jeudi 22 février 2018

Accusations de viol, meurtre, cannibalisme et détournement d’enfants contre le pape François



Cet article est basé sur une interview exclusive avec Kevin Annett, du Tribunal International contre les Crimes de l’Église et de l’État, lors d’un litige, à la Cour International de Justice de Droit Commun de Bruxelles. Naturellement, AUCUN média grand public n’en a parlé. Et pour cause. Âmes sensibles, s’abstenir de lire ce qui suit !

Cinq juges et 27 jurés de six pays, ont revu les preuves relatives aux 50.000 enfants canadiens, américains, argentins et européens disparus, que l’on suspecte d’avoir été victimes d’un culte international de sacrifice d’enfants, appelé Neuvième Cercle.

Deux adolescentes ont revendiqué avoir été violées par le Pape François lors de leur participation à des sacrifices d’enfants. Huit témoins oculaires ont confirmé les allégations, grâce aux preuves présentées cette semaine à la Cour de Justice de Droit Commun de Bruxelles.
Les sacrifices rituels du Culte Satanique du Neuvième Cercle se sont apparemment déroulés durant les étés 2009 et 2010 dans les campagnes hollandaises et belges.
Selon les archives du Vatican, le pape François a aussi été coupable de rites sataniques sacrificiels sur des enfants, alors qu’il occupait les fonctions de prêtre, puis d’évêque, en Argentine.
Explosive lawsuit accuses Pope or murdering and raping young children 
C’est un éminent dignitaire du Vatican, et ancien employé de la Curie vaticane, qui a obtenu les documents scellés, qui ont pu être utilisés par la Cour. Ce n’était pas la première fois que l’on suspectait le déroulement d’activités sataniques au Vatican, selon cette histoire d’ABC News.
Un autre témoin a témoigné avoir été présent lors des meetings entre le pape François et la dictature militaire d’Argentine, pendant les années 70. Selon le témoin, le pape François a contribué au trafic d’enfants de prisonniers politiques manquants. Il les a envoyés dans un cercle international d’exploitation d’enfants du Vatican.
Le procureur général a présenté les preuves d’un document de l’Ordre Jésuite Catholique appelé « Privilège Magistral ». L’archive datait du 25 décembre 1967, et montrait que chaque nouveau pape devait participer aux rituels sacrificiels du Culte Satanique du Neuvième Cercle, y compris de nouveau-nés, et boire le sang des victimes.
« Des documents des archives secrètes du Vatican, présentées à la cour, indiquent clairement que, durant des siècles, les Jésuites avaient prémédité un plan pour tuer des nouveau-nés kidnappés, avant de consommer leur sang, » a annoncé le Procureur Général aux cinq juges internationaux et 27 membres du jury.
« Le plan a vu le jour à partir d’une notion tordue, qui consiste à détourner la puissance spirituelle d’un innocent à travers sa force vitale, ce qui assure la stabilité politique de la papauté à Rome. Depuis au moins 1773, [les rituels] semblent avoir été menés à bien par l’Église Catholique Romaine, les Jésuites et tous les papes. »
Deux témoins ont revendiqué avoir assisté à des sacrifices d’enfants avec l’ancien pape Joseph Ratzinger. Depuis au moins 1962, Ratzinger participait à des sacrifices d’enfants, en tant que membre des Chevaliers de l’Ombre, selon les archives vaticanes présentées à la Cour. Ratzinger était l’assistant d’un aumônier militaire S.S. dans le camp de concentration allemand de Ravensbruck, pendant la Deuxième Guerre Mondiale.
C’étaient des prisonniers du camp de la mort qui fournissaient les enfants à sacrifier. La division nazie Waffen S.S. des Chevaliers de l’Ombre, qui adopta les anciennes croyances occultes païennes, fut établie par Hitler en 1933.
Toos Nijenhuis, thérapeute hollandaise rescapée des rituels, a apporté son témoignage relatif aux sacrifices d’enfants dans cette vidéo (en anglais) :
« Les survivants de ces rituels décrivent comment les nouveau-nés se font découper en morceaux sur des autels de pierre, avant que leur dépouille ne soit consommée par les participants », a déclaré le Procureur Général. « Pendant les années 60, les survivants-témoins ont été forcés de violer et de mutiler d’autres enfants, puis de leur trancher la gorge avec une dague cérémonielle. »
Selon des témoins, le pape François, l’ancien pape Joseph Ratzinger, le Général Supérieur Jésuite Adolfo Pachon, et l’archevêque anglican de Canterbury, Justin Welby, ont participé aux viols et meurtres d’enfants des sacrifices du Neuvième Cercle.
Les preuves pourraient également relier aux cérémonies du culte le juge de la Haute Cour de Justice du Royaume-Uni, des membres de la famille royale britannique tels que le prince Philip, le cardinal Alfrink, la reine hollandaise Wilhemina, sa famille, et le roi Hendrick, ainsi que la famille royale belge, et le fondateur du groupe de Bilderberg, le Prince Bernhard.
Des documents du numéro 232 de la Gazette du Canada du 26 décembre 1942, ont également été présentés à la Cour. Évidemment, et malheureusement, le gouvernement canadien et le Bureau du Conseil Privé de Londres ont octroyé l’immunité judiciaire à la famille royale hollandaise. Qu’est-ce qui pourrait donc dispenser les dirigeants mondiaux de la justice ?
Le Procureur Général a présenté des liens présumés entre les familles royales britannique, hollandaise et belge avec la disparition d’enfants Mohawk de l’école résidentielle indienne de Brantford, dans l’Ontario. En 2008, un cimetière d’enfants massif a été découvert à l’école Mohawk. Les fouilles archéologiques instiguées par la Cour ont été stoppés lorsque la dépouille d’un petit enfant fut découverte.
Depuis lors, plus de 30 cimetières d’enfants ont été trouvés dans des écoles résidentielles indiennes du Canada. L’Église Catholique, l’Église Anglicane, l’Église Unie du Canada, le gouvernement canadien et la Couronne d’Angleterre, ont refusé les requêtes récurrentes d’excavation des cimetières de la Cour.
« Les preuves décisives de cette semaine ont démontré que l’Église Catholique a commis des crimes de manière continue envers les enfants, » a affirmé le Procureur Général. « L’Église Catholique est la plus grande entreprise du monde, et semble être en conflit avec les gouvernements, la police et les tribunaux du monde entier. »
Les preuves de la Cour ont révélé que le culte sacrificiel satanique du Neuvième Cercle opérait dans des cathédrales catholiques romanes de Montréal, de New York, de Rome et de Londres.
Les témoins ont soutenu que les sacrifices d’enfants se déroulaient au château Pays de Galles, dans un château français non divulgué, et dans les écoles résidentielles indiennes canadiennes de Colombie britannique (Canada) et de l’Ontario. Le culte satanique du Neuvième Cercle utilisait apparemment des bosquets privés aux États-Unis, au Canada, en France et en Hollande.
Hier, les cinq magistrats internationaux ont reporté l’audience à deux semaines plus tard, et ont envisagé de continuer en sessions en huis clos. La session en huis clos de cette semaine a été tenue à un endroit non divulgué, après avoir appris que le Vatican avait envoyé des « hommes de main » jésuites pour interrompre les poursuites. VIDÉO
21 novembre 2017