Démystification en profondeur du MISSILE contre l'HÔPITAL pour enfants de KIEV ! Tous les indices accusent Zelensky

Russie : « L’Ukraine a commis un FAUX DRAPEAU pour aider l’OTAN ». La fusée qui a touché le quartier en question (mais pas l'établissement pour enfants) serait une KH-55 utilisée dans les pays de l'ex-URSS comme l’Ukraine.

 «Ne craignez donc pas ces gens-là ; rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu.. » – Évangile de saint Matthieu l'Apôtre (10,26)

«Les fils d’Israël ont établi des rois sans me consulter, ils ont nommé des princes sans mon accord ; avec leur argent et leur or, ils se sont fabriqué des idoles. Ils seront anéantis. Et puisqu'ils ont semé le vent, ils récolteront la tempête. »  Sainte Bible – Livre d’Osée (8, 4 et 7))

L'Ukraine, l'OTAN et tous les journalistes atlantistes des Grands Médias Menteurs accusent la Russie d'avoir frappé le plus important hôpital pédiatrique de Kiev, même si cela ne fait pas partie de la stratégie de guerre du président russe Vladimir Poutine qui, avec son arsenal de missiles hypersoniques, aurait déjà pu, s’il l’avait voulu, raser la capitale depuis au moins 2 ans ; mais il préfère sacrifier ses soldats plutôt que de décimer les civils ukrainiens…

Le ministère de la Défense russe rejette toutes les accusations, accusant les systèmes anti-aériens ukrainiens qui, comme dans d'autres occasions, ont fait tomber des débris mortels sur des habitations civiles.

Le bilan d’environ 38 attaques de missiles russes hier, 8 juillet 2024, contre diverses villes d’Ukraine s’élèverait à 41 personnes tuées et 200 blessées. C'est ce qu'a déclaré Andriy Yermak, chef de cabinet du président Volodymyr Zelensky, sur Telegram. Plus de 20 personnes sont mortes dans les attaques rien qu'à Kiev, selon le rapport du gouvernement non vérifié par des organismes internationaux et indépendants.

Mais, comme par miracle, seulement 2 se produiraient dans le complexe sanitaire. Même les reportages de la télévision nationale italienne, la RAI, sont contradictoires (comme nous l'expliquons dans les détails ci-dessous) et semblent vouloir créer une confusion intentionnelle entre le nombre total de décès à Kiev et ceux de l'hôpital pédiatrique actuel.

Au lieu de cela, 7 victimes ont été tuées à l'hôpital gynécologique situé dans une ancienne structure adjacente.

Russie : « FAUX-DRAPEAU de l’Ukraine en vue du sommet de l’Otan »

« Les allégations des responsables de Kiev concernant une frappe délibérée de missiles russes sur des cibles civiles sont absolument fausses. De nombreuses photos et vidéos de Kiev, qui ont été rendues publiques, montrent clairement que les dégâts ont été causés par la chute d'un missile de défense aérienne ukrainien lancé depuis un système de missile déployé dans les limites de la ville », a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

Selon le ministère, les forces armées russes ont mené une frappe de haute précision contre des sites de l'industrie de défense et des bases aériennes ukrainiennes en réponse aux tentatives de Kiev d'attaquer des installations énergétiques en Russie. Toutes les cibles désignées ont été touchées.

Le ministère russe de la Défense a souligné que « le régime de Kiev fait de telles crises depuis des années, chaque fois avant une réunion (sommet) de ses sponsors de l’OTAN ».

"Le but de telles provocations est d'assurer un nouvel afflux de fonds pour le régime de Kiev et la poursuite de la guerre jusqu'au dernier Ukrainien", ajoute le communiqué.

Une attaque FALSE-FLAG est une opération militaire agressive menée pour accuser l’adversaire. Les services de renseignement anglo- américains sont les maîtres en la matière, guidant les actions de Zelensky, après en avoir mené un false-flag sensationnel en Syrie en avril 2018, à Douma, après quoi l'ancien président américain Donald Trump a lancé une riposte de 100 missiles Tomahawk contre l'armée syrienne [1] , injustement blâmée.

Cette attaque chimique a plutôt été astucieusement organisée par des jihadistes d’Al-Qaïda avec la complicité présumée les soi-disant sauveteurs Casques blancs, commandés par un ancien officier du service de renseignement militaire britannique MI6 et financés par Washington et Londres.

Dans cette sinistre affaire, 35 civils ont été tués par le chlore gazeux, parmi lesquels des enfants qui ont été auparavant attachés à l'intérieur du bâtiment touché, comme le démontre le rapport d'un ingénieur de l'OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques de La Haye) qui a ensuite été censuré…

« Puisque la mise en scène de l’incident de Douma impliquait le massacre de civils, ceux de l’OIAC qui ont supprimé les preuves de cette mise en scène sont, sans le savoir ou non, de connivence avec des massacres. » C’est la terrible conclusion à laquelle sont parvenus certains professeurs d’université britanniques du Groupe de travail sur la Syrie, Propaganda and Media, une organisation internationale indépendante visant à faciliter la recherche de fausses nouvelles ou false flags.

La vidéo extraordinaire et mystérieuse du missile

Cette fois, cependant, Moscou serait démentie par une vidéo qui a fait le tour du monde dans laquelle il est clair qu'une roquette tombe dans la zone de l'établissement de santé, provoquant une grande explosion attribuée à un missile de croisière de fabrication russe comme le KH-101 , évolution du KH-55 de fabrication soviétique déjà fourni à l'URSS et donc à tous les pays de l’ex-Union soviétique comme l’Ukraine…

La fusée ressemble également beaucoup à la fusée antimissile AIM 120 AMRAAM du système de défense américain Nasams comme le rapporte l'analyste géopolitique et écrivain russe Nicolai Lilin sur X, mais nous expliquerons plus tard pourquoi il se trompe…

Vidéo

La première question importante concerne le film, dont il est difficile de contester l’authenticité.

Qui est le vidéo-amateur chanceux et magique qui a réussi à cadrer le ciel au moment même où arrivait un missile voyageant à environ 970 km/h (MACH 0,78), presque proche de la vitesse du son (1236,24 km/h) ? Seule une caméra vidéo sophistiquée, préalablement pointée vers le point exact, aurait pu capturer son arrivée et son impact.

Ergo… Qui à Kiev savait qu’un missile allait atterrir sur l’hôpital national spécialisé pour enfants « OHMATDYT » ?

Plusieurs FAKE-NEWS ukrainiennes sur les attaques russes contre des hôpitaux

En réalité, comme nous le démontrerons avec les images, le tout nouvel hôpital pédiatrique a été légèrement endommagé dans un pavillon du complexe de santé puisque la roquette a touché un ancien bâtiment en face qui ne semble pas faire partie du complexe du point de vue de la carte officielle de la clinique ; et par conséquent elle ne pouvait être utilisée ni pour une hospitalisation ni pour une thérapie, sinon les décès auraient été bien plus nombreux que les 20 déclarés en raison de l'explosion et de l'effondrement qui ont créé un tas de décombres.

Mais avant d’émettre l’hypothèse audacieuse que l’Ukraine a réellement frappé accidentellement ou, pire encore, délibérément ses propres civils avec une roquette, regardons les précédents faux drapeaux diffusés par le gouvernement de Kiev.

Il est étrange que depuis que le régime pro-nazi de Zelensky gouverne l’Ukraine, la location d’utérus pour la vente d’enfants et le marché clandestin d’organes humains soient devenus deux énormes affaires sous les yeux distraits ou complices de l’Alliance atlantique. [2]

Force est donc de constater que le président ukrainien est un personnage sans scrupules (supposé être un agent secret du renseignement britannique MI6 comme nous le verrons dans une prochaine enquête…) qui soutient par tous les moyens aussi bien les féroces paramilitaires néo-nazis du bataillon Azov que satanistes du pays, ainsi que les combattants étrangers qui ont récemment été accusés de graves crimes de guerre par… le  New York Times!!

Mais pourquoi un homme d’État risquerait-il de s’en prendre à un établissement de santé rempli d’enfants malades ?

Le coût d'un hôpital est d'environ un demi-milliard d'euros. Le sommet de l'OTAN prévu aujourd'hui, du 9 au 11 juillet à Washington, prévoit d'allouer jusqu'à 40 milliards d'euros d'aide militaire à l'Ukraine en 2025. Les mathématiques ne sont pas une opinion et, en temps de guerre, elles deviennent une occasion avide de construire une fausse propagande. Jetons un œil sur des cas précédents…

Laissons de côté l'étrange et suspect massacre de Bucha [3] et commençons par le faux attentat à la bombe contre un jardin d'enfants du Donbass le 19 février 2022 qui a servi à l'armée de Kiev pour légitimer des représailles contre les séparatistes pro-russes qui ont fait perdre patience (après 8 ans et 14 mille morts) au président russe Poutine en l'incitant à assumer la protection militaire de ces républiques et en lançant l'opération militaire spéciale. Les curieux devraient lire les détails de la FAKE-News concernant une bombe qui n’a même pas fait un seul mort…

Mais un véritable drame hospitalier avait déjà été diffusé à l'hôpital de Marioupol le 10 mars 2022.

Un établissement de santé déjà évacué est devenu le décor d'un prétendu attentat à la bombe russe, rendant célèbre un mannequin ukrainien qui semblait enceinte pendant l'évasion mais qui a ensuite été identifiée comme une actrice par les réseaux sociaux du monde entier. Les fausses nouvelles démystifiées ! Mais uniquement depuis des sites de contre-information .…

Quelques semaines plus tôt, le 26 février 2022, le canular colossal avait justement pour protagoniste l’hôpital pédiatrique Okhmadyt de la capitale. L'Ukraine a dénoncé une prétendue attaque et montré une photo d'un enfant... posant sous un carton dans une pièce intacte. Ce plan clairement construit a néanmoins fait le tour du monde.

Cela dit, revenons à l’explosion d’hier, dont le bilan tragique n’est accrédité que par des sources ukrainiennes.

Comme le prétend la Russie, les attaques sur le territoire national contre des « objectifs militaires ou stratégiques » étaient des représailles aux missions de drones tueurs ukrainiens sur la population de la région russe de Belgorod où les missiles à longue portée des pays de l'OTAN étaient également largement utilisés par Kiev contre les civils bien avant l’autorisation des gouvernements occidentaux (plainte russe auprès de l’ONU).

Une attaque par un missile russe ou soviétique déjà utilisé également en Ukraine ?

Les réseaux sociaux se débattent pour savoir si les fragments du missile de croisière KH-101 (en cyrillique : Х-101, nom de code OTAN : AS-23a Kodiak) de fabrication russe et utilisé par l'armée de l'air de Moscou, retrouvés par les services de sécurité ukrainienne (SBU) sont en effet celles de la roquette accusée d'avoir touché le complexe hospitalier..

Même selon le chercheur de l’Université d’Oslo, Fabian Hoffman, il s’agirait d’un Kh-101 de croisière, mais certains détails techniques analysés par nos soins pourraient le réfuter…

La question semble très controversée et discutable étant donné que ce puissant transporteur de guerre est très similaire au modèle précédent KH-55 (en cyrillique : Х-55, nom de code OTAN : AS-15 Kent) développé à partir de la fin des années soixante-dix à ' IKB Raduga et est entré en service dans l'armée de l'air soviétique en 1983. Il a donc été fourni à tous les pays de l'ex-Union soviétique dont l'Ukraine.

La capture d'écran du film sur le missile tombé à Kiev,
un KH-55 en haut et un KH-101 en bas

Cela rappelle le lourd conflit judiciaire entre la Russie et les pays de l'OTAN, comme les Pays-Bas (qui ont financé le coup d'État de 2014 à Kiev avec les États-Unis et les ONG de Geroge Soros) concernant le crash du Boeing 777-200ER du vol MH17/MAS17 de Malaysia Airlines entre Amsterdam et Kuala Lampur qui le 17 juillet 2014 (une coïncidence inquiétante pour ceux qui croient à la cabale biblique…) a été abattu au-dessus du territoire ukrainien par un missile sol-air lancé depuis un système Buk, dont disposent aussi bien les séparatistes pro-russes du Donbass que l'armée ukrainienne.

Par Fabio G. C. Carisio

- 10 juillet 2024                                Source : VT

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NOTES de H. Genséric

[1] Trump humilié : la Syrie abat 34 des 59 missiles Tomahawk (Vidéo)

[2] Enfants ukrainiens disparus, vendus aux réseaux pédophiles et pour le prélèvement d'organes en Occident
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[3] Le "massacre" de Bucha en Ukraine nous rappele celui de Timisoara en Roumanie
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Hannibal Genséric