lundi 16 novembre 2015

Paris. Attentats sous faux drapeau ?

Cet ancien article tombe à pic pour expliquer les attentats sous « false flag » de ces derniers temps. Sans tous les nommer nous avons récemment eu  l'Hyper Casher et Charlie Hebdo, l’attentat de Boston ou bien la fusillade de LAX. Sans oublier le king des false flag, le 11/9.
Tout au long de l’histoire, diverses versions d’attentats sous faux drapeau (« false flag » en anglais, terme que je garderai dans la traduction) ont été utilisées avec succès par les gouvernements pour diriger la force du peuple vers la finalité recherchée par la classe dirigeante. Selon les époques, la finalité peut être la guerre ou la restriction des libertés civiles privées et des droits humains basiques ou un agenda économique.
Comme les Américains ont créé DAECH comme outil de déstabilisation tout azimuts, il serait logique de penser qu'ils sont derrière les attentats de Paris, comme ils l'étaient contre leur propre peuple  le 11/9. Une personnalité russe le confirme. L'avenir le prouvera. Les juifs de France étaient mis au courant par Israël de l’imminence  de l'attentat, mais personne n'a alerté les autorités françaises. On retrouve (encore et toujours)  l'axe Washington Tel-Aviv derrière les harkis daéchiens.
Citation Goering

Par exemple, l’attaque aux armes chimiques qui a eu lieu en août 2013 en Syrie peut servir d’exemple pour un false flag à l’étranger prévu pour stimuler la ferveur des américains vers la guerre, sur la base de la Responsability to Protect (ou R2P, le Devoir de Protection, établi en 2005 par les Nations-Unies, NdT) comme pour le golfe du Tonkin.
Comme l’attaque est prévue pour instiller la peur, la panique et une réponse téléguidée de la part du public, il est important de déconstruire le récit de cette attaque tel qu’il est présenté.  Nous devons nous former et former le public à reconnaître les signes d’un false flag quand il se produit et ainsi rendre l’attentat neutre.
Ce qui suit est une liste des éléments les plus courants d’un attentat par false flag auxquels on devrait prêter immédiatement attention dans le cas d’un nouvel accident qui jouera sur la corde sensible et les émotions des gens:
1. Envergure de l’événement : la première question à se poser sera « Est-ce un accident à haut profil ? » La réponse, bien sûr, est tout à fait évidente. Si l’attaque se passe au World Trade Center avec explosion et effondrement des bâtiments, ou à la Maison Blanche ou au Pentagone, c’est clairement un haut niveau. Donc le lieu peut être pris en considération. Dans d’autres circonstances, l’acte-même peut être un facteur majeur comme dans le cas de l’école primaire de Sandy Hook, endroit sans importance au plan national, mais acte horrible qui a fait néanmoins les gros titres nationaux. Le facteur le plus important est sans conteste l’attention des médias. Quel que soit le lieu ou l’acte, si les médias récupèrent l’histoire et la répandent en simultané sur toutes les grandes chaînes majeures, l’accident peut être vu comme un « événement à haut profil ».
2. Récits qui changent : dans les cercles informés de recherche, il est bien connu que l’information qui sort peu après l’événement est en général la plus fiable. Il faut aussi tenir compte de la confusion qui règne à cause de l’affolement des témoins. Malgré tout, l’information primitive n’a pas été sujette à une révision complète des médias, ce qui se produira forcément quand l’histoire sera moulée pour s’adapter au récit mis en avant par les individus qui ont dirigé l’attaque aux plus hauts niveaux ou qui ont au moins des liens avec ceux qui peuvent contrôler le moyen de faire rapporter l’événement par les divers médias.
Par exemple, au moment des attentats, les rapports initiaux peuvent signaler 5 tireurs. Très peu de temps après, on peut n’en mentionner que deux. Rien que quelques heures après l’attentat, toute référence à plus d’un tireur a entièrement disparu, il ne reste plus dans l’affaire qu’un « tireur isolé ». On ridiculise toute mention ultérieure d’autres tireurs comme une « théorie de la conspiration ».
3. Manœuvres d’entraînement en simultané : une marque de fabrique d’une opération false flag est le déroulement de manœuvres d’entraînement peu de temps avant ou pendant l’attaque. Ces manœuvres impliqueront souvent une séquence d’événements qui se passent pendant l’attentat proprement dit. Ces manœuvres d’entraînement ont eu lieu pendant des false flags à grande échelle comme le 11 septembre ainsi que pendant des attaques à plus petite échelle comme la tuerie d’Aurora.
Par exemple, comme le documente Webster Tarpley dans son livre 9/11 Synthetic Terror : Made in USA (11 septembre, Terreur de synthèse, fabriqué aux USA), au moins 46 manœuvres étaient en cours dans les mois précédant le 11 septembre et le matin même de l’attaque. Ces 46 manœuvres avaient toutes un rapport d’une manière ou d’une autre avec les événements qui se sont passés le 11 septembre. De même pendant les attentats à la bombe du 7 juillet 2005 à Londres, des manœuvres étaient en cours avec exactement le même scénario que ce qui s’est produit exactement aux mêmes heures et aux mêmes endroits.
Bien qu’un prétexte puisse l’emporter sur l’autre selon la nature et le but de l’opération, les manœuvres d’entraînement sont utiles aux créateurs de false flag pour au moins deux raisons. La première est de provoquer une confusion intentionnelle quand les manœuvres se passent pendant l’attaque réelle. L’autre, d’un aspect plus rentable, est de se servir des manœuvres comme d’une couverture pour programmer l’attaque ou même donner le « feu vert » quand c’est le moment de lancer l’événement. Qui plus est, elles fournissent aux auteurs du programme un élément de couverture, surtout avec la structure compacte de la chaîne hiérarchique de commande de l’agence de renseignements/de l’armée et le besoin de rester informé. Si un officier de l’armée ou un agent des services secrets tombe par hasard sur le planning de l’attaque, on peut toujours dire que ces individus n’étaient que des témoins du programme de l’exercice d’entraînement. Cette réfutation se poursuit jusqu’au « feu vert » des manœuvres. Après achèvement de l’attentat false flag, l’hypothèse de la coïncidence servira à expliquer les tragiques résultats.
4. Cui bono ? La question la plus importante à se poser immédiatement après un accident à haut profil est « cui bono ? » ou « à qui bénéficie le crime ? » Si on peut voir un évident bénéfice du gouvernement, d’une société ou d’une banque, l’observateur devient alors capable d’y voir clair immédiatement. On peut répondre à nombre de ces questions en regardant de plus près le comportement de ces organisations avant l’attaque et peu de temps après.
Par exemple, la présence d’une loi qui n’aurait eu que peu de chance de passer avant l’attaque mais qui est vite passée (ou au moins lourdement suggérée) après, est un indice que l’attentat qui tombe à pic est en fait un false flag. La loi du type Patriot Act avait été en réalité rédigée avant le 11 septembre mais n’avait que peu de chance de passer au Congrès en raison du climat politique de l’époque aux US. Après le 11 septembre, le Patriot Act est rapidement passé sans virtuellement aucune discussion et avec la bénédiction du peuple américain.
En parlant du 11 septembre, c’est un fait qu’au moment de l’attentat, beaucoup d’individus au pouvoir au sein du gouvernement américain voulaient désespérément envahir plusieurs pays du Moyen-Orient. Après les attentats, une psychose guerrière s’est emparée de la classe dirigeante des US et le public américain a suivi sans tarder.
Après le « Underwear Bombing » (Le terroriste aux sous-vêtements piégés), nous avons vu l’inauguration des scanners corporels de la TSA (agence de sécurité des transports, NdT), technologie qui aurait été acceptée de mauvaise grâce avant l’incident et sa campagne de propagande. Les scanners avaient été pourtant achetés un an auparavant par une firme dont le propriétaire était l’ancien patron de la Homeland Security (département de la sécurité intérieure, NdT), Michael Chertoff.
Dans le même registre, parlant de la fusillade de LAX (à l’aéroport international de Los Angeles, le 1er novembre 2013, où un employé de la TSA a été tué, NdT), la TSA a acheté en août 2013 pour 3,5 millions de dollars de munitions. Pourtant en août, la TSA n’était pas une agence armée. Après la fusillade de Los Angeles, le discours s’est orienté vers un armement de l’agence, indiquant donc que quelqu’un de haut placé dans la structure du gouvernement avait eu une connaissance préalable de l’événement.
On peut dire bien sûr la même chose pour l’explosion de fusillades meurtrières par des tireurs fous qui se sont produites dans tous les US accompagnant la propagande qui poussait à des mesures accrues de contrôle des armes.
5. Questions sans réponse : une autre marque de fabrique d’une opération false flag est relativement évidente – la présence de questions sans réponse concernant les détails de l’attaque, les auteurs, le mobile etc. Bien que les récits des médias qui prennent forme peu après l’attaque veulent ignorer ces questions, elles subsisteront inévitablement si les observateurs peuvent réfléchir par eux-mêmes et se concentrer uniquement sur l’information. Un exemple de ces questions serait le bâtiment 7 pour le 11 septembre ou les questions des tireurs supplémentaires à Aurora et à Sandy Hook.
6. Le dossier est rapidement bouclé : une fois le choix fait par les médias d’un bouc-émissaire acceptable et d’un scénario de couverture, toute autre opinion ou question se voit refusée à l’antenne. Tout ce qui pourrait contredire légèrement l’histoire officielle est reconnu illégitime. Ceci fait, le bouc-émissaire, s’il est toujours en vie (dans de rares circonstances) est inculpé, poursuivi et reconnu coupable dans un vague procès à huis clos. Dans la plupart des cas, le suspect est tué dans l’affaire ou peu de temps après, ce qui réduit à néant toute contradiction de première main dans le récit officiel. Quoi qu’il en soit, le dossier est très rapidement bouclé après l’événement.
7. Lien des suspects avec la CIA, le FBI ou autre agence de renseignements : un aspect-clé qui suggère un false flag à rechercher rapidement après l’attaque est une quelconque connexion du suspect ou du groupe de suspects avec des agences de renseignement. Un lien avec l’une de ces organisations et institutions peut rendre difficile une explication sur la manière dont l’attaque a été coordonnée, la motivation des participants, l’implication réelle (ou non) des suspects et l’auteur véritable de l’opération. Par exemple, le 11 septembre, les nombreux pirates de l’air supposés auraient eu de proches contacts avec le FBI, la CIA et autres agences de renseignement de haut niveau (autant intérieures qu’étrangères). De même, les frères Tsarnaev qui ont été accusés de l’organisation de l’attentat de Boston avaient des liens avec le FBI avant l’attaque.
Dans de nombreux exemples, les connexions à certaines agences et communautés de l’armée devraient autant servir de signal d’alarme que les liens aux agences de renseignement car ces institutions ont été largement mélangées.
8. Bouc-émissaire commode : un indice conduisant un observateur informé à suspecter un attentat false flag est l’existence d’un bouc-émissaire commode. Toute opération de false flag comportera un récit soigneusement ficelé réalisé par le groupe d’individus mis en place pour la diabolisation. L’attentat d’Oklahoma City (1995) avait McVeigh et donc des « extrémistes de droite » et la « milice ». Pour le 11 septembre, le groupe était les musulmans. Dans de nombreuses fusillades à l’intérieur du pays, la diabolisation se faisait sur des propriétaires d’armes. Avec le récent attentat de Los Angeles, « l’auteur » était un « théoricien de la conspiration opposé au gouvernement. » À l’occasion d’un false flag, un « pigeon » facilement identifié montrera tous les aspects du groupe ou du moins la plupart, ainsi que l’environnement démographique social à diaboliser.
9. Les médias encouragent des récits en défaveur des groupes de bouc-émissaires, et/ou un agenda qui confisque les libertés : un indice qui suggère un false flag est qu’immédiatement après l’attentat et après « identification » des auteurs par les « officiels » et les médias, la corporation médiatique commence non seulement à diaboliser le groupe démographique auquel appartient « l’auteur », mais commence aussi à promouvoir des « solutions » pour empêcher qu’une telle attaque ne se reproduise un jour. Ce récit comportera toujours l’érosion des libertés, une plus importante mise en œuvre d’un état policier, une politique économique spécifique ou une marche vers la guerre.
Dit simplement, les médias mettent en avant le PROBLÈME, autorisent et guident une RÉACTION et ensuite fournissent une SOLUTION déterminée à l’avance.
10. Le gouvernement commence à « passer à l’action » contre le bouc-émissaire ou s’oriente dans le sens du récit des médias : après une saine dose de propagande des médias dominants qui repassent en boucle l’attentat pour entretenir la terreur, montrent l’auteur et présentent les solutions de l’état policier, le gouvernement commence alors à passer à l’action. Des discours politiques sont faits pour capitaliser la peur et l’angoisse ressenties par le public et pour renforcer l’idée que le gouvernement est là pour le protéger. On offre ensuite des solutions sous forme de lois, d’ordres d’exécution ou de mandats politiques, en vue soit d’une réduction du 4ème amendement, un contrôle des armes ou des frappes militaires dans un pays étranger.
11. Indices dans les médias populaires : les indices dans les médias populaires, qu’on peut définir plus précisément de programmation prédictive, sont plus facilement identifiés après coup. Cela implique souvent de mettre en scène un incident qui apparaîtra dans un film ou dans une émission de télévision. Dans d’autres cas, des détails fortuits de l’attaque sont insérés de manière visible ou même moins visible dans des films et à la télévision. Par exemple, le scénario d’un épisode de The Lone Gunman (en français « Au cœur du complot », NdT), une série dérivée de X-Files, montrait un avion piraté par contrôle à distance qu’on envoyait dans les tours du WTC. Dans The Dark Knight Rises (film de 2012, série Batman 3), il y avait une très curieuse référence à Sandy Hook avec une carte de Newtown, Connecticut, sur le mur.

Selon Paul Craig Roberts, les attaques terroristes à Paris ont été conçues par la CIA pour renforcer le statut de vassal de la France envers les Etats-Unis (Press TV)

par Paul Craig Roberts 10 Janvier 2015,

Paul Craig Roberts
Paul Craig Roberts

Article originel : Paris attack designed to shore up France’s vassal status: Roberts
Press TV 

Un ancien officiel de la Maison Blanche a déclaré que l'attaque terroriste qui a tué 12 personnes, ce mercredi à Paris (Charlie Hebdo) était une opération sous fausse bannière "conçu pour consolider l'état de vassal de la France envers Washington."
Le Dr Paul Craig Roberts, qui a été secrétaire adjoint au Trésor dans l'administration Reagan et rédacteur en chef adjoint du Wall Street Journal, a fait ces remarques dans un article publié jeudi.
"Les suspects peuvent être à la fois coupable et pigeons. Rappelez-vous tous les complots terroristes créés par le FBI qui ont servi à faire en sorte que le terrorisme devienne une menace réelle pour les Etatsuniens", écrit-il. Il a dit que l'économie française souffre des sanctions US imposées contre la Russie. "Suite à la commande russe, les Mistral français ne peuvent être livrés en raison de l'état de vassalité de la France envers Washington, et d'autres aspects de l'économie française sont négativement impactés par les sanctions que les États marionnettes de l'OTAN ont été obligés d'appliquer à la Russie, à la demande expresse des Etats-Unis." Le Dr Roberts a déclaré que le président français François Hollande avait déclaré cette semaine que les sanctions contre la Russie devaient se terminer. "Pour Washington, c'est trop d'indépendance de la politique étrangère de la part de la France." Il a ajouté que la CIA a apparemment ressuscité une politique qui a été menée contre les Européens pendant l'ère post-Seconde Guerre mondiale lorsque l'agence d'espionnage US menait des attaques dans les Etats européens pour les attribuer aux groupes communistes. Le Dr Roberts a déclaré que ces opérations sous fausses bannières étaient prévues par les services étatsuniens en Europe pour créer la haine contre les musulmans et amener les pays européens sous la sphère d'influence de Washington. Il a noté que "l'attaque de Charlie Hebdo était un travail intérieur et que les gens identifiés par la NSA comme hostile à la guerre occidentale contre les musulmans vont être encadrés pour un travail intérieur conçu pour amener fermement la France sous la coupe de Washington." Le chroniqueur a déclaré que le "gouvernement US sert aux Etatsuniens n'importe quelle histoire qu'il organise en sous-main et se rit de la crédulité du public."
Le chef du Parti communiste russe Guennadi Ziouganov a déclaré que les agents de renseignements américains notamment la NSA étaient bien au courant des projets d’attentats terroristes à Paris, mais qu’ils avaient gardé le silence, intentionnellement.
Il a confié à la chaîne deux de la télévision d’État russe que l’agence de sécurité centrale des États-Unis, NSA, outre ses programmes d’espionnage et d’écoute des conversations téléphoniques des millions de personnes aussi bien aux États-Unis qu’ailleurs, elle était au courant des projets d’attentats des terroristes à Paris. « Les États-Unis restent silencieux en ce qui concerne les attaques terroristes à Paris, car ils veulent en profiter pour justifier leurs propres politiques et démarches », a ajouté le chef du Patri communiste russe. Il a souligné que les Etats-Unis cherchaient à faire croire que sans Washington, les pays européens seraient victimes des attaques des terroristes et qu’ils avaient besoin des capacités militaires et sécuritaires des Etats-Unis pour se défendre face aux groupes terroristes. « Les Etats-Unis envisagent d’accroître la dépendance de l’Europe vis-à-vis à Washington. Le plus important mécanisme pour accéder à cet objectif stratégique est de permettre aux terroristes de perpétrer des attaques terroristes et sanglantes dans les villes européennes », a dit Guennadi Ziouganov. 
Les Etats-Unis auraient pu informer les services de sécurité et de renseignement français avant que ces attentats ne surviennent, en vue de faire les mesures préventives, mais Washington a gardé le silence, intentionnellement. Il a poursuivi que sans aucun doute, les autorités américaines bénéficieraient des attentats de Paris pour accroître leur influence en France et dans toute l’Europe. « Dans un proche avenir, l’on sera témoin du développement, davantage, des capacités de l’Otan et de l’augmentation de son budget. Et Washington en profitera pour faire avancer ses objectifs », a ajouté le chef du Parti communiste russe. Il a ajouté que dans la conjoncture actuelle, les hommes d’Etat américains ne pensaient qu’à assurer leurs propres intérêts et sécurité et que leurs mesures visant à assurer la sécurité de leurs alliés de l’Otan, se limiteraient à de simples slogans. « Tant qu’une telle politique s’applique à la Maison Blanche et que les Etats-Unis soutiennent certains groupes terroristes, dont DAECH et Al-Qaïda, l’on pourra s’attendre à ce que des attentats terroristes similaires aux attaques de Paris se produisent dans d’autres pays européens », a-t-il indiqué. 

Israël aussi était au courant, mais n'a pas alerté la France

Malgré l'ultra-sionisme du gouvernement français, Israël reste insensible aux déclarations d'amour de ce gouvernement. Ainsi, selon les médias, la communauté des Juifs de France était bien au courant des attentats, qui ont frappé, dans la nuit de vendredi et samedi, six localités de la capitale.

A en croire le journaliste français, Jonathan Simon Salem, résidant en Israël, " les Juifs de France avaient été informés des attentats qui devaient frapper Paris".

« Times of Israel » souligne que les Juifs de France s’attendaient à ce que quelques attaques visent la France, mais ils se sont bien gardé d'alerter leurs "compatriotes" goys, ou bien les autorités sécuritaires. 
Pourquoi ? 
Avaient-ils l'ordre de se taire ?

On retrouve toujours la même triade terroriste USA-Israël-Islamistes dans la quasi totalité des attentats. Ils ont tous le même but décrit ci-dessus. Les Arabes du Golfe (Arabie, Qatar, Koweït, EAU, ...) achètent leur relative tranquillité en finançant le terrorisme islamiste. 
Cela nous rappelle les méthodes mafieuses : pour qu'un commerçant puisse travailler, il doit "acheter" sa sécurité auprès de la Mafia. S'il ne paye pas, sa boutique saute, et sa famille est décimée. Ainsi va la "démocratie" que l'Occident veut généraliser à tous les pays arabes.
Hannibal GENSERIC