Le
représentant permanent de l’Irak au Conseil de sécurité de l’Onu,
Mohamed Alhakim, a annoncé mercredi que les combattants de Etat
islamique (EI/DEACH) pratiquaient le trafic d’organes prélevés sur les
prisonniers et les otages exécutés.
A
titre d’exemple, M. Alhakim a cité la découverte d’incisions
chirurgicales sur de nombreux corps enterrés dans des charniers. Il a
souligné que la plupart des morts avaient subi une ablation des reins.
L’ambassadeur
a supposé que les djihadistes perpétraient des exécutions en masse pour
prélever des organes et a invité la communauté internationale à lancer
une enquête pour repérer les filières de leur écoulement.
« Nous
avons des corps. Venez et examinez-les », a-t-il par ailleurs lancé à
des journalistes. « Il est clair qu’il manque certaines parties ».
Toujours
selon lui, au moins une douzaine de médecins auraient été exécutés à
Mossoul, pour avoir refusé de participer à ces prélèvements illégaux d’organes.
Le trafic d'organes
Le trafic
d’organes est en train de devenir une pratique banale qui surfe sur le
terrorisme, la guerre, la mafia et la misère. Dés l’origine, le principe
de la greffe d’organe a entrainé la tentation pour les voyous ou les
groupes sans scrupule de lancer ce trafic juteux, soit sur des vivants
qui vendent une partie de leur corps, soit sur des morts assassinés dans
ce but. On ne compte plus les réseaux de ce trafic qui ont été mis à
jour, depuis que la greffe d’organes existe, des confins de la Chine en
passant par l’Inde, Israël, la Turquie, l'Arabie, jusqu’au Brésil. C’est un trafic qui se développe sur
la misère, et qui se nourrit des conflits.
Selon PopSci.com, en Inde, le prix d'un rein est de 20.000$, en Chine, de 40.000$, et en Israël, de 160.000$. Sur le site d'enchères en ligne eBay et sur le site de petites annonces Craigslist, on a pu trouver des offres allant de 100.000$ plus les dépenses médicales, à 5.750.000$. Les deux sites ont fait disparaître de telles offres.
Il aurait été surprenant que le Califat Islamique / Daech qui coupe des têtes aussi facilement que d’autres se coupent une tranche de pain, ne soit pas tenté de profiter d’une « matière première » dont il regorge, qui l’encombre, et que finalement il en soit venu à tuer massivement et de plus en plus pour prélever de plus en plus d’organes et en tirer de gros profits.
Le principe des greffes d’organes semblerait donc être l’un des viviers du crime organisé le plus atroce en entrainant beaucoup plus de meurtres et d’abominations qu’elle ne sauve de personnes. Ce principe tourne à l’horreur.
Selon PopSci.com, en Inde, le prix d'un rein est de 20.000$, en Chine, de 40.000$, et en Israël, de 160.000$. Sur le site d'enchères en ligne eBay et sur le site de petites annonces Craigslist, on a pu trouver des offres allant de 100.000$ plus les dépenses médicales, à 5.750.000$. Les deux sites ont fait disparaître de telles offres.
Il aurait été surprenant que le Califat Islamique / Daech qui coupe des têtes aussi facilement que d’autres se coupent une tranche de pain, ne soit pas tenté de profiter d’une « matière première » dont il regorge, qui l’encombre, et que finalement il en soit venu à tuer massivement et de plus en plus pour prélever de plus en plus d’organes et en tirer de gros profits.
Le principe des greffes d’organes semblerait donc être l’un des viviers du crime organisé le plus atroce en entrainant beaucoup plus de meurtres et d’abominations qu’elle ne sauve de personnes. Ce principe tourne à l’horreur.
Après le trafic de femmes et
d’enfants, Daech passe au trafic d’organes.
Après le trafic des femmes, des enfants et
des médicaments pour financer le terrorisme, Daech est passé à une étape encore
plus macabre, et utilise les services de médecins pour prélever des
organes sur les corps des otages qui sont toujours en vie, puis
les vendent au plus offrant.
Les hôpitaux plus ou moins clandestins en
Israël et en Turquie participent à ce commerce autant juteux qu’immoral. En
plus de la coopération turco-israélienne, Daech a recruté des médecins
étrangers pour effectuer des analyses et
recueillir des organes internes humains, afin de les vendre. Ces
« biens » proviennent en partie de combattants du Djihad qui ont
été tués et transportés à l’hôpital rapidement. En outre, les organes internes
sont également pris sur des membres des différentes communautés en Syrie et en
Irak, y compris les enfants.
Après avoir exposé les filles à la vente [1], Daech vend
aujourd’hui sur le marché des organes. Selon le site
« al-Monitor », qui cite l'exemple de Mossoul, l’organisation terroriste préleve les organes dans un hôpital dans la ville de Mossoul. « Il
y a un nombre extraordinaire de chirurgiens étrangers qui ont commencé à
travailler à l’hôpital de Mossoul, qui n’étaient pas autorisés à entrer en
contact avec les médecins locaux. » En outre, l’hôpital,
habituellement en déficit chronique, fait maintenant d’énormes gains financiers
provenant de la vente d’organes.
Les organes les plus vendus sont le cœur,
le foie ou les reins sur le marché noir. La plupart des organes sont vendus et
délivrés par un système bien huilé vers des pays comme Israël, la Turquie et
l’Arabie Saoudite. Les gangs de criminels sont en attente pour les livraisons,
afin de recevoir les organes et les vendre à des acheteurs dans le monde entier,
grâce essentiellement aux mafias juive (États-Unis, Canada, France, GB, etc) et
turque.
Ce type de « marché » rapporte des millions de dollars à Daech.
Sept Israéliens ont été inculpés à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales au Kosovo, en Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la Justice.
D’autres taxes sont imposées par Daech aux habitant dans des régions sous sa coupe califale. Au-delà de hausse de la taxe sur la nourriture qui est 4 fois plus élevée qu’auparavant, chaque famille s’engage à payer des frais de service de protection pour la somme de 50.000 dinars. Cette taxe est analogue à la taxe mafieuse pratiquée en Italie et aux USA. Les familles dont les enfants ne sont pas enrôlés par Daech pour combattre les arabo-musulmans, ont cette double obligation de paiement d’impôt.
Les familles qui veulent échapper à l’enfer, et qui veulent émigrer vers des pays tels que la Turquie, sont tenus de payer à Daech 8.000 $ pour chaque personne.
Sept Israéliens ont été inculpés à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales au Kosovo, en Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la Justice.
D’autres taxes sont imposées par Daech aux habitant dans des régions sous sa coupe califale. Au-delà de hausse de la taxe sur la nourriture qui est 4 fois plus élevée qu’auparavant, chaque famille s’engage à payer des frais de service de protection pour la somme de 50.000 dinars. Cette taxe est analogue à la taxe mafieuse pratiquée en Italie et aux USA. Les familles dont les enfants ne sont pas enrôlés par Daech pour combattre les arabo-musulmans, ont cette double obligation de paiement d’impôt.
Les familles qui veulent échapper à l’enfer, et qui veulent émigrer vers des pays tels que la Turquie, sont tenus de payer à Daech 8.000 $ pour chaque personne.
Le site « Al Moniteur » ajoute
que l’organisation terroriste reprend également le marché européen de la drogue en contrôlant le marché de l’héroïne provenant
d’Afghanistan. Selon les informations publiées par la « Federal Drug
Association » russe, Daech contrôle désormais la moitié du marché de
l’héroïne en Europe.
Bien qu’il y ait de nouveaux secteurs
d’activité de l’organisation terroriste, la vente de pétrole brut reste sa
principale source de revenus, avec un million de dollars par jour, ce
pétrole volé est vendu en grande majorité à Israël et à la Turquie. Ce sont ces
deux pays qui profitent le plus de la contrebande daéchienne, c’est pour cela
qu’ils restent les deux principaux piliers de Daech.
Comme l’a déclaré le crypto-sioniste Fabius, Daech « fait du bon boulot » en Syrie.
Comme l’a déclaré le crypto-sioniste Fabius, Daech « fait du bon boulot » en Syrie.
Hannibal GENSERIC
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