En Tunisie, durant les régimes de Bourguiba et de Ben Ali , les boulangeries populaires étaient subventionnées par l’État afin que le pain reste accessible au plus grand nombre. Sous les régimes islamistes, l’État étant quasiment en faillite permanente, les gouvernants ont trouvé un moyen de "subventionner" ces boulangeries en leur fournissant du blé contaminé aux radiations nucléaires, et acheté à vil prix en Ukraine. Naturellement, la forte augmentation des cancers dans la population, depuis, le sinistre Printemps Arabe, n'est que fortuite.
Des
informations circulant depuis plusieurs semaines, sur les réseaux sociaux, ont
fait état de l’importation par une société privée, d’une cargaison de blé en
provenance de ‘Ukraine. La marchandise, déchargée au port commercial de Sousse
depuis août 2019, serait contaminée par des radiations nucléaires, ce que le
ministère de l’Agriculture a considéré comme étant « de fausses
informations sans fondement ». Qu’en est-il ?
La
cargaison de 250 mille tonnes de blé contaminé arrivée en Tunisie, en août
dernier, provient de l’Ukraine et non de la Bulgarie, et ce contrairement, aux
allégations des autorités, a affirmé jeudi, l’ancienne inspectrice du service
de contrôle sanitaire aux frontières (au port de Sousse), Nawel Mahmoudi.
Les
tentatives visant à dissimuler l’origine du blé, illustrent la crainte des
autorités de la présence de traces de radiations nucléaires liées à l’accident
de Tchernobyl, a-t-elle ajouté, lors d’un point de presse tenu à Sfax, en
présence d’un certain nombre de députés et de représentants de la société
civile.
Mme Mahmoudi
qui avait évoqué auparavant cette affaire, a noté que la cargaison de blé
contaminé n’a pas été retournée au pays exportateur mais distribuée au profit
de certaines parties, dont le ministère de l’Agriculture, et ce,
contrairement aux informations erronées diffusées par les autorités publiques.
Mme Mahmoudi
a précisé avoir détecté une
mauvaise odeur provenant de la cargaison arrivée le 25 août 2019,
outre la couleur noire
de la marchandise, exprimant son étonnement de l’indulgence dont ont fait
preuve de la direction du port et les services de l’agriculture et de la santé.
Elle s’est interrogée
également, sur deux incendies ciblant la récolte du blé tunisien
survenus au cours de la saison de moisson, et plus précisément durant la
période d’attente passée en mer par les deux navires transportant
les cargaisons du blé importé.
Et
d’ajouter que certains opérateurs au service du contrôle aux frontières
maritimes ne disposent pas des cartes professionnelles, notant la perte des
archives relatives à 10 ans d’activités du port et trois cas de décès suspects
survenus au cours des mois de juin et août 2019.
L’ancienne
responsable a mis l’accent sur la non réalisation des opérations d’inspections
nécessaires, la non application des mesures sanitaires exigées par rapport aux
navires accostant dans les ports tunisiens ainsi que la non-conformité du nombre
des arrivées au port avec le nombre inscrit aux dossiers émis par les pays de
départ.
Mahmoudi
a affirmé avoir subi des agressions (vol de son portable, agression physique…)
après avoir dévoilé les dépassements et les soupçons de corruption ayant
accompagné cette affaire de blé contaminé.
La
Commission de la réforme administrative, de la bonne gouvernance, de la lutte
contre la corruption et du contrôle de gestion des deniers publics à
l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a lancé depuis quelques semaines,
une enquête sur cette affaire, alors des propos contradictoires sont tenus par
certains responsables.
Le
député du Courant démocrate (Attayar), Noomane el Euch a indiqué que la
commission de l’agriculture auditionnera Mme Mahmoudi, précisant qu’elle a
déjà, auditionné le PDG de l’Office des céréales concernant la cargaison du blé
contaminé.
Par ailleurs, Mme Mahmoudi, a indiqué lors de la conférence qu’elle compte dévoiler une autre affaire de corruption dans le domaine de la santé survenue également à Sousse.
Par ailleurs, Mme Mahmoudi, a indiqué lors de la conférence qu’elle compte dévoiler une autre affaire de corruption dans le domaine de la santé survenue également à Sousse.
Source : La Presse.tn
Version
officielle : pas de blé, pas de corruption, tout est nickel !
Le ministre de l’Agriculture, Samir Taieb a nié l’arrivée d’un
navire ukrainien chargé de blé, soulignant que les institutions tunisiennes
compétentes jouent leur rôle national, critiquant leur suspicion à travers ce
qui a été rapporté à propos de l’arrivée d’un navire d’Ukraine en Tunisie avec
16 mille tonnes de blé contaminé par les radiations nucléaires.
Samir Taieb a démenti les informations faisant état de sa
participation à une réunion à Sousse, accompagné du ministre de la Santé par
intérim, Sonia Ben Cheikh, vu que la date présumée de la réunion a coïncidé
avec la cérémonie du Fark de sa mère.
En revanche, dans le même contexte, le directeur général de
l’Office des céréales, Tawfik Saidi a indiqué qu’un navire chargé de blé est
arrivé en Tunisie le 25 novembre et a obtenu des licences le 29 du même mois,
mais qu’il provenait de Roumanie, pas d’Ukraine.
Source : Tunisie
Numérique
Conclusion
Élection après élection, les « déplorables » votent
systématiquement islamistes, malgré les avanies et malgré la décrépitude avancée
des services publics : hôpitaux, écoles et lysées, Universités et centres
de recherche, routes, infrastructures, égouts, j’en passe et des pires….
Depuis la destruction de l’Etat en 2011, et son remplacement par
les voleurs « d’Allah et de son Prophète », la Tunisie est
devenue le Tunistan, un pays du quart-monde plus proche du Baloutchistan que de
l’Europe voisine.
L’écrivain et philosophe Joseph de MAISTRE
(1753-1821), a dit :
« Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. ».
On peut traduire cela par le proverbe populaire
tunisien :
« Lorsqu’on
chevauche un âne, on doit supporter ses pets »
Les Tunisiens, dans leur totalité, déplorables
ou non, ayant élu des ânes, ils doivent, sans se plaindre, respirer leurs émanations nauséabondes et
boire le calice jusqu’à la lie.
ANNEXE
” Il n’y a pas que le
blé cancérigène, je détient plusieurs autres dossiers et je n’ai pas été
protégée par le ministère de l’intérieur” a affirmé la responsable soulignant
qu’elle a subi des agressions après avoir dévoilé les dépassements et les
soupçons de corruption ayant accompagné cette affaire de blé contaminé.
Mme Mahmoudi (vidéo) a ajouté
que le blé arrivé, à la date du 25 août 2019, au port de Sousse a été stocké
dans l’entrepôt n° 3, qui n’est pas conforme au normes sanitaires. Ce blé, en
provenance de l’Ukraine a été mélangé avec d’autres blés dans les
entrepôts n°1 et 2. A cet effet, Mme Mahmoudi a précisé avoir
détecté de l’eau moisie provenant de la cargaison soulignant son étonnement de
l’indulgence de la direction du port et les services de l’agriculture et
de la santé.
Dans ce contexte, la
responsable a mis l’accent sur la mort suspectes de trois
étrangers au port de Sousse aux dates du 27,29 juin et 1er août, la perte
de plusieurs personnes dans les eaux territoriales, la découverte
de dossiers falsifiés ainsi que la pertes des archives.
Hannibal
GENSÉRIC
plus grave encore l'Algérie avait importé du lait pour bébés contaminé par Tchernobyl et c'est une ONG allemande qui avait alerté les algériens sur cet abominable crime
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