Un nouveau rapport stupéfiant circulant ce
5 Octobre au Kremlin, et préparé par le Service de renseignement extérieur (SVR) dit qu'une opération anti terroriste menée conjointement avec l’Intelligence
Service britannique (SIS /
MI6-renseignement militaire, Section 6) a abouti à la capture d'un leader terroriste islamiste de l’État
islamique (ISIS
/ Daech). Ce leader terroriste est employé par une
entreprise privée de mercenaires, qui travaille pour le compte de l'ancienne
secrétaire d'État américaine Hillary Clinton. Les informations obtenues à
partir de cet "espion d’Hillary" ont donné lieu, chez INTERPOL, à l'émission, ce matin, d'un notice
rouge top secrète, qu'un grand " acte
terroriste " imminent est maintenant à craindre.
Dans le cadre des
protocoles d'enquête sur l’anti-terrorisme qui existent entre la Fédération et
la Grande-Bretagne, au mois de Novembre
(2015), le SIS a demandé qu’une opération immédiate de "suivi / recherche"
soit menée par le SVR contre un ressortissant britannique nommé Samata Ullah,
car les agents de renseignement britanniques pensent qu’il voyageait souvent en
Syrie en passant par la Turquie.
Samata Ullah, un homme âgé de32 ans, était
employé par la firme privée américaine de mercenaires, Triple
Canopy LLC , comme « programmeur informatique »
pour le consulat virtuel à Cardiff de l'ambassade des États-Unis auprès
du Pays de Galles.
Cette entreprise privée de mercenaires, Triple Canopy LLC, a été embauchée
par Hillary Clinton quand elle était secrétaire d'État américaine, pour assurer la sécurité des
transferts d'armes entre Benghazi (Libye) et la Syrie.
En analysant ses précédents voyages et
contacts, les documents fournis par le SIS ont montré que Samata Ullah, avait
rencontré l'ambassadeur américain Chris Stevens à l'ambassade américaine de
Londres, en 2012, et avec un trafiquant d'armes américain nommé Marc
Turi, qui, lui aussi, était l'employé d’Hillary
Clinton.
Les communications électroniques interceptées
par le SVR au sujet de cette réunion de 2012 entre Samata Ullah, l'Ambassadeur
Stevens et le marchand d'armes Marc Turi, ont été centrées sur le redéploiement
de 400
missiles sol-air, de fabrication américaine, volés au gouvernement libyen détruit,
et qui étaient stockés dans l'ambassade américaine à Benghazi.
Or, il se trouve que les Américains avaient
promis de donner ces 400 missiles volés au groupe terroriste islamique libyen Ansar
al-Sharia, en échange de la protection, par ces
terroristes islamistes, des actifs américains à Benghazi (espions et agents en
mission d’opérations).
Opérant sous
les ordres secrets de Hillary Clinton, cependant, l'Ambassadeur Stevens, dès son arrivée à Benghazi, et après sa
rencontre avec Samata Ullah et le trafiquant d'armes Marc Turi, a secrètement
commencé à envoyer ces 400 missiles sol-air vers de nombreux lieux secrets non divulgués, hors de
la Libye. Lorsque les terroristes islamistes d’Ansar al-Sharia ont découvert ce
transfert, le 11
Septembre 2012, ils ont attaqué l'ambassade américaine à
Benghazi, capturé l'ambassadeur Stevens, l’ont
violé à plusieurs reprises et l’ont ensuite tué.
En 2013, l’ancien Procureur fédéral US Joseph diGenova, qui représentait les dénonciateurs américains qui essayaient de dire la
vérité sur ce qui est arrivé à Benghazi, a confirmé que la totalité des 400 missiles
sol-air ne
sont plus dans l'ambassade des États-Unis de Benghazi, et qu’il les croyait en
la possession d'al-Qaïda.
Comme ni le SVR, ni le SIS ne savent exactement où sont passés ces missiles, une forte inquiétude s’est emparée des services
de renseignement britanniques et russes, après que des agents de renseignement
russes aient suivi les mouvements de Samata Ullah en Turquie et en Syrie, et
ont découvert qu'il possédait de vastes documents au sujet de ces armes, et, ce
qui est plus inquiétant, des documents sur la façon de séparer leurs ogives
armées.
Dès son retour en Grande-Bretagne le 1er
Décembre 2015, Samata Ullah a é été mis sous surveillance
"intense" par le SIS pour en savoir plus sur le réseau d'espionnage d’Hillary
Clinton dans lequel il travaillait, mais quand des signes précis ont montré
qu’il était sur le point de quitter la Grande-Bretagne, il a
été secrètement arrêté le 22 Septembre.
Lors de son arrestation par le SIS, un bouton
de manchette d’espionnage porté par
Samata Ullah a été découvert, avec
les diagrammes top secret des missiles disparus. Dans son appartement, on a
aussi découvert de nombreux
autres livres et documents sur la technologie de ces missiles téléguidés.
Immédiatement après l’arrestation de Samata
Ullah, les autorités de renseignement britanniques ont demandé instamment à
interviewer le trafiquant d'armes Marc Turi-qui était alors mis
en accusation par le régime Obama dans un effort pour
dissimuler les crimes de Hillary Clinton à Benghazi, dont la mort de l’ambassadeur
Stevens.
Naturellement, le régime Obama a refusé de
répondre à la demande de SIS d’interviewer Marc Turi, et, curieusement, a abandonné hier toutes les accusations portées contre Turi, avec un accord secret lui interdisant de quitter les États-Unis ou de
parler à tout Service de renseignement étranger sur les crimes de Hillary
Clinton.
Le plus inquiétant dans la conclusion du
SVR est que les deux services de renseignement russe et britannique ont la
ferme conviction que les ogives de ces missiles volés sont aux mains des
terroristes islamistes d’Hillary Clinton et d’Obama, et que le démantèlement du
réseau d'espionnage d’Hillary Clinton signifie que leur utilisation dans un «acte
de terreur» est imminente.