Un rapport
du Service de renseignement extérieur (SVR) russe affirme que le bus français qui
a explosé en France a été, en réalité, attaqué par des terroristes islamistes de DAECH, le 23 Octobre près de la commune de
Puisseguin, à proximité de Libourne, à l'est de Bordeaux. Cette attaque
a fait 43 morts. Probablement, un "dégât collatéral" du soutien de La France au terrorisme islamiste modéré et démocrate.
Selon ce
rapport, le matin de cette attaque, un camion soupçonné de contrebande avec une
cargaison venant de Bulgarie, a été arrêté sur une route rurale par 4
ressortissants saoudiens près de la ville française de Puisseguin. Ils avaient l'intention
de voler sa cargaison de drogue, qui venait du Port Bordeaux Atlantique.
Après avoir
pris la cargaison, les terroristes saoudiens (appartenant à l'EI / Daech) ont placé dans ce camion une
«arme thermobarique" visant à détruire tous les signes de cette attaque.
Malheureusement, juste au moment de son explosion, un bus de passagers plein de
touristes âgés a subitement émergé sur la scène de ce crime.
Une explosion thermobarique est celle qui utilise l'oxygène de l'air
ambiant pour produire une intense explosion à haute température, ce qui est
clairement évident dans les photos prises de ces deux véhicules calcinés.
Remarque:
Les données recueillies sur place montrent que le bus n'est pas entré en
collision avec le camion kidnappé, mais qu’il était à l’arrêt complet quand il
est apparu sur la scène.
On voit que le bus n'est pas entré en collision avec le camion venant d'en face |
Outre le
fait que ces véhicules ont été pulvérisés par une arme thermobarique, ce
rapport note qu'aucun des deux véhicules ne montre de dommages pouvant
enflammer leurs réservoirs de gazole (plus de 60 % des véhicules français roulent
au diesel). Par ailleurs, la quantité de carburant nécessaire pour les
incinérer totalement en si peu de temps, et à une température si élevée, dépasse de
loin la capacité de leurs réservoirs. De plus, le réservoir de carburant de
l'autobus est situé à l'arrière, et non pas à l'avant.
Immédiatement
après cette attaque, les spécialistes en renseignement
électronique du SVR ont commencé à suivre les 4 terroristes saoudiens responsables
de cette attaque. Ils les ont "vu" monter à bord d'un jet privé à
l'aéroport de Bordeaux-Mérignac. La destination déclarée du vol de ce jet privé était "Hail" en Arabie
saoudite.
Lorsque ce
jet approcha du Liban, les forces aériennes
russes l’ont obligé à atterrir à l'aéroport Rafic Hariri de Beyrouth, où les 3 présumés
terroristes saoudiens, le pilote et le copilote, ont été arrêtés par la police libanaise, lorsque celle-ci a découvert
que le jet privé transportait plus de 2 tonnes de Captagon (pilules
d'amphétamines), détournés du camion en France.
La pilule du bonheur islamiste : le Captagon |
Bien qu’on
en parle très peu en Occident, les experts du SVR expliquent, dans ce rapport,
que le Captagon (fénéthylline) finance, en partie, la guerre terroriste contre
la Syrie, et est étiqueté comme «arme secrète» de terroristes de DAECH, d’Al-Nosra,
et d’autres « terroristes modérés ». En effet, d’une part, il génère
des centaines de millions de dollars de revenus annuels, et d’autre part, les
brutes terroristes « se shootent » au Captagon avant d’aller perpétrer
leurs odieux crimes. Le Captagon les rend insensibles à la peur, à la douleur, à
la faim …et les transforme en forcenés sexuels, dont les principales victimes
sont les femmes et les enfants (filles et garçons).
La Bulgarie
étant l'un des principaux producteurs mondiaux de Captagon, les experts du SVR,
dans ce rapport, continuent en expliquant les itinéraires de contrebande
utilisés. L’un de ces itinéraires, qui part de Bulgarie vers le sud de la
France pour atteindre les ports de l'océan Atlantique, est connu depuis
longtemps, mais les policies de la France et de l'UE ne font toujours rien pour
le stopper, et pour cause.
Quant à
savoir pourquoi il en est ainsi :
- Ce rapport
indique que, selon le Service fédéral de contrôle des drogues (FSKN) de Russie,
les terroristes islamistes font plus de 350 milliards $ de Chiffre d’Affaires
avec cette drogue, ce qui permet de corrompre n’importe qui sur la route de
cette drogue.
- En ce qui
concerne les complicités du gouvernement français dans la mort horrible de 43
de ses propres citoyens, en raison d'un détournement terroriste islamique d'un
camion de contrebande de drogue sur leur propre territoire, ce rapport ne dit rien,
mais avec bien 15% de Français soutenant DAECH, il va sans dire que le « black
out informationnel» total sur cette tragédie va se poursuivre.
- La France officielle
a eu, depuis le début du satanique « Printemps Arabe », un soutien
indéfectible des islamistes partout et en tout lieu : Tunisie, Libye, Algérie,
Egypte, Irak…Elle l’est encore aujourd’hui, 31/10/2015, puisqu’elle reste
pratiquement la seule (avec cette grande démocratie qu’est la Sinistre Arabie) à
vouloir exiger l’élimination d’Assad avant toute solution politique en Syrie.
Je me demande quelle serait la réaction du peuple français si la « Sinistre
Arabie » exigeait le départ de Hollande, afin de nommer un président de la
république plus conforme à la charia wahhabite.
Vu de Bulgarie. Aux origines de la potion magique de Daech
La cruauté – tout comme la détermination – des combattants des terroristes islamistes
s’expliquerait par leur consommation du Captagon. Elle serait produite depuis 2011 en Bulgarie dans un “laboratoire de l’Alliance atlantique”, comme le précise l’agence officielle russe Ria Novosti. Le journal en ligne Tunisie numérique et l’agence de presse cubaine Prensa Latina vont dans le même sens.
Pour Ria Novosti, cette “potion de la terreur” a joué un grand rôle dans les “printemps arabes”, son usage expliquant en partie l’enthousiasme des “foules de Tunis, d’Égypte et de Libye”.
Production industrielle
La Bulgarie a une longue histoire avec le captagon, dans
lequel le régime communiste avait vu une mine d’or. Au début des
années 1980, Sofia a importé de petites quantités de captagon
d’Allemagne (de l’Ouest) avant de se lancer dans sa propre production,
cette fois-ci à une échelle industrielle – et illégale. Les recettes ont
alimenté en devises un pays de plus en plus exsangue.
Après la chute du Mur en 1989, les canaux et, parfois, les lieux de
production survivent pendant de nombreuses années. “Privatisé”, ce
trafic est à l’origine de la création des principaux groupes mafieux du
pays et connaît un essor spectaculaire jusqu’à l’entrée de la Bulgarie
dans l’Union européenne, en 2007. Depuis, selon les experts, la
production s’est déplacée vers le Moyen-Orient et, depuis 2011, surtout
la Syrie où elle échappe à tout contrôle. Mais un certain savoir-faire
bulgare en la matière persiste. Issus des grandes usines pharmaceutiques
communistes, des “experts” bulgares parcourent le monde arabe en
faisant monnayer leurs compétences. L’un d’eux, âgé de 47 ans, a été
arrêté en novembre 2014 au Liban. Selon le quotidien Dnevnik, il serait l’un des plus performants en la matière.