Un rapport absolument stupéfiant du Conseil de sécurité (SC) russe, en
circulation au Kremlin aujourd'hui, détaille une longue conversation
téléphonique tenue jeudi entre le président Poutine et le directeur du FBI, James
Comey. Lors de cette conversation, ce haut responsable de l'application de
la loi en Amérique a demandé au président Russe "est-ce qu’Anthony Weiner est l’un des vôtres? ». Poutine a répondu:« Vous
devriez demander cela à Aleksandr Poteyev». Cela a conduit,
moins de 24 heures après que cet appel ait pris fin, à replacer
de nouveau Hillary Clinton sous enquête du FBI.
Anna Chapman, left, CIA double agent Alexander Poteyev, right |
Selon ce rapport, l'appel du Directeur Comey au président
Poutine était consécutif au fait que le Service de Renseignement Extérieur (FIS) a ordonné, jeudi
dernier, à tous les services russes de sécurité et de renseignement de cesser
tout contact avec le FBI, devenu le "Ministère de la Terreur"
d’Hillary.
Avec de nombreuses enquêtes conjointes sur le terrorisme et
la criminalité actuellement en cours entre le FIS et le FBI, le directeur Comey a
exprimé ses préoccupations au président Poutine que la fin de leurs contacts pourrait
causer des dangers pour la Fédération et pour les États-Unis. Le président Poutine
en a convenu, et dans le but d'apaiser les tensions de la guerre
russo-américaine, il a publiquement déclaré, après cet appel, que «la Russie ne va attaquer personne, c’est
ridicule".
Bien que ne faisant pas l'objet central de leur conversation,
le président Poutine est devenu ennuyé lorsque directeur Comey l'a interrogé
sur l'ancien membre du Congrès américain Anthony Weiner (alias Carlos Danger) tout en semblant prétendre
qu'il était, d'une certaine façon, un espion russe, bien que le président
Poutine ait rappelé au directeur Comey que la bonne personne à
interroger était l'ancien agent du service de renseignement extérieur (SVR) Aleksandr Poteyev, et qu’il suffit de
demander à la CIA où cet agent pourrait être en ce moment.
L’agent du SVR, Poteyev, était le superviseur d'une
opération de renseignement de la Fédération aux États-Unis, nommée «pot de miel,
honeypot».
Sa mission était de démasquer les pédophiles américains parmi les élites de
haut rang (politiciens, banquiers, hommes d'affaires, etc.) s’attaquant
aux très jeunes filles russes amenées dans ce pays pour ces pédophiles.
Une fois que ces déviants sexuels de l’élite Américaine ont
été identifiés par le SVR, ils ont été placés sous surveillance électronique,
et une fois être averti de cela, beaucoup d'entre eux se sont portés volontaires
pour aider la Fédération dans d’«autres opérations significatives ».
Cette opération très réussie du SVR a été, cependant,
détruite lorsque l'agent du SVR, Poteyev, a « retourné sa veste » contre
la Fédération et est devenu un espion pour la CIA américaine. En Juillet,
immédiatement après que le directeur du FBI, Comey, ait annoncé qu’Hillary
Clinton ne serait pas poursuivie par le
FBI pour ses crimes, la CIA a soudainement
déclaré que Poteyev était mort (sans
aucune preuve), mais le
SVR sait que ceci est faux.
Avant que l’officier de renseignement du SVR, Anna Kushchyenko (aux
États-Unis connue comme Anna Chapman), et que les agents du SVR ne soient trahis
auprès de la CIA par Poteyev, Anna avait identifié Anthony Weiner, du Congrès
américain, comme étant un pédophile. Elle
l’a donc ciblé pour une surveillance électronique
étroite. Cette mission d’Anna s’est terminée le 27
Juin 2010 avec son arrestation par les autorités américaines.
La surveillance électronique étroite par le SVR du représentant
au Congrès Weiner était justifiée, en raison non seulement de sa déviance
sexuelle, mais, aussi, parce que sa femme, Huma Abedin, a été la
proche collaboratrice de la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton dont
la Fédération a remarqué
depuis longtemps qu’elle représente une «menace existentielle» pour le
monde entier.
L’espionne russe
Anna Kushchyenko (alias Anna Chapman) |
La raison pour laquelle la CIA a tourné l'opération de
surveillance du Congressiste Weiner par le SVR contre la proche collaboratrice d’Hillary
Clinton, Huma Abedin, était due au fait que la Clinton a, en 2011, ordonné
l'assassinat du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi (et la
destruction de la Libye). Or Kadhafi
était un atout majeur de la CIA car il lui avait permis, depuis 2004, d’utiliser
la Libye pour interroger (en fait torturer) des « terroristes », c'est-à-dire
des gens qui s’opposent aux politiques américaines dans leur pays.
Dans les 24 heures qui ont suivi sa conversation avec le
président Poutine, le directeur Comey a notifié au Congrès américain que son
enquête sur Hillary Clinton est désormais à cause de l’apparition
mystérieuse et quasi magique d’autres de dizaines de milliers d’emails secrets
d’Hillary Clinton découverts sur l'ordinateur de l'ancien membre du Congrès, le
pédophile Weiner.
Le journaliste qui avait révélé l’affaire du Watergate, Carl Bernstein, a indiqué, à
propos de ces nouveaux emails, qu'une
"véritable bombe" avait été découverte. Sans cela, le FBI aurait recommencé
tout son processus sordide consistant à étouffer l’affaire et à protéger la
Clinton.
Quant à la façon avec laquelle le régime Obama, le FBI, la
CIA et le ministère de la Justice vont démêler cette nouvelle catastrophe Clintonienne,
car ils sont eux-mêmes pris au piège, nous ne faisons pas de pronostic.
Cependant, le chaos enveloppant actuellement l'Amérique comprend non seulement le
truquage éhonté des votes de l’élection présidentielle, mais touche aussi la
procureure générale Loretta Lynch, plaidant étonnamment le 5ème amendement dans
une lettre au Congrès américain cette semaine sur le paiement de 1 milliard $
en espèces à l'Iran. Ce chaos est aussi confirmé par une terrible nouvelle :
les nouvelles règles de procédure pénale qui entrent en vigueur le 1er Décembre
2016, qui légalisent la capacité du gouvernement américain à pirater
des ordinateurs dans toute juridiction, même dans les pays étrangers.
Cela conduit n’importe quel Américain ordinaire à demander
eux-mêmes la même chose Donald Trump a été demandé: «Pourquoi
ne pas voter pour moi, vous n’avez que l'enfer». Après tout, on a bien
un enregistrement sur bande (Vidéo) dans lequel Hillary reconnaît avoir déjà trafiqué
une élection, qui nous dit qu’elle n’est pas en train de le refaire à nouveau ?
Sont considérées comme activité de racket par la loi : la corruption, la contrefaçon, le blanchiment d’argent, le détournement de fonds, etc.
La Clinton vire Huma Abedin hors de son avion de campagne
Hillary Clinton a jeté hors de son avion sa plus ancienne
collaboratrice, Huma Abedin de son avion de campagne en Floride, alimentant les
rumeurs qu’Abedin est sur le point de donner des informations au FBI qui
pourraient conduire à un acte d'accusation contre Hillary.
Les nouvelles viennent le même jour que
le FBI a obtenu un mandat de perquisition emails sur l'ordinateur portable d’Anthony
Weiner.
Des sources d’application de la loi disent que les e-mails
ont été envoyés et reçus via l'ordinateur portable de Huma Abedin - le même
appareil utilisé pour envoyer des milliers d'e-mails à Clinton.
Prenant la parole hier lors d'un rassemblement de campagne à
Golden, au Colorado, Donald
Trump a demandé si Hillary tuerait Huma, étant donné que cette dernière est
si lourdement impliquée dans le scandale des e-mails.
"Huma a été un problème ... Je me demande si Huma va
rester là, et j'espère qu'ils n'ont pas donné l'immunité à Huma parce qu'elle
connaît la véritable histoire, elle sait ce qui se passe", a déclaré
Trump.
"Comment pouvez-vous avoir tout cela, des informations
secrètes confidentielles incroyables et avoir comme mari un gars comme ce
pédophile ? " Demanda Trump.
Selon Nbcnews.com:
Les agents vont maintenant comparer le dernier lot de
messages avec ceux qui ont déjà été étudiés afin de déterminer si des
informations classifiées a été envoyées à partir du serveur de Clinton.
Clinton a appelé ce nouveau mouvement du FBI comme étant un
fait "sans précédent" dans la politique du FBI. Dimanche, le leader
démocrate au Sénat, Harry Reid, a grondé Comey pour avoir potentiellement
enfreint la loi.
"Vos actions, ces derniers mois ont démontré un
double standard inquiétant pour le traitement de l'information sensible, ce qui
semble cacher l'intention claire d’aider un parti politique contre une autre»,
dit la lettre. "Je
vous écris pour vous informer que mon bureau a déterminé que ces actions
peuvent violer la loi Hatch."
Cette loi interdit aux fonctionnaires du gouvernement l'utilisation
de leur autorité pour influencer les élections.
Spéculations
Au point où nous en sommes, avec le peu
d’informations disponibles, on ne peut que faire des spéculations sur ce
qui a pu motiver Comey de reprendre l’enquête. En voici quelques-unes :
- Il est sous une formidable pression de la part des agents du FBI dégoûtés qu’à lui seul il ait pu détruire la réputation de l’agence.
- Anthony Weiner, l’ex-député démocrate et mari d’Huma Abedin qui fait l’objet d’une enquête du FBI, et risque 15 à 20 ans de prison pour cette affaire de pédophilie, a peut-être passé un accord avec le FBI : sa liberté ou une réduction très substantielle de peine contre les ordinateurs et smartphone qu’Huma Abedin a dissimulées aux enquêteurs. Ce peut être aussi, en partie, une vengeance contre Abedin qui l’a quitté en plein scandale.
- Les nouveaux emails peuvent n’être que des doublons de ce que le FBI a déjà découvert. Comey ne lâcherait pas une telle bombe atomique à 11 jours de l’élection.
- Wikileaks s’apprête peut-être à publier des emails qui accusent Hillary Clinton si lourdement, qu’ils mettent directement en cause la probité de James Comey, déjà fortement entamée par la légèreté avec laquelle il a conduit l’enquête, bafouant tous les standards de rigueur de l’agence.
- Les agents qui enquêtent dans le dossier Weiner ont peut-être trouvé des emails si compromettants que James Comey a craint qu’en refusant de rouvrir l’enquête, les documents fuiteraient à la presse, et ruineraient non seulement sa carrière, mais son futur, voire pire si Trump est élu.
Procédure de la loi RICO
La Loi sur les organisations mafieuses et la corruption (RICO), votée en 1970, offre aux différentes agences chargées d’enquêter, un outil pour lutter contre le crime organisé, et permet de poursuivre et faire condamner toute personne impliquée dans une affaire de corruption ou de racket à propos d’une enquête en cours.Sont considérées comme activité de racket par la loi : la corruption, la contrefaçon, le blanchiment d’argent, le détournement de fonds, etc.
Le chercheur Frank Huguenard, un
chroniqueur et supporter de Bernie Sanders, a publié un papier dans le
Huffington Post expliquant que «Hillary Clinton va être mise en accusation selon la procédure RICO». Son article a été supprimé du site et son compte a été fermé par le HuffPost sans explication.
Huguenard affirme que selon ses sources au sein du FBI, l’agence envisage de se servir de la procédure RICO contre Hillary Clinton.
Hannibal GENSERIC
Reproduction de cet article autorisée à condition d'en indiquer la source: http://numidia-liberum.blogspot.com/2016/10/de-nouveaux-emails-secrets-clintoniens.html
sources :
- http://www.dreuz.info/2016/10/29/le-fbi-a-active-la-procedure-rico-contre-le-crime-organise-pour-rouvrir-lenquete-sur-hillary-clinton/#comment-449488
- http://www.whatdoesitmean.com/index2151.htm