Selon
le site www.whatdoesitmean.com, tout
le "Deep State" américain est maintenant dans une peur panique,
parce que le sous-procureur général Rod Rosenstein vient d’annoncé
qu'il se rendait à Seattle
, ce 21
Février, pour rouvrir l'enquête sur l'assassinat, le 11 octobre 2001, du
procureur fédéral américain Thomas Wales.
En effet, le FBI vient d'annoncer que ce dernier a bien été
assassiné par un tueur professionnel et que le FBI a ouvert une enquête concernant
des Israéliens, de mystérieux "étudiants en art", qui dans les semaines précédant
les attentats du 11 septembre 2001, avaient tenté (et peut-être réussi) à entrer
dans le Dépôt
Naval d’Indian Island, situé à Port Hadlock dans l’État de Washington, dans
lequel l'armée américaine stocke, entre
autres armes, des explosifs de nano-thermite. Or, selon des experts scientifiques, des résidus de cet explosif ont été découverts
dans les décombres du World Trade
Center détruit le 11/9.
D’autre
part, nous savons depuis longtemps que la soi-disant enquête sur « la
collusion entre Trump et la Russie » n'était qu'une fumeuse mascarade
destinée à détourner l'attention d'une enquête beaucoup plus vaste et complexe
menée par les forces loyales au président Trump sur des crimes commis contre le
peuple américain par les régimes Clinton-Bush-Obama et dont le dernier
exemple a été démontré ce vendredi 16 février, lorsque le sous-procureur
général américain Rod Rosenstein a dévoilé une farce
aussi ridicule qu’hilarante accusant 13 citoyens russes [2] d'avoir interféré
dans l'élection présidentielle américaine de 2016 .
Le
comique dans cette mise en examen est que presque tout le contenu de son
rapport a été pompé
d’un article ukrainien paru en 2015, et sur un article du magazine The
New Yorker, de 2015, sur la même «ferme de trolls»
russes. Son auteur, Adrian Chen a décrit
cette soi-disant interférence russe comme suit: «Ce sont 90 personnes qui baragouinent
du mauvais anglais et qui ont une compréhension rudimentaire de la politique
américaine et qui shitpostent (écrivent de la merde) [3] de Facebook».
Avec
Facebook lui-même admettant que la majorité des publicités placées par cette
"ferme de trolls" russes est survenue après l'élection
présidentielle américaine de 2016, et dont la seule influence réelle a été
d’amener les médias menteurs et de fausses nouvelles CNN et MSNBC à
essayer d’ameuter les anti-Trump en se basant sur ces trolls. En
réalité, toute cette mascarade de collusion entre Trump et la Russie ne
peut être comprise qu'à la lumière de la
promesse électorale la plus importante et la plus critique que Trump ait faite
au peuple américain, et qu'il a articulée, le 17 février 2016, devant
les électeurs de Caroline du Sud, lorsqu’il a juré : "Si je suis élu, vous découvrirez qui a vraiment renversé le
World Trade Center".
Trump
étant l'un des meilleurs et des plus grands constructeurs de gratte-ciel au
monde, il avait su, dès 2001, que les bâtiments du World Trade Center se sont
effondrés parce qu'ils avaient été implosés par
des explosifs et qu’il était matériellement impossible pour n'importe quel type
d'avion de les détruire. Cette conviction de Trump a été soutenue par près de 3000 des meilleurs
architectes et ingénieurs du monde dont l'organisation à but non lucratif Architects & Engineers for 9/11 Truth
[1] a scientifiquement démontré que ce sont des explosifs
de nanothermites qui ont mis à terre ces bâtiments.
Or,
dans les semaines précédant le 11 septembre, le procureur fédéral Wales
a entamé une enquête sur les raisons pour lesquelles des «étudiants en art»
israéliens avaient tenté d'entrer dans les dépôts navals de l'île indienne, qui
se trouve à l'embouchure de Puget Sound, et qui stocke des bombes, des
torpilles, des balles et d'autres munitions de l'armée américaine. Durant
sa carrière de 18 ans, le procureur fédéral Tom Wales, basé à Seattle (état de
Washington) a été un enquêteur
obstiné contre la corruption des hauts fonctionnaires et des politiciens.
En enquêtant
sur ces "étudiants en art" israéliens, qui tentaient de
pénétrer dans ce dépôt naval près de Seattle, le Procureur Wales a
découvert que ces « étudiants » avaient également tenté d'entrer dans les bases et les
installations militaires à Atlanta,
Chicago, Denver, Detroit. , El Paso, Los Angeles, Miami, Orlando, La
Nouvelle-Orléans, Phoenix, San Diego, Little Rock, Washington DC, Arlington,
Texas, Albuquerque, et des douzaines d'autres petites villes. C’est pourquoi, le 11 octobre 2001, le procureur Wales a été exécuté
par un tireur professionnel de cinq
coups de feu.
Le plus incroyable et triste dans
cette affaire, est que, alors que Tom Wales était le seul procureur
fédéral américain à avoir été assassiné, ni le
procureur général de l'époque, John Ashcroft, ni aucun de ses principaux
collaborateurs, n'ont pris la peine d'assister à ses funérailles.
Encore plus stupéfiant, le Ministère
de la Justice des États-Unis a rapidement clos le dossier de son assassinat
impliquant les "étudiants en art" israéliens, et la seule action de Ministère
a été de renvoyer gentiment ces "étudiants d'art" en Israël,
créant ainsi l'un des plus grands mystères du 11 septembre.
Quiconque croie que le premier
assassinat d'un procureur fédéral américain deviendrait l'enquête la plus
prioritaire pour le Ministère de la Justice se trompe. Pire encore.
En tentant de trouver les assassins
du procureur fédéral Wales, le procureur américain de Washington-Ouest, John
McKay, fut systématiquement bloqué à la fois par le FBI et par le Ministère
de la Justice qui ne
lui a accordé que deux enquêteurs.
Cependant, au début de 2006, le
sous-procureur général américain James Comey a témoigné devant le
Congrès américain que le procureur John McKay "était
excellent" ; et le 22 septembre 2006, McKay a reçu une
très brillante évaluation du Ministère
de la Justice des États-Unis, mais voilà que le 7 décembre 2006, McKay a
été sèchement viré “parce qu'il avait été trop agressif dans son plaidoyer pour
l'enquête sur le meurtre de Tom Wales ".
Quant à savoir comment un
procureur des États-Unis pourrait être renvoyé pour être "trop
agressif" dans l'enquête sur l'assassinat d'un autre procureur fédéral
américain, cela défie toute logique normale.
Mais nous savons que les régimes Bush
et Obama soutenus par le Deep State, ont voulu mettre fin à toute enquête sur l’assassinat de
Tom Wales car cela conduirait aux responsables américains de ces crimes du
11 septembre.
NOTES
[2] Treize Russes pris en sandwich
Vous rappelez-vous de cette affiche de 1996 ? C’est drôle, c’était les médias traditionnels américains qui se vantaient, après coup, de notre propre ingérence dans l’élection d’une autre nation.
Le New York Times a publié samedi un article en première page, le lendemain de l’annonce des inculpations. Le titre disait : Le silence ostentatoire de Trump laisse la lutte contre la Russie sans chef. Dean Baquet et son comité de rédaction cherchent apparemment un Napoléon américain qui montera un cheval blanc et emmènera nos légions à Moscou pour donner une leçon à ces coquins – ou quelque chose comme ça.
Je ne suis sûrement pas le seul à remarquer comment cette hystérie est conçue pour détourner l’attention du public de l’inconduite documentée du FBI, de la CIA, de la NSA, des fonctionnaires du Département d’État et des leaders de la #Résistance nationale eux-mêmes : le comité du Parti démocrate, sa candidate lors des élections de 2016, Hillary R. Clinton, et le cercle restreint de la Maison Blanche autour de Barack Obama. On pourrait penser qu’au moins une partie de ce méfait aurait attiré l’attention de Robert Mueller, étant donné que la trace écrite de la preuve est aussi vaste et encombrée que le périphérique de Washington DC en personne. Cela ressemble en fait au plus grand acte de forfaiture bureaucratique de l’histoire américaine.
Bien sûr, le sous-procureur général Rod Rosenstein a rapidement qualifié les actes d’accusation annoncés en affirmant que la « trollage » russe sur Facebook n’avait eu aucun effet sur les élections de 2016, et que la campagne de Donald Trump n’y était pas impliquée. Peut-être que les inculpations étaient juste une mise en bouche pour quelque chose de plus puissant à sortir du bureau de Mueller. Mais si ça ne l’est pas, et si c’est tout ce qu’il a à montrer après un an et demi de la plus scrupuleuse plongée dans cette « narrative » ?
James Howard Kunstler
[3] Shitposting. Littéralement, « poster de la merde ». Désigne tout message à fin humoristique, parfois parfaitement inoffensif, comme des comparaisons potaches entre la forme de l’Australie et le visage du personnage de dessin animé Scoubidou. Le plus souvent, il s’agit toutefois d’un humour corrosif, volontiers malveillant, qui peut prendre la forme de l’insulte et du harcèlement moral.
Vous rappelez-vous de cette affiche de 1996 ? C’est drôle, c’était les médias traditionnels américains qui se vantaient, après coup, de notre propre ingérence dans l’élection d’une autre nation.
WASHINGTON – Une équipe de stratèges politiques américains qui ont aidé le gouverneur de Californie, Pete Wilson, dans sa tentative avortée à l’élection présidentielle en début d’année, ont déclaré cette semaine avoir servi d’arme de campagne secrète au président russe Boris N. Eltsine.La beauté de l’accusation de Robert Mueller contre treize trolls russes sur Facebook est qu’ils ne seront jamais jugés, donc M. Mueller n’aura jamais à prouver ce qu’il avance. Dans cette nouvelle configuration judiciaire rendue populaire par le mouvement #Me Too, les accusations suffisent à condamner la cible d’une enquête. Un peu comme si on revenait au Moyen Âge, mais c’est comme ça que ça se passe maintenant sur la Terre des Libertés.
The Los Angeles Times, 9 juillet 1996
Le New York Times a publié samedi un article en première page, le lendemain de l’annonce des inculpations. Le titre disait : Le silence ostentatoire de Trump laisse la lutte contre la Russie sans chef. Dean Baquet et son comité de rédaction cherchent apparemment un Napoléon américain qui montera un cheval blanc et emmènera nos légions à Moscou pour donner une leçon à ces coquins – ou quelque chose comme ça.
Je ne suis sûrement pas le seul à remarquer comment cette hystérie est conçue pour détourner l’attention du public de l’inconduite documentée du FBI, de la CIA, de la NSA, des fonctionnaires du Département d’État et des leaders de la #Résistance nationale eux-mêmes : le comité du Parti démocrate, sa candidate lors des élections de 2016, Hillary R. Clinton, et le cercle restreint de la Maison Blanche autour de Barack Obama. On pourrait penser qu’au moins une partie de ce méfait aurait attiré l’attention de Robert Mueller, étant donné que la trace écrite de la preuve est aussi vaste et encombrée que le périphérique de Washington DC en personne. Cela ressemble en fait au plus grand acte de forfaiture bureaucratique de l’histoire américaine.
Bien sûr, le sous-procureur général Rod Rosenstein a rapidement qualifié les actes d’accusation annoncés en affirmant que la « trollage » russe sur Facebook n’avait eu aucun effet sur les élections de 2016, et que la campagne de Donald Trump n’y était pas impliquée. Peut-être que les inculpations étaient juste une mise en bouche pour quelque chose de plus puissant à sortir du bureau de Mueller. Mais si ça ne l’est pas, et si c’est tout ce qu’il a à montrer après un an et demi de la plus scrupuleuse plongée dans cette « narrative » ?
James Howard Kunstler
[3] Shitposting. Littéralement, « poster de la merde ». Désigne tout message à fin humoristique, parfois parfaitement inoffensif, comme des comparaisons potaches entre la forme de l’Australie et le visage du personnage de dessin animé Scoubidou. Le plus souvent, il s’agit toutefois d’un humour corrosif, volontiers malveillant, qui peut prendre la forme de l’insulte et du harcèlement moral.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC