lundi 9 mai 2016

Panique chez les oligarques US : les pervers sexuels parmi eux bientôt connus



Les oligarques au pouvoir en Amérique sont actuellement totalement paniqués, car leurs déviances sexuelles les plus odieuses (y compris le sexe avec les enfants) seront bientôt publiées à partir de quatre serveurs informatiques anonymes disséminés dans le monde. Un «compte à rebours du destin » a été enclenché depuis 72 heures. La semaine dernière, des agents secrets américains de renseignement ont tenté de découvrir où se trouvaient ces satanés ordinateurs, mais tout ce qu'ils ont pu faire, c'est assassiner un éminent avocat qui voulait diffuser la liste de ces pervers haut placés.

Au début des années 1990, le milliardaire et puissant financier de Wall Street, le sioniste Jeffrey Epstein (qui est un ami proche du président Bill Clinton et du candidat Donald Trump [1]) a financé et monté une grande opération de chantage basé sur la prostitution à Washington DC, dont il a donné la gestion à une femme nommée Deborah Palfrey [2]  (alias MadameDC), qui, avant son assassinat en 2008, avait réussi recenser et documenter plus de 800 « clients » du sexe tarifé et pervers, dans un «livre noir». Figurent, dans ce « livre noir », des fonctionnaires et des cadres d'agences gouvernementales américaines et de grandes entreprisesdont le FBI, State Department, Department of Commerce, Department of Health and Human Services, IRS (les impôts) and US Coast Guard.
 
En Mars 2005, l’organisation criminelle de chantage et de prostitution d'Epstein+MadameDC a commencé à s'effriter quand Epstein a été accusé d'avoir agressé une petite gamine en Floride, ce qui a déclenché une enquête de 11 mois par la police locale, ce qui a conduit à sa mise en accusation, en août 2006.
Ces investigations ont prouvé qu’Epstein était le cerveau d’un vaste réseau de prostitution utilisant des filles mineures  comme esclaves sexuelles auprès de beaucoup de clients (des « élites » c’est à dire des oligarques de la finance et de la politique , américains et britanniques). 
Cependant, malgré la gravité et le nombre de ses activités criminelles, une seule accusation a été portée contre Epstein. Ceci serait dû au fait qu’Epstein collabora avec la police contre MadameDC, d’une part, et que les autorités et l’establishment ne veulent pas ébruiter le scandale concernant les pervers sexuels haut placés, d’autre part.
Le 18 Avril 2008, MadameDC a été reconnue coupable de ses crimes et a été condamnée à  8 ans de prison. Mais deux semaines plus tard, le 1er mai 2008, elle a été retrouvée morte. Comme dirait le Canard Enchaîné, « elle s’est suicidée d’un coup de feu qu’on lui a tiré à bout portant ». Naturellement, la justice et la police ont annoncé un suicide, mais des preuves accablantes prouvent qu'elle a été assassinée.
Epstein, cependant,  a plaidé coupable de l'accusation unique contre lui en Juin 2008, contre une peine dérisoire de prison de 18 mois, dont il n’a accompli que 13 mois. Ce que de nombreux experts juridiques ont appelé un «traitement de faveur».
Quant à savoir pourquoi Epstein a été traité de manière "douce et aimable" par les autorités de police et de justice pour ses crimes monstrueux contre les filles-enfants utilisées comme  esclaves sexuelles, ceci est évidemment lié à la liste secrète des pervers sexuels hauts placés, et qui étaient les clients de MadameDC. Cette liste n’a pas profité à cette dernière, puisqu'on l'a assassinée. 
Cette liste ait été saisie par un tribunal américain qui a ordonné de ne pas la diffuser et de la garder top secret.
Au cours des huit dernières années, cependant,  l'avocat de  MadameDC, Montgomery Blair Sibley, a lutté contre cette décision de la Cour des États-Unis stipulant que ce «livre noir» doit rester secret. L’avocat indiquait que le peuple américain avait le droit de connaître les noms qu'il contient, car cela pourrait avoir une influence déterminante sur l'élection présidentielle de 2016.
L’avocat Montgomery Sibley (à gauche) et
Deborah Palfrey ( MadameDC) en 2006
Au cours de ces années, la colère de l’avocat Sibley n’a fait qu’augmenter, ainsi que son combat pour libérer ce "livre noir" (on lui a détruit sa vie professionnelle et sa vie personnelle, c'est aussi cela, le fameux "rêve américain"). 
Le 31 Mars, il a publiquement annoncé aux oligarques américains qu'il mettra sa propre copie de ce "livre noir" sur quatre serveurs informatiques à travers le monde. Ces ordinateurs contiennent une "horloge de l'apocalypse", et que l'heure de la diffusion approche. Il a précisé qu’en cas de problème, cette liste serait envoyée immédiatement aux agences de presse à travers le monde.
Dans son combat pour publier ce "livre noir", l’avocat Sibley a été aidé par l’avocat Gary Welsh et par le journaliste d'investigation américain Wayne Madsen.
Comparé à Madsen ayant travaillé déjà en essayant d'exposer toute l'ampleur de l’organisation criminelle de chantage-prostitution d'Epstein+MadameDC, et connaissant des représailles à venir, l’avocat Welsh était un débutant dans ce genre d’affaires.
Il a payé cash son manque d'expérience la semaine dernière, puisqu’il a été suicidé, lui aussi, le 1er mai (le 8ème anniversaire de l'assassinat de MadameDC) dans un couloir de son immeuble par un coup de feu qu’on lui a tiré à bout portant à la tête. 
Deux jours avant son assassinat, il nous a averti dans son dernier poste de son blog, en écrivant ce message énigmatique et prémonitoire : «Si je ne suis pas là pour voir les résultats du vote, ma prédiction est que Trump va gagner l'Indiana ... "
Un jour après l’assassinat de l'avocat Welsh, soit le 2 mai, la Cour suprême des États-Unis a rejeté un appel final de l’avocat de Sibley pour la libération du  "livre noir". Ce à quoi l’avocat Sibley a répondu qu'il pourrait risquer la prison et libérer ce "livre noir" de toute façon, et s'il est tué lui aussi, personne ne serait laissé en vie pour réinitialiser son «horloge de l'apocalypse".

Source :  http://www.whatdoesitmean.com/index2037.htm

[2] Deborah Jeane Palfrey (18 mars 1956 - 1er mai 2008) est la propriétaire de la Pamela Martin and Associates, agence d'escortes ayant eu pour clients des membres du gotha américain de Washington DC, ce qui lui vaut d'être surnommée par les médias « Madame-DC » - en référence à la capitale américaine Washington DC - ou la « Madame Claude américaine ». Accusée de proxénétisme, "on la suicide" alors qu'elle venait d'être condamnée pour racket, blanchiment d'argent et gestion d'un réseau de prostitution.
Hannibal GENSERIC