Depuis
quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu
partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement
devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que
l’on peut observer.
Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre
de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant
chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser
concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.
Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une
élucubration ?
Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet
d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève
à minima et au préalable trois questions importantes :
- Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte
de vaccination ?
- Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent
cet effet ?
- Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de
vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?
Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des
membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des
questions démographiques et sociologiques.
Présentation des paramètres de l’enquête
À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :
- D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
- Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100
individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à
des fins de comparaison.
- Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
- Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en
raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les
individus inactifs.
- Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route
d’Arlon à Strassen.
- Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le
nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections,
l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville
du lieu de résidence de la personne interrogée.
NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de
praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des
vêtements sans manches seraient interrogées.
Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête
L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis
présente l’enquête :
« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de
vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European
Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête
statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non
vaccinées vivant au Luxembourg » …
« Il s’agit d’une enquête qui
porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter
des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est
bien la réalité observée ».
L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en
connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.
« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et
est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».
L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête
et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant
qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture,
etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent
pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des
informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une
attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se
prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle,
a été injectée.
Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande
alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si
l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale
(implant, effet de l’injection, etc).
L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se
laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque
Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations
avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les
gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du
possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et
aux résultats de l’enquête.
Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1erjuin au 5 juin 2021
Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement
été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier
groupe et 100 pour le second.
La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe,
il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de
personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience
s’arrête donc là pour ce groupe.
Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29
présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur
peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.
NB : La 30ème personne, qui ne présente pas
d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes
les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle
travaille depuis de nombreuses années.
Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et
uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont
reçu qu’une seule injection.
Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux
épaules.
Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il
ressort que :
17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un
des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des
émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a
même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux
environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le
testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis
fin à sa participation sous l’effet de la panique.
Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29
résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à
Strassen.
Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le
programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques
que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus
vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce
dernier constat.
Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour
les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant
sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si
l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des
jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux
et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.
Conclusion
Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ
électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils
dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève
uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de
l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus
précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup
plus précis.
Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter
au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils
voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un
premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux
deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être
complètement sous le choc.
Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est
possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci
adhère à un poteau métallique.
Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il
doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés
vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de
compréhension.
Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais
qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle
travaille au contact de la clientèle.
Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des
raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la
maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de
pouvoir à nouveau voyager librement.
Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après
coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial.
Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun
moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention
d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance
bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des
fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et
discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou
encore même de chantage ».
Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages
et les notes.
Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus
approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à
accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer
toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les
vaccinés pour ensuite les analyser.
L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car
l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens
dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés
d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie
par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur
ce qui leur arrive.
Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main
vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas.
Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les
hanches ou sur les cuisses.
Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états
d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.
Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont
révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont
sans doute commis l’irréparable.
L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.
En résumé :
A la question, est-il vrai que les gens présentent un effet
d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La
réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien
électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet
effet ?
Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la
santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question
car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de
« vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de
« vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais
cliniques, tous les hamsters sont morts.
Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il
est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads)
sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou
pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient
réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une
mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et
aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur
le marché de ces injections.
C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la
responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets
d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques,
garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement
l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et
réelle de ces dits vaccins.
PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à
consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :
http://www.chemicell.com/
s://www.acrobiosystems.com/
https://bioperoxil.u-bourgogne.fr/images/stories/pdf/2018_03_30_Conf_Nano_Club_Condorcet.pdf
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés? Expérience
et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.
Par European Forum for Vaccine Vigilance − Le 6 juin 2021 −
Source Le Blog de Liliane Held-Khawan
Voir, "Vaccines Deliver Graphene Oxide Nanotubes for 5G Mind Control " @ https://www.henrymakow.com/
RépondreSupprimerEt en français @ https://henrymakow.wordpress.com/
Ça crains !!! les vaccinés sont devenus une nouvelle race humaine breveté par leurs nouveaux dieux
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