Gaza, Donbass, Syrie : les génocides commis par les sioniste, les nazi et les djihadiste sont l’ARME géopolitique des États-Unis et de l’OTAN

Hier encore, à la veille du jour où la Cour internationale de La Haye est appelée à répondre à l'accusation de génocide lancée contre Israël par l'Afrique du Sud, le secrétaire d'État américain Antony Blinken l'a qualifiée de « sans fondement », révélant son soutien indéfectible au massacre par Israël, CERTIFIÉ par les bombardements aveugles d'hôpitaux et d'églises à Gaza.

Nous écrivons sans attendre le début du processus qui devra avant tout traiter des « mesures conservatoires de suspension immédiate des opérations militaires israéliennes » réclamées d’urgence par l’action judiciaire sud-africaine également soutenue par la Turquie, la Bolivie et la Malaisie car, même en cas de condamnation rapide, aura une valeur plus symbolique et diplomatique que réelle, comme cela s'est produit avec les résolutions encore plus contraignantes de l'ONU contre l'occupation du plateau du Golan syrien par Israël, qui n'ont jamais été mises en œuvre, même partiellement.

Crimes de guerre en Syrie, dans le Donbass et à Gaza

En dénonçant « à chaud » le génocide perpétré par le régime sioniste dirigé par Netanyahu, nous avons rapporté l'accusation du président turc Recep Tayyip Erdogan et de divers parlementaires à son encontre d'être un Hitler contemporain sans noter que, certainement dans une moindre mesure en termes de victimes, les mercenaires djihadistes enrôlés par la Turquie parmi les terroristes de l’Etat islamique et d’Al-Qaïda libérés des prisons ont mené – et mènent – un acte similaire de nettoyage ethnique au Rojava, au nord-est de la Syrie, contre les Kurdes, les chrétiens, les tribus arabes et les musulmans chiites considérés comme des ennemis par les antagonistes sunnites qui inspirent le Jihad des extrémistes islamistes.

En réalité, cette analogie avec le Führer qui a créé les tristement célèbres SS correspond mieux au régime pro-nazi actuel de Kiev et au massacre de la population russophone perpétré par les néo-nazis du bataillon Azov qui depuis 2014 sont fièrement classée comme composante paramilitaire de la Garde nationale ukrainienne qui dépend directement du ministère de l'Intérieur du pays.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est un sioniste athée presque comme Netanyahu (qui sauve l’apparence de la religiosité mais ne démontre pas de dévotion concrète aux racines du judaïsme au point d’être détesté par les juifs orthodoxes) et aime certainement le juif George Soros qui a financé le coup d’État sanglant de 2014 pour évincer de Kiev le gouvernement pro-russe du président légitimement élu Viktor Ianoukovitch.

Le président russe Vladimir Poutine s’est dit « naïf » au cours des premières années de son mandat quant aux intentions des pays occidentaux, qui visaient la « désintégration » de la Russie comme cela s’est produit avec l’URSS. Dans une interview à la chaîne de télévision Rossiya-1 rapportée par Tass, il a affirmé que l'ancien conseiller américain à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski (administration du président Carter, NDLR) "avait un plan pour diviser la Russie en cinq parties et exploiter ses ressources".

Poutine a également fait preuve de la même naïveté en adhérant au projet de réduction des armes chimiques et bactériologiques mortelles de la DTRA (Defense Threat Reduction Agency) du Pentagone, en vertu duquel, en 2012, le ministère américain de la Défense a plutôt financé les 12 laboratoires biologiques en Ukraine pour la recherche sur virus pathogènes dans lesquels le Covid-19 a également été étudié trois mois avant que la pathologie provoquée par le SRAS-Cov-2 ne fasse son apparition et ne devienne pandémique.

Pas seulement.

Dans le célèbre discours du 22 février 2022, lorsque le président russe a annoncé l'Opération Militaire Spéciale pour la dénazification et la démilitarisation de l'Ukraine, il a ajouté qu'il avait commis une erreur en ayant été trop patient face au massacre de la population russophone des républiques séparatistes du Donbass, riches en gaz et en pétrole pour l'extraction desquels la société énergétique Burisma possédait déjà des licences, dont Hunter Biden (fils de Joseph Biden, alors vice-président, aujourd'hui président des États-Unis), est devenu administrateur.

L'ascendance ashkénaze de Zelensky en fait presque un oxymore de le qualifier de néo-nazi si ce n'était du fait que même Adolph Hitler lui-même, selon des universitaires faisant autorité, les aurait eus et aurait déclenché l'holocauste « fratricide » des Juifs grâce à l'aide financière des Rockefeller, pour la stratégie internationale cachée visant à légitimer le mouvement sioniste visant à créer un État d'Israël en Palestine. Les plans secrets de génocide apparus ces dernières semaines ont conforté encore davantage cette terrible hypothèse…

Le génocide comme « nouvelle » arme de la géopolitique américano-OTAN

En résumant diverses enquêtes dans ces lignes, nous avons donc vu, de manière hâtive et certainement non exhaustive sur l'extermination opérée avec la Shoah, comment le génocide est devenu et l'est encore plus au troisième millénaire une nouvelle arme militaire et géopolitique de l'OTAN qui directement ou indirectement à travers les pays les plus puissants qui le conduisent (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Italie) ont légitimé, implicitement en Syrie et explicitement dans le Donbass et en Palestine, les massacres perpétrés depuis des années dans le but de procéder à un nettoyage ethnique mais aussi de défier des puissances telles que la Russie, la Chine, l’Inde, l’Iran et d’autres pays arabes.

Ce défi représente la tentative d’imposer une hégémonie géopolitique visant la dictature oligarchique du nouvel ordre mondial , telle que théorisée par Soros dans un article de 1993 sur l’évolution inévitable de l’Alliance atlantique.

L'adhésion à l'OTAN d'un pays comme la Finlande, où la croix gammée SS apparaît encore dans diverses structures militaires, et de la Suède, où les squelettes nazis sont bien cachés dans des armoires secrètes et ont été pendant des décennies un refuge pour de dangereux djihadistes, ne fait que compléter un processus déjà inquiétant.

L’ancien et le nouveau totalitarisme construits par la franc-maçonnerie

La franc-maçonnerie occidentale a été capable de construire l'ancien et le nouveau totalitarisme, qui se sont propagés comme une peste mortelle semblable au virus de laboratoire pandémique du SRAS-Cov-2, le nazisme (à partir d'une brève enquête historique en la matière), mais aussi le sionisme et les Frères musulmans sunnites, comme les différentes organisations djihadistes utilisées ouvertement par Erdogan et clandestinement par divers pays de l'OTAN (USA et Royaume-Uni grâce à la CIA et au britannique du MI6 ) depuis la guerre dans les Balkans.

Dans cette voie du révisionnisme historique, la stratégie de l'OTAN apparaît donc claire, ayant désormais complètement échappé au contrôle des pays qui la composent et finie entre les mains des marionnettes du Nouvel Ordre Mondial comme le secrétaire général Jens Stoltenberg, déjà un homme de confiance et collaborateur de Bill Gates dans le plan d'immunisation mondiale sur les vaccins de l'alliance GAVI présenté officiellement en 1999 au Centre des Congrès de la Fondation Rockefeller à Villa Serbelloni, Bellagio (Côme).

Cette vision mondialiste légitime le génocide comme une forme de conquête territoriale de pays géopolitiquement stratégiques en raison de leur position, comme les Balkans où la Serbie est la seule enclave pro-russe dans une zone à vocation atlantiste, ou pour leur richesse en matières premières, comme Donbass et Rojava, frontaliers du désert de Deir Ezzor où les États-Unis volent le pétrole syrien avec la complicité des groupes jihadistes et de la Turquie.

Nous avons déjà analysé le projet fou du « Grand Israël » avec lequel Netanyahu veut contrôler la bande de Gaza à travers un génocide qui a été confirmé par un plan militaire secret et par le ministre du parti religieux sioniste de son gouvernement.

Génocide de Gaza : les États-Unis contre le procès devant la Cour internationale

Malgré cela, les États-Unis, principal complice des sionistes au sein de l’OTAN, ont osé déclarer que le cas de « génocide » présenté par l’Afrique du Sud à la Cour internationale de Justice (CIJ) – actuellement en discussion – est « sans fondement », « exaspérant ». . Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que cette proposition détournait l’attention du monde des efforts de paix et de sécurité.

« De plus, l’accusation de génocide est sans fondement », a déclaré Blinken lors d’une conférence de presse à Tel Aviv, en Israël, où il a effectué sa quatrième tournée au Moyen-Orient depuis l’attaque du 7 octobre contre Israël par le groupe de résistance palestinienne, le Hamas.

Ces dernières heures, le chef de la diplomatie américaine a réitéré son soutien à Israël, mais a également souligné l'importance d'éviter de nouveaux dégâts aux civils et de protéger les infrastructures civiles à Gaza, où le bilan a atteint 23 210 morts.

« C’est particulièrement exaspérant étant donné que ceux qui attaquent Israël, le Hamas, le Hezbollah, les Houthis, ainsi que leur soutien à l’Iran, continuent d’appeler ouvertement à l’anéantissement d’Israël et au meurtre massif des Juifs. » a ajouté le juif israélien et secrétaire d’état des États-Unis Blinken.

Dans la soirée, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a expliqué lors d'un point de presse avec des journalistes que les États-Unis : « ne soutiennent pas un cessez-le-feu pour le moment. Et cela ne change rien, car nous pensons qu’à l’heure actuelle, cela ne profiterait à personne, sauf au Hamas.»

C'est la même rhétorique de ces Américains du Nouvel Ordre Mondial comme les Rockefeller qui ont indirectement financé l'holocauste hitlérien et qui depuis 1948 ont ignoré les crimes de guerre commis quotidiennement en Palestine par l'armée israélienne qui a également ciblé la Cisjordanie, bien que contrôlée par l'Autorité nationale palestinienne, et n'a pas de Hamas comme la bande de Gaza, et par les violations des droits de l'homme perpétrées par les colons sionistes qui volent leurs terres aux Arabes et aux chrétiens depuis des décennies à travers des persécutions et des meurtres intimidants.

Sans compter qu'un ancien responsable de la Central Intelligence Agency, Philip Giraldi, et un parlementaire américain ont affirmé à plusieurs reprises que le groupe Hamas était infiltré par le contre-espionnage israélien du Mossad. Ce dernier a été incapable d'empêcher l'attaque du 7 octobre bien qu'il ait été averti par les renseignements égyptiens, mais Hamas aurait été secrètement financé et armé par les États-Unis précisément pour déclencher les provocations nécessaires à la répression et au génocide sionistes.

Dans cette affaire également, il y a d'énormes intérêts économiques déjà mis en évidence dans l'enquête du journaliste d'investigation canadien Matthew Ehret en référence aux gisements de gaz off-shore de  Gaza, à quelques milles marins de la bande, sur lesquels nous préparons une enquête sensationnelle.

Le massacre du Donbass a été stoppé par la Russie qui a été contrainte d'en faire un terrible conflit international pour défendre les populations russophones et aujourd'hui les combats se poursuivent en raison du refus obstiné de toute trêve ou négociation de paix du président ukrainien Zelensky, serviteur de l'OTAN et de Satan, comme nous l'avons écrit dans le passé, pour la persécution des chrétiens orthodoxes fidèles au Patriarcat de Moscou, également condamnée par l'ONU.

Les journalistes occidentaux traditionnels complices du massacre de Gaza

Si le génocide à Gaza se poursuit avec un massacre terrifiant d'enfants innocents, ce n'est pas seulement la faute de la complicité des pays de l'OTAN mais aussi celle des grands journalistes occidentaux qui manipulent l'information de manière servile et schizophrène, attribuant à Netanyahu toutes les justifications pour exterminer des civils lors d’une invasion militaire d’un autre pays (la Palestine est un État reconnu par la plupart des pays de l’ONU) tout en condamnant fermement Poutine pour son intervention pour protéger le Donbass.

Ces derniers jours, la propagande pro-sioniste a atteint son apogée, mettant en avant une énième accusation imaginative du régime israélien relancée par des médias complices.

« Israël attaque l'UNRWA, l'agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens : ses employés qui ont participé aux attentats du Hamas le 7 octobre dernier, c'est la très grave accusation lancée par les services secrets de l'État juif, » – a écrit l'agence de presse italienne et internationale ANSA – A la veille de la réunion de la Cour de Justice de La Haye, avec Israël appelé par l'Afrique du Sud à répondre de « tentative de génocide à Gaza », la radio militaire a dénoncé que parmi les miliciens du Hamas responsables des massacres du 7 octobre « il y avait des employés ». de l’UNRWA ». La chaîne a cité des informations reçues du Shin Bet et d'autres indications selon lesquelles l'UNRWA, bien qu'elle soit considérée comme une organisation humanitaire, a coopéré à des « activités terroristes » ».

C’est la réponse du totalitarisme médiatique à la dénonciation par l’ONU du massacre de ses fonctionnaires, tués par les bombardements israéliens, des nouveau-nés des hôpitaux, des fidèles chrétiens cachés dans les églises et des journalistes (sur lesquels la Cour pénale internationale allait commencer à enquêter). Justement parce que leurs confrères désormais complices du Nouvel Ordre Mondial s’échinent à nier l’évidence.

Nous attendons aujourd’hui la décision de la Cour internationale de La Haye qui, quelle qu’elle soit, sera un simple acte diplomatique sans effet sur le génocide. Comme cela s’est produit dans le passé…

Par Fabio G. C. Carisio

- 12 janvier 2024