La collaboration des autorités islamo-terroristes du Tunistan à la destruction de la Libye, afin d'y installer des Frérots qui leur ressemblent ne date pas d'aujourd'hui, comme le montre l'article ci-dessous de 2016. Cela explique aussi pourquoi le sultan Erdogan a débarqué manu militari à Tunis pour y discuter de la coordination islamo-terroriste pour venir en aide à leur congénères de Tripoli. L'on verra que les mêmes islamo-terroristes agissent ensemble (sous la houlette de l'OTAN): Turquie, Qatar, Arabie, al-Qaïda et Daech.
H.Genséric
Les révélations terribles de l’islamiste libyen Ali al-Sallabi sur le général Rachid Ammar
2 Septembre 2016
Selon Ali Al-Sallabi, c’est grâce au Qatar, qui a convaincu Rachid
Ammar d’autoriser les cargos d’armes de transiter par la Tunisie, que
les islamo-terroristes ont pu renverser le régime de Kadhafi. Le
mercenaire libyen ne dit pas que rien que pour cette action «
humanitaire », le traître suprême Rachid Ammar a touché du Qatar 11
millions de dollars.
Depuis son éclipse peu glorieuse et son « courage, fuyons », on
n’entend plus beaucoup parler du général Rachid Ammar qui, avec un
affairiste célèbre et un président mercenaire, a joué un rôle clef dans
la destruction de la Tunisie et l’invasion de la Libye. Selon nos
sources locales, Rachid Ammar se la coule douce à Sayada (Sahel), sa
ville natale.
Assis sur une fortune de près de 63 millions de dollars qu’il a pris le soin de placer entre une banque européenne et la Qatar National Bank (QNB), il peut terminer ses vieux jours en Pacha dans un pays où 30% des Tunisiens crèvent de soif et de faim, et 71% ont régressé de la classe moyenne à la classe prolétaire comme dirait le stalinien embourgeoisé par Kamel Eltaïef et Chafik Jarrawa, un certain Hamma Hammami.
63 millions de dollars, c’est le total des sommes d’argent qu’il a perçu du Qatar pendant la « révolution » de la brouette en Tunisie, avant la « révolution » islamiste libyenne et durant la réinstallation des Frères musulmans Tunisiens au pays de Bourguiba.
Tunisie-Secret n’a pas attendu les révélations involontaires de cet intégriste libyen, Ali al-Sallabi. Dès 2012, nous avons dévoilé le véritable visage de ce traître qui est une honte pour la Tunisie et pour son armée tout particulièrement. Contrairement à beaucoup d’autres, nous n’avons pas été leurré par l’intox du « Général qui a dit non à Ben Ali », reprise à la une de Jeune Afrique, qui a été lancée à partir de Bruxelles par le cyber-collabo Yassine Ayari, fils du colonel Tahar Ayari, qui a été assassiné le 18 mai 2011 à Errouhiya (gouvernorat de Siliana) par des terroristes islamistes que les mercenaires du droit-de-l’hommisme venaient d’amnistier.
Dans cet entretien télévisé, Ali al-Sallabi, qui est membre du secrétariat de l’Union internationale des savants musulmans, présidée par l’imposteur Youssef Qaradaoui, et fondateur du parti islamiste Al-Bina Wa Tanmia (Construction et Développement), l'une des composantes de Fajr Libya, les milices islamistes qui sévissent en Libye, raconte le moment de basculement de la Libye. Son basculement d’Etat souverain et prospère en tribus anarchistes et moyenâgeuses, grâce au « courage et à la fidélité du général tunisien Rachid Ammar ».
Selon le mercenaire libyen, le traitre tunisien est « un guide que Dieu a envoyé pour sauver le peuple tunisien d’un massacre et qui par la suite joué un rôle déterminant dans le sauvetage des Libyens ». Ali al-Sallabi révèle que «c’est le Qatar qui a réussi à convaincre les Tunisiens de laisser passer les armes au djebel al-Gharbi. Sans cela, on n’aurait jamais pu renverser le régime ».
Ali al-Sallabi fait ensuite cette confidence que les Tunisiens doivent retenir et que l’Histoire doit inscrire : « Il y a eu des discussion très vives entre le chef d’état major qatari et le chef d’état major tunisien. Le premier a dit au second que c’est dans l’intérêt de la Tunisie que la révolution libyenne réussisse. C’est ainsi que le général Ammar a pris la décision courageuse d’autoriser l’aviation qatarie d’atterrir en Tunisie et d’acheminer les cargaisons d’armes vers la Libye ».
Voila qui est dit et consigné. Al-Sallabi, qui a été reçu par Béji Caïd Essebsi le 9 mai 2015 et à la demande de Rached Ghannouchi, voulait rendre hommage au général qui a dit Oui au Qatar, à Sarkozy et aux Etats-Unis d’Amérique. Ce faisant, il l’a marqué au fer rouge comme étant le plus grand traître de l’Histoire moderne de la Tunisie. Il y en a bien d’autres, dont nous révèlerons un par un les faits, les méfaits et les forfaits.
Karim Zmerli
Assis sur une fortune de près de 63 millions de dollars qu’il a pris le soin de placer entre une banque européenne et la Qatar National Bank (QNB), il peut terminer ses vieux jours en Pacha dans un pays où 30% des Tunisiens crèvent de soif et de faim, et 71% ont régressé de la classe moyenne à la classe prolétaire comme dirait le stalinien embourgeoisé par Kamel Eltaïef et Chafik Jarrawa, un certain Hamma Hammami.
63 millions de dollars, c’est le total des sommes d’argent qu’il a perçu du Qatar pendant la « révolution » de la brouette en Tunisie, avant la « révolution » islamiste libyenne et durant la réinstallation des Frères musulmans Tunisiens au pays de Bourguiba.
Tunisie-Secret n’a pas attendu les révélations involontaires de cet intégriste libyen, Ali al-Sallabi. Dès 2012, nous avons dévoilé le véritable visage de ce traître qui est une honte pour la Tunisie et pour son armée tout particulièrement. Contrairement à beaucoup d’autres, nous n’avons pas été leurré par l’intox du « Général qui a dit non à Ben Ali », reprise à la une de Jeune Afrique, qui a été lancée à partir de Bruxelles par le cyber-collabo Yassine Ayari, fils du colonel Tahar Ayari, qui a été assassiné le 18 mai 2011 à Errouhiya (gouvernorat de Siliana) par des terroristes islamistes que les mercenaires du droit-de-l’hommisme venaient d’amnistier.
Dans cet entretien télévisé, Ali al-Sallabi, qui est membre du secrétariat de l’Union internationale des savants musulmans, présidée par l’imposteur Youssef Qaradaoui, et fondateur du parti islamiste Al-Bina Wa Tanmia (Construction et Développement), l'une des composantes de Fajr Libya, les milices islamistes qui sévissent en Libye, raconte le moment de basculement de la Libye. Son basculement d’Etat souverain et prospère en tribus anarchistes et moyenâgeuses, grâce au « courage et à la fidélité du général tunisien Rachid Ammar ».
Selon le mercenaire libyen, le traitre tunisien est « un guide que Dieu a envoyé pour sauver le peuple tunisien d’un massacre et qui par la suite joué un rôle déterminant dans le sauvetage des Libyens ». Ali al-Sallabi révèle que «c’est le Qatar qui a réussi à convaincre les Tunisiens de laisser passer les armes au djebel al-Gharbi. Sans cela, on n’aurait jamais pu renverser le régime ».
Ali al-Sallabi fait ensuite cette confidence que les Tunisiens doivent retenir et que l’Histoire doit inscrire : « Il y a eu des discussion très vives entre le chef d’état major qatari et le chef d’état major tunisien. Le premier a dit au second que c’est dans l’intérêt de la Tunisie que la révolution libyenne réussisse. C’est ainsi que le général Ammar a pris la décision courageuse d’autoriser l’aviation qatarie d’atterrir en Tunisie et d’acheminer les cargaisons d’armes vers la Libye ».
Voila qui est dit et consigné. Al-Sallabi, qui a été reçu par Béji Caïd Essebsi le 9 mai 2015 et à la demande de Rached Ghannouchi, voulait rendre hommage au général qui a dit Oui au Qatar, à Sarkozy et aux Etats-Unis d’Amérique. Ce faisant, il l’a marqué au fer rouge comme étant le plus grand traître de l’Histoire moderne de la Tunisie. Il y en a bien d’autres, dont nous révèlerons un par un les faits, les méfaits et les forfaits.
Karim Zmerli
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