de l’Hyper Cacher, avait vendu son magasin la veille de l’acte terroriste au cours duquel quatre personnes –enterrées par la suite en Israël– ont été retrouvées mortes.
Originaire de Tunisie et enterré (en 2000) à Jérusalem, le père des frères Laloux, dénommé Elie Touitou et surnommé Kahlaoui Tounsi, était un célèbre chanteur dans les années 60. En 1976, cet ex-associé d’Enrico Macias avait acquis la prestigieuse salle de spectacle du Bataclan.
Dès les années 80, ses deux fils se sont répartis la gestion du lieu : le management pour Pascal et la programmation pour Joël.
Si ce dernier est désormais installé en
Israël, son frère Pascal est également investi dans le régime de Tel-Aviv, notamment en raison d’« obligations professionnelles » (non précisées) selon un article du Parisien paru le 21 décembre.
Et il suffit de consulter le compte Facebook semi-public de Pascal Laloux, président du club ultra-sioniste de football UJA Maccabi, pour y découvrir son soutien politique envers Gil Taïeb (figure emblématique
de la communauté juive française, vice-président du Crif, ancien militant du
Bétar aujourd’hui proche de la LDJ, fondateur de « l’association du bien-être des soldats israéliens » et époux de l’élue PS Karen Taïeb).
En toute logique, Pascal Laloux affiche également sur le réseau social son « goût »pour l’armée israélienne.
Nulle surprise, dès lors, à ce qu’un tel propriétaire du Bataclan ait
organisé (avec l’association Migdal) des galas en faveur de cette armée
d’occupation comme le dénoncèrent, le 13 janvier 2008, des militants
propalestiniens non-violents.
Signalons ici que la vidéo ci-dessus n’a pas bénéficié de la même exposition médiatique qu’un autre document audiovisuel, capturé le 20 décembre 2008 et particulièrement relayé depuis
hier pour illustrer la « dangerosité » de certains militants
propalestiniens (curieusement masqués) à l’encontre du Bataclan.
Le 10 octobre, la salle accueillait d’ailleurs un évènement digne du folklore politique d’outre-Atlantique : le « concert des amis chrétiens d’Israël ».
Sans oublier le groupe rock-punk qui entama un morceau dédié amoureusement au « diable » lorsque débuta le massacre du vendredi 13 : Eagles of death metal. En juillet, de passage à Tel Aviv pour un concert, le chanteur faisait ainsi savoir (à 0’45) qu’il était un « fervent supporter » d’Israël.
Coïncidence : le zèle passé du Bataclan
en faveur de l’armée israélienne est partagé par un lieu qui fit
-discrètement- partie de l’affaire Charlie. Il s’agit du local situé dans un quartier où vit la
plus importante communauté juive de France et devant lequel les
terroristes avaient abandonné leur voiture avant de disparaître dans la
nature. Extrait d’un article de Panamza publié le 31 janvier :
Patistory est l’un des sept « points de vente« -dans toute la France- à destination d’un gala annuel dédié à l’armée israélienne et organisé par l’association française Migdal.
Enfin, cette première immersion de Panamza dans les tréfonds de ce
sanglant 13 novembre ne serait pas complète sans le signalement de cette
curieuse synchronicité. Dans la matinée se sont déroulés deux faits
singuliers :
* sous la direction de son chef Pierre Carli (décoré en avril du titre de commandeur de la Légion d’honneur), le Samu de Paris était en exercice sur une thématique dénommée « Attentats multi sites ».
* au même moment, ce vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris « l’imminence d’une large attaque terroriste » selon The Times of Israël. L’auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem, extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Habib?
Souvenez-vous : il s’agit de cet influent député ultra-sioniste, ancien vice-président du Crif et ami intime (depuis 1991) de Benyamin Netanyahou, qui avait été étrangement présent dans le sillage de Manuel Valls lors de la visite du Premier ministre dans les locaux dévastés de Charlie Hebdo.
L’émotion suscitée par l’effroyable
carnage de vendredi ne doit pas empêcher de démêler le vrai du faux dans
le torrent d’informations à venir sur les assaillants, leurs complices
et les commanditaires.
Rien n’exclut, à ce jour, l’hypothèse
-déjà présentée comme une vérité incontestable par la classe politique
et médiatique- d’une série d’attentats réalisés, en amont comme en aval,
par la mouvance djihadiste affiliée à Daech. Lequel Daech est un instrument fabriqué par les États-Unis, donc sous influence israélienne : ainsi la boule est bouclée. D'ailleurs, jamais une cartouche n'a été tirée par Daech (et ses semblables comme Al-Nosra ou Al-Qaïda) contre Israël.
Mais au regard de l’histoire du
terrorisme occidental, rien ne permet, non plus, d’évacuer d’emblée la
thèse de l’instrumentalisation de délinquants psychotiques par des
forces étatiques et souterraines.
Un fait demeure certain : dans un régime dont le président vient de décréter l’état d’urgence, s’arrogeant ainsi le droit de « contrôler la presse et des publications de toute nature », ne
comptez guère sur les médias traditionnels pour espérer connaître les
ramifications d’opérations imputées exclusivement à une cellule
islamiste activée un vendredi 13, au début du shabbat.
HICHAM HAMZA
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