Ursula Von Der Leyen, surnommée par quelques mauvaises langues dont je fais partie « Cruella » Von der la hyène, la chef de meute d’une troupe terrible mangeant et dévorant tous les gentils moutons qui croyaient pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semblaient.
Non.
Pour la présidente de la grosse commission (de Bruxelles), le principal danger auquel nous sommes confrontés ce n’est pas le vilain Poutine (surnommé Palpoutine) ou la guerre en Ukraine.
Non.
Pour la Cruella de Bruxelles, le principal danger n’est pas le changement climatique (je ne vous dis pas qu’il faut avoir peur je vous dis néanmoins que l’on vous présente chaque jour le réchauffement climatique comme la cause de nos terribles souffrances à venir).
Non.
Le principal danger pour Cruella, c’est… la liberté de penser et de s'exprimer.
Elle ne le dit pas tout à fait ainsi, mais c’est exactement ce qu’elle explique quand même.
« Notre principal sujet de préoccupation pour les prochaines années n’est pas le conflit ou le climat, c’est la désinformation et la mauvaise information suivie de près par polarisation au sein de notre sociétés, ces risques sont sérieux parce qu’ils limitent notre capacité à nous attaquer aux grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés comme celui des changements climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques. »
Ce que dit la Cruella de la Commission est très logique à comprendre.
Elle ne fait aucune erreur.
Si vous voulez imposer des changements majeurs dans notre manière de vivre, liés à un changement majeur dans les politiques climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques que nous mènerons contre les peuples, il faut, pour que le peuple les accepte, contrôler très précisément ce qui peut-être dit, et donc pensé.
Le problème du concept fourre-tout de « disinformation et misinformation », c’est que l’on peut y mettre tout ce qui ne va pas dans le sens de la caste de Davos, ces 5.000 personnes qui dirigent le monde parce qu’elles en dirigent les 5.000 plus grandes entreprises, les 5 000 plus grandes multinationales.
La caste des hommes de Davos (et des femmes, la parité est totale dans la méchanceté), a besoin de contrôler ce que nous pensons et donc ce que nous pouvons dire.
C’est tout le sens du combat de la grosse commission de Bruxelles contre le réseau Twitter d’Elon Musk.
N’oubliez jamais.
On n’est pas un peu libre de la même que l’on n’est pas un peu enceinte.
On est libre ou on ne l’est pas.
La liberté est le régime général. L’interdiction toujours l’exception.
Pour la liberté d’expression cette citation attribuée à Voltaire (sans doute à tort) reste cruellement d’actualité.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
https://youtu.be/VXtVb4WWwUg : Le discours de Von der Lyen à Davos...cliquez
par Charles Sannat | 18 Jan 2024
Il serait temps d'arrêter Les dirigeants de cette secte
RépondreSupprimerCE SONT DES ANIMAUX ILS DESCENDENT DE ÇA D AILLEURS
RépondreSupprimerMonsieur Poutine,
RépondreSupprimertous les usurpateurs, les menteurs, les psychopathes et les criminels, se présentant comme les dirigeants mondiaux, se sont réunis à Davos.
Telle la bête, ils se sont assis sur le trône de la gouvernance du monde en espérant nous faire avaler qu'ils ont une qelconque capacité à diriger.
A l'image des démons, dont ils sont avec certitude affiliés, ils boivent le sang de leurs victimes planétaires.
Horrible jouissance en attendant la fournaise infernale qui les réduira à jamais au silence.
Qu'attendez-vous ? un seul coup pour les effacer tous !
Allez-vous faire comme certains... ? Reculer ?
La solution est simple, saisir tout leurs argent et biens pour les distribuer au pays les plus pauvres.
RépondreSupprimerOn leurs expliquera que c'est pour leurs bien et celui de la planète, vous n'aurai plus rien mais vous serez heureux.
Il faut le faire avec tous les milliardaires de la planète et tous les problèmes de ce monde auront disparu.
J'avais pas encore 6 ans quand j'ai compris que le gentil, c'était pas le cowboy. Ils peuvent censurer ce qu'ils veulent, il y aura toujours des emmerdeurs ( ref aux instits) pour poser les mauvaises questions.
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