samedi 27 janvier 2024

Enfin un génocide "respectueux du droit international"

La fameuse Cour Internationale de Justice de l’ONU à La Haye (Pays-Bas) a rendu son avis sur le génocide en cours opéré par les israéliens sur les palestiniens.
Voici plus bas trois photographie tirées d’un article des sites mondialisation.ca et consortiumnews.com, daté de ce jour, relatant la décision de la fameuse Cour Internationale de Justice (CIJ) de l’ONU siégeant à La Haye (Pays-Bas), qui avait à statuer sur la saisie par l’Afrique du Sud, demandant que l’état d’Israël prenne des mesures pour arrêter le génocide en cours que cet état est en train de commettre sur le peuple palestinien dont Israël occupe l’espace vital et ancestral depuis environ 75 ans.

Environ 2 millions et demi de palestiniens sont en voie d’élimination rapide par divers procédés, la phase finale accélérée de leur élimination a commencé le 7 octobre 2023 et ne connaît aucun répit.

Loin de s’opposer concrètement à cette élimination, la CIJ a ordonné que l’État d’Israël prenne une série de mesures pour ne pas commettre des crimes de guerre, et que cet état lui remette un rapport d’ici un mois sur ces mesures prises.

La belle affaire que voilà ! C’est comme si on demandait à un assassin en train d’étrangler sa victime, de remettre un rapport le mois suivant dans lequel il explique ce qu’il fait pour préserver sa victime.

Et dans un mois, il y aura sans doute un débat très docte sur le contenu de ce rapport, et l’interprétation à donner aux diverses mesures et évaluations de leurs applications sur le terrain, et pourquoi pas, la cour ordonnera de réaliser un nouveau rapport à remettre le mois suivant afin de suivre les progrès faits dans ces mesures et leurs applications, et ce qu’il faudrait pour les améliorer, et ainsi de suite, jusqu’au terme du génocide.

Voilà le résultat concret du droit international en l’état, c’est à dire contrôlé par le bloc judéo-occidental, qui saute maintenant aux yeux du monde entier.

Il s’agit de faire accompagner un génocide en cours jusqu’à son accomplissement total, par une façade de droit, constituée en papier et en mots, présentée par des pantins minables en robes noires avec des bavettes en dentelle blanche descendant de leurs cous. Ils leurs manquent les gamelles bien grasses disposées devant eux sur la table devant laquelle ils siègent, en bon chiens obéissants qu’ils sont.

Que voulez-vous que le hors-judéo-Occident tire comme conclusion autre qu’il faut mettre en place d’urgence une union internationale séparée de l’ONU, qui concernera tous les peuples sauf ceux sous l'emprise du judéo-Occident.

Je propose de baptiser cette nouvelle organisation internationale, l’Organisation Internationale des Nations Libres – OINL, en anglais International Organization of Free Nations – IOFN.

La planète va se fracturer en deux, le judéo-Occident, qui représentera environ 10 % numériquement parlant de l’Humanité, et le hors-judéo-Occident, représentant environ 90 % de l’Humanité.

Au sein du judéo-Occident régnera le non-droit, la barbarie, le mensonge, la décadence et la dépravation, dans le hors-judéo-Occident, régnera le droit et la civilisation.

Cette décision de la pseudo Cour de Justice Internationale va faire précipiter la disparition du judéo-Occident, peut-être d’un facteur de deux ou de trois, c’est à dire que s'il restait encore une cinquantaine d’années de survie au judéo-Occident, il n’en reste plus maintenant que 25 voire une dizaine.

Et ce n’est pas fini, si cette fameuse « cour de justice » s’enfonce encore plus dans l’abjection, ce qui est bien possible et même très probable vue son fameux départ, on peut prendre les paris, la durée de vie du judéo-Occident s’en trouvera encore plus rétrécie.

Trois vues de la façade actuelle de simulacre du droit international :

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 


 

https://www.mondialisation.ca/la-cij-nordonne-pas-de-cessez-le-feu-a-gaza-pour-mettre-fin-au-genocide/5685665?doing_wp_cron=1706283550.3030691146850585937500

https://consortiumnews.com/2024/01/25/watch-world-court-ruling-on-israel-genocide-case/

La CIJ n’ordonne pas de cessez-le-feu à Gaza pour mettre fin au génocide

Par Joe Lauria

Mondialisation.ca, 26 janvier 2024

Consortium News

La décision de la Cour ne va pas au-delà des requêtes des USA à Israël concernant le massacre de civils, bien loin de répondre aux demandes de l'Afrique du Sud. Le jugement prendra des années.

La décision de la Cour ne va pas au-delà de ce que les USA ont publiquement déclaré à Israël, bien loin de répondre aux demandes de l’Afrique du Sud. Le jugement prendra des années.

La Cour Internationale de Justice a statué que l’armée israélienne ne doit pas commettre d’actes interdits par l’article 2 de la Convention sur le génocide, mais s’est abstenue d’ordonner à Israël de cesser son opération militaire à Gaza.

La Cour mondiale a statué vendredi que l’armée israélienne doit s’assurer qu’elle ne commet pas d’actes à Gaza en violation de l’article 2 de la Convention sur le génocide. Israël doit également poursuivre en justice les Israéliens qui ont fait des déclarations d’intention génocidaire. Israël doit rendre compte à la Cour des mesures qu’il prend pour exécuter les ordonnances.

La décision de la Cour ne va guère au-delà de ce que les États-Unis ont publiquement déclaré au sujet de la conduite d’Israël, à savoir qu’il ne doit pas commettre d’actes assimilables à des crimes de guerre. Les États-Unis ne sont pas allés jusqu’à dire à Israël de ne pas commettre de génocide, mais l’action de la Cour est loin de répondre aux demandes de l’Afrique du Sud et d’une grande partie du monde.

La Cour a déclaré que l’Afrique du Sud avait avancé des arguments plausibles, au moins dans certains cas, dans sa requête de mesures conservatoires visant à mettre fin à ce qu’elle considère comme un génocide en cours d’Israël contre les Palestiniens de Gaza. Mais les mesures conservatoires demandées par l’Afrique du Sud – à savoir l’arrêt des massacres – ont été refusées.

La Cour a établi qu’il existait un différend entre Israël et l’Afrique du Sud pour lui donner compétence. La Cour a également présenté une série d’éléments de preuve attestant qu’il existe des preuves accablantes qu’Israël commet vraisemblablement un génocide et que la Cour autoriserait la poursuite de l’affaire, dont le jugement prendra des années.

Naledi Pandor, ministre sud-africaine des affaires étrangères, a tenté de donner une tournure positive aux décisions de la Cour en s’adressant aux journalistes à l’extérieur du Palais de justice de La Haye. “Je suis satisfaite que notre requête de mesures conservatoires ait été prise en compte”, a-t-elle déclaré.

Mme Pandor s’est dite déçue que le terme “suspension” des hostilités n’ait pas été inclus dans les ordonnances de la Cour, mais elle a ajouté que pour exécuter les ordonnances visant à fournir des services humanitaires à Gaza, Israël devait mettre fin à ses opérations militaires.

“Pour appliquer la décision du tribunal, je pense qu’il faudrait un cessez-le-feu”, a déclaré Mme Pandor. Elle a toutefois ajouté : “Je ne dirai en aucun cas que je suis déçue” par la décision de la Cour. “Je l’avais espéré [une injonction au cessez-le-feu], mais pour exécuter les mesures du tribunal, il s’impose”.

Mme Pandor a déclaré qu’elle jugeait “très significatif” le fait qu’Israël doive faire rapport à la Cour internationale de justice dans un mois pour indiquer comment il empêche ses troupes de commettre un génocide. Il ne semble pas y avoir de procédure permettant à la Cour d’agir si elle n’est pas satisfaite du rapport d’Israël selon lequel ce dernier respecte l’ordre de faire tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le génocide.

Les directives de la Cour n’étant guère plus que des déclarations publiques des États-Unis, Washington devrait se réjouir de la décision prise ce vendredi.

La majeure partie de la déclaration de 40 minutes lue par la juge Joan Donahue, présidente américaine de la Cour, a été consacrée à une énumération de preuves qui semblaient provenir directement de la plainte de l’Afrique du Sud.

Elle s’est largement appuyée sur les déclarations de hauts fonctionnaires de l’ONU, dont le secrétaire général et de hauts responsables de l’aide, pour dresser le tableau de toute l’abomination de ces agissements imposés à la population de Gaza. Elle a également lu dans le dossier des déclarations claires d’intention génocidaire du ministre israélien de la défense et du président israélien.

Israël affirme depuis le début et l’a clairement déclaré dans sa plaidoirie devant la Cour le 12 novembre qu’il fournit une aide humanitaire et qu’il s’efforce avec le plus grand soin d’éviter les victimes civiles. On peut s’attendre à ce que le rapport d’un mois d’Israël répète des déclarations similaires, qui ont déjà été réfutées par les fonctionnaires de l’ONU, y compris le secrétaire général.

BREAKING: BENJAMIN NETANYAHU OFFICIAL STATEMENT ON ICJ RULING

“Israel’s commitment to international law is unshakable. Equally unshakable is our sacred commitment to continue to defend our country and protect our people.

Like any country, Israel has an inherent right to defend… pic.twitter.com/yRsMyGFALj

— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) January 26, 2024

https://x.com/ShaykhSulaiman/status/1750876702060790006

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyah, décrit par Al Jazeera comme étant satisfait du résultat, s’est rendu sur Twitter pour dénoncer tous ceux qui ont osé suggérer qu’Israël aurait pu commettre ce que l’on nomme un génocide.

(Le compte-rendu est en cours de traitement. Merci de consulter cette page pour la mise à jour.)

Par Michel Dakar
le 26 janvier 2024, Villequier, France

Source : http://the-key-and-the-bridge.net/un-genocide-dans-le-respect-du-droit-international.html

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La Cour Internationale de Justice dénonce le génocide israélien contre Gaza

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La CIJ a rendu sa décision sur la plainte de l'Afrique du Sud pour génocide contre Israël, et il s'agit d'un acte d'accusation accablant pour les violences commises par Israël à Gaza.  La CIJ a notamment exigé qu'Israël 1) prenne des mesures pour mettre fin à toute violence génocidaire à Gaza, 2) empêche et punisse l'incitation au génocide par ses dirigeants, et 3) permette l'acheminement de l'aide humanitaire à Gaza. Bien que la CIJ n'ait pas exigé de cessez-le-feu, le ministre sud-africain des affaires étrangères a affirmé que "par implication, un cessez-le-feu doit avoir lieu". Chaque mesure a été approuvée par une large majorité des juges de la CIJ, jamais moins de 15-2. Lire la déclaration de CJPME ici.

Joignez-vous à CJPMO et insistez pour que le Canada soutienne la décision juridiquement contraignante de la Cour ! Entre autres choses, le Canada devrait 1) condamner fermement la violence génocidaire d'Israël à Gaza ; 2) faire pression sur Israël pour qu'il se conforme pleinement aux dispositions d'urgence de la CIJ ; 3) mettre fin à tout commerce d'armes entre le Canada et Israël, et 4) réévaluer la position diplomatique du Canada à l'égard d'Israël.

Cliquez ici pour dire au Canada de respecter la décision monumentale de la CIJ ! Votre courriel sera envoyé au Premier ministre Trudeau, à la ministre des Affaires étrangères Joly, à d'autres dirigeants fédéraux et à votre député local. Le Canada doit soutenir l'importante décision de la CIJ de mettre fin à la violence génocidaire contre les Palestiniens de Gaza !

Le vendredi 26 janvier 2024, la Cour internationale de justice (CIJ) a rendu un arrêt préliminaire selon lequel les actions d'Israël à Gaza pourraient plausiblement relever de la Convention sur le génocide, et a ordonné à Israël de se conformer à des mesures provisoires qui limiteraient ses actions génocidaires. La CIJ exige qu'Israël : prenne toutes les mesures nécessaires pour empêcher la commission d'actes de génocide (y compris le meurtre de membres du groupe et l'imposition de conditions de vie visant à détruire le groupe), qu'il veille à ce que ses forces militaires ne commettent pas d'actes de génocide, qu'il empêche et punisse l'incitation directe et publique à commettre un génocide et qu'il permette l'acheminement de l'aide humanitaire, parmi d'autres mesures.

Il s'agit de la première étape d'une procédure engagée par l'Afrique du Sud, qui a invoqué la convention des Nations unies pour la prévention et la répression du crime de génocide ("convention sur le génocide") pour engager une procédure contre Israël, un autre État partie, sur la base de ses obligations en matière de prévention et de répression du génocide. La requête de 84 pages déposée par l'Afrique du Sud auprès de la CIJ repose sur deux graves allégations : premièrement, Israël « n'a pas empêché le génocide et n'a pas poursuivi l'incitation directe et publique au génocide » ; deuxièmement, « Israël s'est livré, se livre et risque de continuer à se livrer à des actes génocidaires contre le peuple palestinien à Gaza ». Ces actes consistent notamment à tuer des Palestiniens de Gaza, à leur causer de graves dommages corporels et mentaux et à leur infliger des conditions de vie calculées pour entraîner leur destruction physique. Ces actes seraient « de nature génocidaire parce qu'ils visent à provoquer la destruction d'une partie substantielle du groupe national, racial et ethnique palestinien, à savoir la partie du groupe palestinien de la bande de Gaza ».

Bien qu'il faille attendre des années avant qu'un jugement définitif soit rendu sur le bien-fondé de l'accusation de génocide, l'Afrique du Sud demande, « de toute urgence », une série de mesures provisoires qui s'appliqueraient immédiatement et s'étendraient sur toute la durée du procès. Ces mesures comprennent la suspension immédiate des opérations militaires d'Israël contre Gaza, la fin des déplacements massifs de la population de Gaza par Israël et la fin de la privation par Israël de nourriture, d'eau et d'autres fournitures essentielles à cette population. Bien que la CIJ n'ait pas appelé à un cessez-le-feu total, elle a ordonné d'importantes restrictions à la campagne génocidaire d'Israël contre la population de Gaza, que CJPME estime ne pas pouvoir raisonnablement respecter sans un cessez-le-feu total et la fin de l'effusion de sang.

En tant qu'État partie à la Convention sur le génocide, le Canada peut intervenir dans la procédure en tant qu'État partie pour soutenir l'Afrique du Sud, que ce soit maintenant ou au cours d'une éventuelle procédure sur le fond. La semaine dernière, CJPMO a envoyé une lettre à la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, pour demander au Canada de peser de tout son poids sur la requête de l'Afrique du Sud contre Israël et d'adresser à la CIJ une demande officielle exprimant son soutien.

CJPMO insiste sur le fait que le Canada doit maintenant prendre position en faveur de la décision de la Cour, après des semaines de déclarations confuses et contradictoires. Le soutien à la décision peut et doit prendre la forme 1) d'une condamnation publique ferme de la violence brutale d'Israël contre les Palestiniens de Gaza ; 2) de pressions sur Israël pour qu'il se conforme pleinement aux dispositions d'urgence de la CIJ ; 3) d'un arrêt de tout commerce d'armes entre le Canada et Israël et d'un examen formel de la coopération du Canada avec Israël en matière de sécurité, et 4) d'une réévaluation stricte de la position diplomatique du Canada vis-à-vis d'Israël pour s'assurer que le Canada n'est pas complice d'un génocide ou n'en permet pas l'exécution.

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5 commentaires:

  1. le poulpe élu du diable....les suppôts de satan seront anéantis

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  2. Vraiment ? pas de cesser de feux ? donc c'est encore pire, est-ce que j'aurai mal compris ? n'est-ce pas une autorisation de poursuivre un génocide de tout les palestiniens ? devant le monde entier, cette cour n'est plus légitime, on leur demande simplement d'écrire un rapport, de plus ce régime meurtrier, va passer une loi pour exécuter tout les palestiniens qu'ils enferment illégalement en prison, ils sont fous. Ce sont les occupants des USA qui doivent être arrêté immédiatement, avec camisole de force, fermé toutes les bases étasuniennes, et leurs laboratoires, le monde entier sera en paix, mais ne pas oublier les fous sionistes révisionnistes.

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  3. Le prévenu est autorisé à voter "en son âme et conscience" !

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  4. est ce qu il fallait s attendre a autre chose ? les juifs de ce tribunal ou le lobby juif qui controle ce tribunal participe au jugement. il est donc temps de décreter que juif est une nationalité et non une religion, donc leur interdire l accès aux poste politique et judicaire, pour éviter de se retrouver avec des criminels qui soient juges et partis

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  5. Tout les débats et condamnations dans les réunions durant plusieurs jours avaient élaborées plusieurs sujets relatives au génocide barbare israélien sur gaza ,sauf l'essentiel qui a été non exposé dans cette cour ,
    L'arrêt immédiat du massacre ,et l'imposition d'un cessez le feu ...ce qui démontre une certaine complicité des juges ou pression exercée par tel aviv

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