Le casting des phallocrates juifs d'Hollywood

Bien avant qu'Harvey Weinstein ne souille la réputation des « hommes blancs », les Juifs d'Hollywood en position de pouvoir utilisaient froidement les femmes comme réceptacles sexuels. Ils ont ruiné la vie d'innombrables filles et femmes qui ont refusé ou riposté, et ils ont émotionnellement endommagé celles qui se sont soumises par peur ou par un moment de faiblesse. Les cyniques et les ambitieux ont formé une relation symbiotique malade avec leurs agresseurs.

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'Je les ai tous rencontrés. Certains étaient vicieux et tordus. — Marilyn Monroe (1926-1962)

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Upton Sinclair a fait remarquer un jour : " Les commerçants juifs vendaient des filles chrétiennes à des fins de concubinage et de prostitution, et aujourd'hui encore, ils déploient la même activité dans le même domaine au sud de la Californie où je vis."

F. Scott Fitzgerald a résumé la scène hollywoodienne de son époque : « Une fête juive, une tragédie des Gentils » (Gabler, 2).

Billy Wilder (centre)

Dans les années 1940, le romancier Raymond Chandler était à Hollywood, et il était chargé de travailler avec l'écrivain et réalisateur juif Billy Wilder. Chandler était consterné par la façon dont l'homme marié «bavardait» constamment et ouvertement avec de jeunes starlettes avec lesquelles il avait d'innombrables rendez-vous sexuels, les considérant évidemment comme un simple divertissement et simplement son «dû» d'être un homme de sa position (ou comme un des « élus »).

Chandler a dit qu'il était dégoûté par l'élite juive d'Hollywood et a écrit plus tard à un ami : " Los Angeles n'a plus rien pour moi. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'un Gentil ne doive porter un brassard  jaune là-bas."

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Lorsque l'enfant star Shirley Temple avait 11 ans, on lui a demandé de venir - seule - dans le bureau du producteur de films juif Arthur Freed pour "parler de ses prochains films". Temple était déjà l'une des stars les plus populaires d'Hollywood. Elle n'avait même pas l'âge de comprendre le sens du terme « canapé de casting », et elle n'avait pas non plus particulièrement besoin des faveurs de Freed. Mais Freed ne pouvait tout simplement pas se retenir.

Selon Temple elle-même, Freed n'avait prononcé que quelques phrases sur ses films lorsqu'il s'est soudain exclamé : « J'ai quelque chose fait pour toi », tout en baissant son pantalon. Alors qu'il s'exhibait devant elle, il proclama : "Tu seras ma nouvelle star !"

Shirley Temple (1928-2010)

Temple était protégée par sa très réelle innocence face à de telles choses et ne pouvait que rire. Son rire enragea Freed au point d'oublier son désir malsain. Temple a déclaré que Freed lui avait crié: "Sortez!". Inconscient de son désarroi, il désignant impérieusement la porte fermée, "Allez-y,  sortez !"' ( Wall Street Journal )

Harry Cohn (1891 -1958), le fondateur de Columbia Pictures Corporation, faisait partie de la mogulocratie juive d'Europe de l'Est venue de nulle part. Cohn était un tyran. Son tempérament sexuel était son outil de prédilection pour arriver à ses fins. Des appareils d'écoute dans tout son studio l'ont aidé à écouter ses subordonnés et un système de sonorisation lui a permis de faire sauter quiconque l'ennuyait.

Cohn a rempli ses étagères de bas de soie et de parfums coûteux. Il a contribué à enraciner le système [d'agression/exploitation sexuelle] dans l'industrie cinématographique pendant quatre décennies dans le cinéma. Dès le début, Cohn a utilisé son agressivité pour exercer un contrôle sur les stars féminines. Non seulement il les obligeait à changer de nom et d'apparence, mais il les obligeait régulièrement à troquer le sexe contre un emploi, puis les scrutait et même les espionnait. Il a exigé sans relâche que l'actrice Rita Hayworth couche avec lui, a mis ses loges sur écoute et lui a imposé des sanctions financières pour insubordination [lorsqu'elle ne voulait pas coucher].

Selon les  mots  d'EJ Fleming - dont le livre "The Fixers" s'est concentré sur la façon dont les studios hollywoodiens contrôlaient les images de leurs stars - Cohn "a violé verbalement ou physiquement toutes les femmes qui ont travaillé pour son studio".

Harry Cohn avec Rita Hayworth et Anita Louise, 1946. 

Au début de la carrière de Marilyn Monroe en tant qu'actrice en difficulté, le chef juif de Columbia, Harry Cohn, l'a invitée à une croisière d'une nuit sur son yacht. Monroe a dû se déshabiller pour Cohn dans son bureau. Alors qu'elle se penchait, à sa demande, il s'approcha d'elle, pénis à la main. Quand elle a refusé ses avances, a déclaré Monroe, "je n'avais jamais vu un homme aussi en colère" (Jordan, 91; Wolfe, 211-212). Cohn l'a alors « bannie de Columbia lorsqu'elle a refusé de l'accompagner sur un yacht jusqu'à l'île de Catalina » (Leaming, 8 ans).

« Vous savez », a dit un jour Monroe, « que lorsqu'un producteur appelle une actrice dans son bureau pour discuter d'un scénario qui n'est pas tout ce qu'il a en tête… J'ai couché avec des producteurs. Je serais une menteuse si je disais que non » (Summers, 34-35). En 1955, la 20th Century Fox a attribué à Monroe le contrat par film le plus riche de toutes les actrices. "Cela signifie," remarqua Monroe, "que je n'aurai plus jamais à sucer une autre bite juive!" (McDougal, 217). [1]

« En 1953 », rapporte Ted Jordan, « Monroe pouvait être violemment « antisémite » (un sentiment qui grandit avec l'âge). [2] À ma grande gêne, elle se référait parfois à Joe Schenck, le magnat [et un autre prédateur sexuel], comme « cette merde juive » et à d'autres personnalités d'Hollywood comme « juif » ceci ou cela. Parfois, je devais lui rappeler que j'étais à moitié juif » (Jordan, 188).

Louis B. Mayer et l'enfant actrice Judy Garland

Le phallocrate juif Louis B. Mayer (1885-1957), qui a cofondé les studios Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) en 1924, était le point de départ (ground zero) de ce type d'abus. Il avait les moyens, le motif, l'opportunité et cette pièce essentielle du puzzle : le fouet. Si les femmes ne se conformaient pas à ses désirs, il menaçait de ruiner leur carrière et celle de leurs proches, selon le magazine Variety.

Cari Beauchamp, auteur de "Sans se coucher: Francis Marion et les femmes puissantes du début d'Hollywood", a noté: "Mayer a poursuivi l'actrice Jean Howard dans la pièce. Quand elle a dit: «Pas question», et est partie et a épousé Charles K. Feldman,  Mayer a banni ce dernier définitivement de la MGM. Pendant longtemps après, il n'a permis à aucun des clients de Feldman de travailler à la MGM.

Mayer aurait également peloté l'adolescente Judy Garland, selon le livre de Gerald Clarke "Get Happy: The Life of Judy Garland", et aurait tenu des réunions avec la jeune femme assise sur ses genoux, ses mains sur sa poitrine.

Claudette Colbert a écrit que la seule star qu'elle connaissait qui n'avait pas réussi à passer par le canapé de casting était Bette Davis – et cela incluait elle-même. La plupart des biographies décrivent aujourd'hui Mayer comme un homme qui s'est "personnellement servi" de chaque  actrice qui a signé avec sa compagnie - des centaines d'entre elles.

Il a été affirmé que Sam Goldwyn (alias Samuel Goldfish) de la MGM n'était pas vraiment du même acabit, mais il s'est livré à des comportements analogues principalement pour suivre ses camarades phallocrates juifs.

Goldwyn: une biographie - A. Scott Berg

Jack Warner (alias Wonskolasor), la force motrice et le plus jeune des Bros – il y en avait six en tout – est universellement décrit comme un homme horrible. Le critique de cinéma et historien David Thomson, qui a écrit  "Warner Bros: The Making of An American Movie Studio" pour la série Yale Press Jewish Lives, a déclaré que Warner était "peut-être le plus gros salaud à avoir jamais participé à une série Jewish Lives".

Winter Watch Takeaway : Et ça veut dire quelque chose !

Regardez en arrière et faites gaffe à votre cul auprès de ce gars.

Chaque fois que le chef de studio Jack Warner arrivait à une soirée hollywoodienne étoilée, l'homme qu'ils appelaient "The Duke" (John Wayne) sortait avec colère.

À une occasion, lorsque Warner a finalement rattrapé Wayne, il a demandé innocemment: "Qu'est-ce qui s'est passé?"

"Tu m'as baisé !" a déclaré l'acteur endurci, selon le magazine d'information Express .

"Duke, je sais", a répondu Warner. "Mais cela serait arrivé de toute façon. Et nous sommes tes amis."

Tromper et exploiter ses stars est un mode de vie hollywoodien depuis plus d'un siècle, mais peu de studios ont adopté cette philosophie sadique plus que Warner Bros.

En 1956, alors que les films perdaient des bénéfices au profit de la télévision, Jack a même dupé ses propres frères, les persuadant de vendre 90% de leurs actions à un investisseur, puis concluait un accord secret pour racheter les actions et se faire président du studio.

4 janvier 2023
Par Thomas Muller 

NOTES de H. Genséric

[1] Marilyn Monroe et "ses juifs" de Hollywood

En 1955, la 20th Century Fox a décerné à Monroe le contrat par film le plus cher de toutes les actrices. La réaction de Marylin Monroe a été de dire : "Cela signifie je n'aurai plus jamais à sucer d’autres bites juives!"
Marilyn Monroe est un témoignage et un rappel que certaines actrices ont  commercé avec leur  sexe pour réussir, car elles n'avaient pas le choix.
On constate cependant que c'est avec dégoût que Marilyn a reconnu ce fait. 
La liste des actrices qui refusent à se plier à ce chantage sexuel est longue, et nous en donnons, à titre d'exemple, celles qui ont été victimes de Harvey Weinstein et qui ont le courage de le dire. Il est quasi certain que les victimes qui se taisent sont infiniment plus nombreuses. H.G.
Plus d'infos »

[2] Plus on est éduqué et intelligent, plus on est antisémite !
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Hannibal Genséric