INFO
PANAMZA. L'homme censé avoir été «averti vendredi matin» -selon un
média israélien- de «l'imminence» des attentats n'est autre que le
baron Éric de Rothschild, businessman multimillionnaire et président du
"Service de protection de la communauté juive de France". Révélations.
"Un Rothschild qui n'est pas riche, pas juif, pas philanthrope, pas banquier, pas travailleur et qui ne mène pas un certain train de vie n'est pas un Rothschild" . L'auteur -décédé en 1997- de cette franche déclaration ? Edmond de Rothschild, banquier, membre du directoire du Bilderberg et petit-fils d'un mécène historique du sionisme.
Il
manque un qualificatif supplémentaire -utilisé notamment par les
spéculateurs boursiers- dans sa déclaration relative aux héritiers
Rothschild : "initié".
Dimanche 15 novembre, deux jours après les attentats qui ont ensanglanté Paris, Panamza rapportait la troublante révélation -parue la veille- d'un quotidien israélien : Vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris "l'imminence d'une large attaque terroriste" selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem (alias JSS), extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Aujourd'hui, il est possible d'identifier le principal "officiel" chargé en France de la "sécurité de la communauté juive".
Il s'agit d'Éric de Rothschild, 75 ans, fils d'Alain de Rothschild (ex-dirigeant du Crif), richissime homme d'affaires, président du Mémorial de la Shoah, viticulteur "casher" à succès et président du "Service de protection de la communauté juive de France"(SPCJ, surnommé la "LDJ officielle").
Soulignons
par ailleurs que JSS (qui indique avoir été de passage à Paris jusqu'à
samedi, jour de son retour à Tel Aviv) affirme dans son entretien accordé à The Times of Israel avoir initialement envisagé de se rendre au stade de France (lieu autour duquel se déroulèrent les premières explosions) avant de changer d'avis -sans explication- pour aller au cinéma.
Et qu'en est-il des rapports du communautariste Éric de Rothschild avec Israël?
Pour
comprendre sa connexion avec le régime d'apartheid, colonial et
terroriste de Tel-Aviv, il est nécessaire d'appréhender la double nature
de la Grande synagogue de Paris dont il est le président d'honneur : centre emblématique du judaïsme hexagonal mais aussi -comme l'a révélé Panamza en mai 2014- base de recrutement pour l'armée israélienne.
Nul étonnement, dès lors, à ce qu'Éric de Rothschild fut longtemps le co-administrateur du "Centre Peres pour la paix" fondé par Shimon Peres, ex-Premier ministre, visage avenant de l'expansionnisme sioniste, figure historique de l'axe Paris-Tel-Aviv, architecte principal du programme nucléaire illégal de l’Etat hébreu et co-responsable de "l'opération Susannah" (des
attentats israéliens commis en 1954 sur le sol égyptien, notamment
contre des intérêts américano-britanniques, et imputés mensongèrement
aux nationalistes égyptiens).
Nulle surprise, non plus, au regard de l'accueil bientôt prodigué par Éric de Rothschild envers la nouvelle ambassadrice (très à droite) d'Israël en France. Le 7 décembre, le baron la recevra en sa qualité de président de la fondation caritative Casip-Cosajor (inspirée par "la tradition juive et les valeurs de la République").
Méconnu
du grand public, Éric de Rothschild cultive des relations étroites avec
certaines figures influentes du pays:
François Hollande, Bernard Cazeneuve, Bernard-Henri Lévy et Pierre Bergé.
Sans
oublier deux autres personnages publics exposés hier par Panamza dans
une vidéo relative à la simulation médicale -réalisée vendredi matin,
onze heures avant le carnage- d'un "attentat multisites par fusillade" : Martin Hirsch, patron de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, et son ami Marek Halter, écrivain soupçonné par le contre-espionnage français d'être un "agent des services israéliens".
Une double question fondamentale reste ouverte :
* QUI a informé -dans la matinée du vendredi 13 novembre- le SPCJ et son président Éric de Rothschild de "l'imminence" d'une "large attaque terroriste"?
* POURQUOI
cette information vitale a-t-elle été portée essentiellement -voire
uniquement- à la connaissance de dirigeants de la communauté juive
hexagonale?
Une semaine après les évènements du 11-Septembre, les spécialistes de la finance avaient rapidement constaté l'existence de délits d'initiés en lien avec des attentats qui furent filmés par trois joyeux agents secrets israéliens arrêtés ensuite par la police.
Pour
exposer la trame d'un nouveau scandale, les citoyens français soucieux
de connaître la vérité devront percer une chape de plomb forgée avec la
complicité passive d'une presse désormais sous "contrôle". Avec une énigme-clé à résoudre au plus vite :
Qui sont les initiés du 13-Novembre?
HICHAM HAMZA
Révélations: Le père de Marion Maréchal-Le Pen était un agent du Mossad
Le journaliste Roger Auque,
décédé en septembre dernier, a livré dans ses mémoires posthumes des
confessions sur sa vie. Dans les dernières semaines de sa vie, en 2014,
il a rédigé «Au service secret de la République»,
ses mémoires riches en révélations sur la vie incroyable de celui qui
fut journaliste, ambassadeur de France et aussi… espion pour le compte
des services secrets israéliens et français. En France, on savait depuis longtemps que la droite sarkoziste et la gauche de toujours (de Guy Mollet à Hollandouille, en passant par Mitterrand le cagoulard) sont ultra-sionistes. Voici que maintenant, l'extrême droite lepéniste est tout aussi sioniste. La boucle est bouclée : en effet , on savait depuis longtemps que les nazis et les sionistes étaient les meilleurs amis du monde.
Otage du Hezbollah à Beyrouth, Roger est
alors correspondant de guerre quand il est libéré, en 1987. Très vite,
le Mossad le contacte. Puis la DGSE. Grand connaisseur du
Moyen-Orient, le chasseur de scoops continue à publier des articles
-notamment à Paris Match- tout en aidant les services secrets à libérer
des otages.
Même la CIA le convie: « A cette époque,
les Etats-Unis cherchaient des renseignements sur l’Iran et l’Irak (…).
Je me suis rendu à New York (…), mais également au Pentagone pour
rencontrer des agents américains. »
L’ex-otage au Liban raconte beaucoup de choses dans cet ouvrage.
Parallèlement, ce gaulliste convaincu
devient Franc-Maçon, ce qui l’aide à entrer en politique. Puis en
diplomatie. Sous Sarkozy, il devient ambassadeur en Erythrée. Les ors de
la république comme un ultime baroud d’honneur pour ce fils de courtier
d’assurances qui a grandi près de Dunkerque.
Roger Auque évoque dans le livre une
part méconnue de sa vie : sa fille, Marion Maréchal-Le Pen. En novembre
2013, la mère de la jeune députée FN avait confié à une journaliste
préparant un livre, que le père de sa fille était Roger Auque.
Le journaliste évoque un «instant
bouleversant» au moment de retrouver sa fille. «J’étais très ému, très
intimidé», écrit Roger Auque. «Depuis, nous n’avons cessé de nous voir»,
ajoute-t-il. De sa relation avec sa fille, aujourd’hui députée, il dit
qu’il s’est «davantage vécu comme un parrain que comme un père». «Marion
ne m’appelle pas « papa », mais Roger», précise-t-il.
«J’ai joué un rôle de conseiller dans sa vie», explique Roger Auque.
Quelques semaines plus tard, Marion
Maréchal-Le Pen avait porté plainte pour atteinte à la vie privée contre
le magazine «L’Express», qui avait révélé la confidence en annonçant la
sortie de l’ouvrage.
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