Un rapport extraordinaire du Conseil de sécurité (SC) circulant dans
le Kremlin aujourd'hui 24/10/2016, dit que le président Poutine a été
officiellement confronté par la Direction principale des questions migratoires
(GUVM)
du Ministère de l'Intérieur (MVD) à l’exament
d’un dossier relatif à une demande d'asile politique "urgente et
immédiate" d’un citoyen américain nommé Eric Braverman, qui était
l'ancien PDG de la Fondation
Clinton. Ce dernier est connu comme l'homme
qui peut exposer "le scandale réel de la Fondation Clinton".
Les demandes d'octroi d'asile politique sont régies, dans la
Fédération, par une résolution gouvernementale distincte, et non pas par la loi
sur les réfugiés. L’asile politique est délivré à ceux qui cherchent "l'asile ou
une protection contre la persécution ou une menace réelle de victime de
persécution " dans leur pays d'origine, pour des « activités sociopolitiques
ou des convictions qui ne contredisent pas les principes démocratiques reconnus
par la communauté internationale et les normes du droit international » ;
et si la
Russie a le plus grand nombre de demandes d'asile au monde, les demandes
d'asile politique sont très
rarement accordées.
Connaissant apparemment ces faits, cependant, Eric Braverman
est arrivé hier (23 Octobre), au consulat
de Russie à New York et a présenté sa demande "urgente et
immédiate" d'asile sur une demande de visa, comme c’est le protocole
habituel, parce que la Fédération
n'accepte pas de courrier
électronique ou de visa électronique pour les demandes des résidents de la zone
continentale des États-Unis.
Le Service de renseignement extérieur (FSI)) a "classé en
haute priorité" la demande d'asile politique de Braverman, mais juge que
sa demande de protection auprès de la Fédération est «directement liée» à la mort
subite du fondateur de Wikileaks, Gavin MacFadyen [1] qui a eu lieu la veille,
soit le 22 Octobre.
Ancien PDG de la
Fondation Clinton, et «personne sous la menace », Eric Braverman |
Eric Braverman est un conférencier connu dans « la
pratique du gouvernement » à l'Université de Yale. Il a déjà servi en
tant que partenaire au sein du cabinet de conseil mondial américain McKinsey & Company. C’est en 2013 qu’il
est devenu le chef de la direction de la Fondation Clinton jusqu'à son brusque
et inexpliqué départ, en Décembre 2015, juste avant qu’Hillary Clinton n’annonce
sa candidature à la présidence, en abandonnant cette organisation
criminelle connue, surtout, pour son blanchiment d’argent sale.
Eric Braverman a donc été le PDG de la Fondation Clinton en
2013, après que la fille Clinton, Chelsea
ait déclaré la guerre à cette entreprise criminelle, et après la
sortie en public d’extraordinaires détails montrant que son père, l'ancien
président Bill Clinton, avait
recueilli plus de 1 milliard $ pour que la Fondation reconstruise 100 villages
en Inde, mais Bill n’avait dépensé que 53 millions $ pour ces villages, laissant
Hillary empocher le reste, soit 947 millions $ !!
Craignant que cet énorme scandale ne fasse dérailler les
chances de gagner la présidence des États-Unis de sa mère, Chelsea Clinton a essayé
de lutter pour nettoyer la Fondation Clinton en
forçant le nouveau PDG, Eric Braverman à coopérer avec elle pour ce nettoyage.
En Décembre 2015, les efforts du PDG Braverman, pour
« rétablir la normalité» au sein de cette entreprise criminelle, ont complètement
échoué conduisant à son éviction, alors que son contrat courait jusqu'en 2017.
Simultanément, une campagne choquante et haineuse se déchaîna contre Chelsea
Clinton, comme en témoignent les emails secrets publiés par Wikileaks. On y lit
que les gardes-chiourmes d’Hillary et de Bill Clinton disent au sujet de
Chelsea, « qu’elle
agit comme une gosse gâtée qui n'a rien d'autre à faire, sauf à créer des problèmes
pour justifier ce qu'elle fait, parce
qu'elle n’a pas trouvé sa voie dans sa vie et qu’elle manque de concentration
dans sa vie ».
Bien que Chelsea Clinton puisse, en effet, «ne pas avoir trouvé
son chemin » dans le nettoyage de la Fondation Clinton corrompue, le PDG
Braverman était confronté à une avalanche de demandes dans ce sens, mais il
était incapable d'arrêter ou même de contrôler cette corruption débordante et
envahissante. Les emails secrets libérés par Wikileaks le prouvent avec, comme exemple, la révélation étonnante
que Hillary
Clinton a accepté un "pot de vin contre des faveurs" de
12 millions $ du roi du Maroc. C’est après ce nouveau scandale que le PDG
Braverman partit.
Le plus choquant de tout cela est qu’on apprend par ces
emails secrets, que NBC, la télé grand public américaine, avait déjà été mise
en garde pour «suivre
l'argent pour trouver le vrai scandale HRC (Hillary Rodman Clinton)», mais comme NBC est l'un des plus
grands propagandistes d’Hillary Clinton, la chaîne n’a rien dit au peuple
américain à ce sujet.
Ce rapport se termine par un additif intéressant joint par
le FSI. Il spécule sur le fait que
Braverman peut ne pas vouloir réellement l'asile politique et que sa demande
semblerait plutôt celle d'une personne qui cherche à «se protéger par la
publicité». En effet, il n'a pas demandé (comme cela est courant) l’anonymat au
consulat russe. Certains fonctionnaires russes disent qu'il suffit juste de rendre
publique cette information sans accorder d'asile, car si l’asile devait être
accordé, cela créerait un autre prétexte pour que les Américains accusent
encore la Russie de vouloir contrôler les résultats de l'élection américaine. Mais,
en même temps, Hillary
Clinton agite frénétiquement « le chiffon rouge » anti-Russe à un
niveau jamais vu auparavant depuis l'époque du maccarthysme.
Et bien que non mentionné dans ce rapport, il est également
intéressant de noter que l'un des principaux collaborateurs d’Hillary Clinton a
admis, secrètement, que l'économie américaine est si mauvaise que «les
gens sont dans le désespoir», et qu’une
autre maîtresse de Bill Clinton (surnommée par les services secrets la "Lapine
électrique") a été révélée, en plus de la révélation choquante que la
Clinton a donné 675.000 $ à l'épouse du responsable du FBI qui enquête sur
Hillary, et, plus grave encore, Hillary
Clinton vient d’être surprise disant "Si cet
enculé bâtard gagne, nous serons tous pris dans un nœud coulant!"
Pendant ce temps, les médias corrompus traditionnels
américains de propagande continuent
de manipuler outrageusement les sondages pour montrer qu'Hillary est en train
de gagner . Mais nous avons prouvé que c’étaient
des mensonges et que Donald Trump est en passe de
gagner par un séisme politique.
Article en anglais :
[1] Qui a tué Gavin McFayden?
Le journaliste d'investigation, auteur de films, fondateur
du Centre pour le journalisme d'investigation (CJI) et co-fondateur de The
Whistler, Gavin McFayden est décédé le samedi 22 d'Octobre 2016. Il a également
été un proche collaborateur de Julian Assange.
Sa femme Susan Benn a
écrit:
"Il a été le modèle de ce qu’un journaliste devrait
être ... Il a dirigé la création d'un paysage journalistique qui a
irrévocablement levé la barre pour le reportage éthique et percutant. Gavin
a travaillé sans relâche pour conserver le pouvoir de rendre compte de la
vérité. "
Selon Russia
Today:
"La cause de la mort de MacFadyen n'a pas encore été
rendue publique. Dans
le message original de sa femme Susan, elle a écrit qu'il était mort d'une
«courte maladie», mais cette ligne a été supprimée ".
Cependant, selon Wikipedia en date du
lundi 24 Octobre:
« MacFadyen a vécu dans le quartier de Pimlico de
Londres avec sa femme, Susan Benn. Il
est mort des mains de Evan McMullin, un agent de la CIA, après que MacFayden
aurait découvert des informations relatives à de nombreuses missions de « nettoyage »
clandestines liées à l'assassinat de plusieurs personnalités et chefs d’Etats du
Tiers-Monde. »
VOIR AUSSI :
- Bill & Hillary Clinton : des « Serial Killers »
- Mort mystérieuse du père du médecin qui soignait la démence d’Hillary
- USA. Une Vidéo montrant Bill Clinton violant une gamine de 13 ans plonge la course présidentielle dans le chaos
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