jeudi 6 octobre 2016

Alerte rouge d’attentats après la capture d’un espion d’Hillary Clinton en Grande-Bretagne



Un nouveau rapport stupéfiant circulant ce 5 Octobre au Kremlin, et préparé par le Service de renseignement extérieur (SVR) dit qu'une opération anti terroriste menée conjointement avec l’Intelligence Service britannique (SIS / MI6-renseignement militaire, Section 6) a abouti à la capture d'un leader terroriste islamiste de l’État islamique (ISIS / Daech). Ce leader terroriste est employé par une entreprise privée de mercenaires, qui travaille pour le compte de l'ancienne secrétaire d'État américaine Hillary Clinton. Les informations obtenues à partir de cet "espion d’Hillary" ont donné lieu, chez INTERPOL, à l'émission, ce matin, d'un notice rouge top secrète, qu'un grand " acte terroriste " imminent est maintenant à craindre.
Dans le cadre des protocoles d'enquête sur l’anti-terrorisme qui existent entre la Fédération et la Grande-Bretagne, au mois de Novembre (2015), le SIS a demandé qu’une opération immédiate de "suivi / recherche" soit menée par le SVR contre un ressortissant britannique nommé Samata Ullah, car les agents de renseignement britanniques pensent qu’il voyageait souvent en Syrie en passant par la Turquie.

Samata Ullah, un homme âgé de32 ans, était employé par la firme privée américaine de mercenaires, Triple Canopy LLC , comme « programmeur informatique » pour le consulat virtuel à Cardiff de l'ambassade des États-Unis auprès du Pays de Galles.
Cette entreprise privée de mercenaires, Triple Canopy LLC,  a été embauchée par Hillary Clinton quand elle était secrétaire d'État américaine, pour assurer la sécurité des transferts d'armes entre Benghazi (Libye) et la Syrie.
En analysant ses précédents voyages et contacts,  les documents fournis par le SIS ont montré que Samata Ullah, avait rencontré l'ambassadeur américain Chris Stevens à l'ambassade américaine de Londres, en 2012, et avec un trafiquant d'armes américain nommé Marc Turi, qui, lui aussi, était l'employé d’Hillary Clinton.
Les communications électroniques interceptées par le SVR au sujet de cette réunion de 2012 entre Samata Ullah, l'Ambassadeur Stevens et le marchand d'armes Marc Turi, ont été centrées sur le redéploiement de 400 missiles sol-air, de fabrication américaine, volés au gouvernement libyen détruit, et qui étaient stockés dans l'ambassade américaine à Benghazi.
Or, il se trouve que les Américains avaient promis de donner ces 400 missiles volés au groupe terroriste islamique libyen Ansar al-Sharia, en échange de la protection, par ces terroristes islamistes, des actifs américains à Benghazi (espions et agents en mission d’opérations).
Opérant sous les ordres secrets de Hillary Clinton, cependant, l'Ambassadeur Stevens, dès son arrivée à Benghazi, et après sa rencontre avec Samata Ullah et le trafiquant d'armes Marc Turi, a secrètement commencé à envoyer ces 400 missiles sol-air vers de  nombreux lieux secrets non divulgués, hors de la Libye. Lorsque les terroristes islamistes d’Ansar al-Sharia ont découvert ce transfert, le 11 Septembre 2012, ils ont attaqué l'ambassade américaine à Benghazi, capturé l'ambassadeur Stevens, l’ont violé à plusieurs reprises et l’ont ensuite tué.
 
En 2013,  l’ancien Procureur fédéral US Joseph diGenova, qui représentait les dénonciateurs américains qui essayaient de dire la vérité sur ce qui est arrivé à Benghazi, a confirmé que la totalité des 400 missiles sol-air ne sont plus dans l'ambassade des États-Unis de Benghazi, et qu’il les croyait en la possession d'al-Qaïda.
Comme ni le SVR, ni le SIS ne savent exactement où sont passés ces missiles,  une forte inquiétude s’est emparée des services de renseignement britanniques et russes, après que des agents de renseignement russes aient suivi les mouvements de Samata Ullah en Turquie et en Syrie, et ont découvert qu'il possédait de vastes documents au sujet de ces armes, et, ce qui est plus inquiétant, des documents sur la façon de séparer leurs ogives armées.
Dès son retour en Grande-Bretagne le 1er Décembre 2015, Samata Ullah a é été mis sous surveillance "intense" par le SIS pour en savoir plus sur le réseau d'espionnage d’Hillary Clinton dans lequel il travaillait, mais quand des signes précis ont montré qu’il était sur le point de quitter la Grande-Bretagne, il a été secrètement arrêté le 22 Septembre.
Lors de son arrestation par le SIS, un bouton de manchette d’espionnage porté par  Samata Ullah a été découvert, avec les diagrammes top secret des missiles disparus. Dans son appartement, on a aussi découvert de nombreux autres livres et documents sur la technologie de ces missiles téléguidés.
Immédiatement après l’arrestation de Samata Ullah, les autorités de renseignement britanniques ont demandé instamment à interviewer le trafiquant d'armes Marc Turi-qui était alors mis en accusation par le régime Obama dans un effort pour dissimuler les crimes de Hillary Clinton à Benghazi, dont la mort de l’ambassadeur Stevens.
 
Naturellement, le régime Obama a refusé de répondre à la demande de SIS d’interviewer Marc Turi, et, curieusement, a abandonné hier toutes les accusations portées contre Turi, avec un accord secret lui interdisant de quitter les États-Unis ou de parler à tout Service de renseignement étranger sur les crimes de Hillary Clinton.
Le plus inquiétant dans la conclusion du SVR est que les deux services de renseignement russe et britannique ont la ferme conviction que les ogives de ces missiles volés sont aux mains des terroristes islamistes d’Hillary Clinton et d’Obama, et que le démantèlement du réseau d'espionnage d’Hillary Clinton signifie que leur utilisation dans un «acte de terreur» est imminente.