Nous avons vu que DAECH tue en masse des civils syriens et irakiens afin de vendre des "pièces détachées humaines" destinés aux maffias israéliennes et turques, lesquelles ont fait d'Israël et de la Turquie les premières destinations mondiales du tourisme de greffes d'organes, et dont les principaux clients sont américains et européens. Mais savez-vous qu'il y un commerce tout aussi lucratif et encore plus clandestin ? C'est le commerce des cadavres des bébés morts-nés et des fœtus d'avortements. L'horreur des pays "civilisés" n'a point de limites, et ces pays veulent "civiliser" les pays arabes et africains en leur imposant, entre autres, ces pratiques éminemment "humaines et démocratiques".
La nausée! le dégoût absolu! la
honte ! même s’il faut le prendre encore un peu avec des pincettes ! On
voudrait que ça ne soit pas vrai, tant cela s’étale dans toute l’horreur
d’une civilisation dépravée et promise à la disparition. On voit certes
les morts dans les guerres et les révolutions, les décapitations, mais
sait-on qu'en France, un juteux commerce à l’échelle
américaine serait basé sur la vente de corps d’enfants avortés au marché
noir ? , et aussi qu'il y a suspicion d’activité à plus grande
échelle et officielle ? Vous avez bien lu ?
Partout aux États-Unis, des parties du corps ou des corps entiers d’enfants avortés sont achetés et vendus. Des centaines de millions de dollars de subventions sont allouées par le gouvernement américain à cette « industrie ». C’est l’organisation appelée « Planned Parenthood » qui en bénéficie. Récemment sa présidente le docteur Mary Gatter s’est plainte du cours sous-évalué du corps de ces bébés et a même ajouté, citant les termes d’une vidéo connue en Amérique du Nord : « Il faut vendre plus cher, je veux une Lamborghini » ! Ça semble être un gag immonde, tant c’est gros, surréaliste. Elle exige une réévaluation à au moins 75$ par cadavre.
Quel est le futur d’une Nation qui se prête à ce macabre commerce ? Quelle civilisation résistera à cette horreur institutionnalisée ? On rapporte que des bonus sont prévus en fonction de la nature des parties humaines commercialisées. Ces parties de corps d’enfants avortés sont revendues à des sociétés de recherche médicale.
Évidemment, les médias sont complices et entretiennent un silence absolu, un blackout, sur le sujet, certains n’y croyant pas. Faites vos recherches et vous entrerez dans un monde d’horreur qui vous permettra sûrement d’en savoir plus. Je suis pour ma part littéralement horrifié que de telles pratiques existent, soient autorisées, et même encouragées et subventionnées.
Certains mouvements contestent la véracité de cette information, qui s’appuie pourtant sur des vidéos et des données réelles. La lumière sur ce sujet sera faite, maintenant que les réseaux sociaux ont été sollicités. On sait que le commerce sur le marché noir de ce genre de « marchandise » existe bel et bien, et que ce trafic d’organes trouve preneur. A-t-on tout vu jusqu’ici sur ce dont l’humain est capable ?
Partout aux États-Unis, des parties du corps ou des corps entiers d’enfants avortés sont achetés et vendus. Des centaines de millions de dollars de subventions sont allouées par le gouvernement américain à cette « industrie ». C’est l’organisation appelée « Planned Parenthood » qui en bénéficie. Récemment sa présidente le docteur Mary Gatter s’est plainte du cours sous-évalué du corps de ces bébés et a même ajouté, citant les termes d’une vidéo connue en Amérique du Nord : « Il faut vendre plus cher, je veux une Lamborghini » ! Ça semble être un gag immonde, tant c’est gros, surréaliste. Elle exige une réévaluation à au moins 75$ par cadavre.
Quel est le futur d’une Nation qui se prête à ce macabre commerce ? Quelle civilisation résistera à cette horreur institutionnalisée ? On rapporte que des bonus sont prévus en fonction de la nature des parties humaines commercialisées. Ces parties de corps d’enfants avortés sont revendues à des sociétés de recherche médicale.
Évidemment, les médias sont complices et entretiennent un silence absolu, un blackout, sur le sujet, certains n’y croyant pas. Faites vos recherches et vous entrerez dans un monde d’horreur qui vous permettra sûrement d’en savoir plus. Je suis pour ma part littéralement horrifié que de telles pratiques existent, soient autorisées, et même encouragées et subventionnées.
Certains mouvements contestent la véracité de cette information, qui s’appuie pourtant sur des vidéos et des données réelles. La lumière sur ce sujet sera faite, maintenant que les réseaux sociaux ont été sollicités. On sait que le commerce sur le marché noir de ce genre de « marchandise » existe bel et bien, et que ce trafic d’organes trouve preneur. A-t-on tout vu jusqu’ici sur ce dont l’humain est capable ?
Vidéos du trafic d’organes fœtaux par le Planning familial aux États-Unis : 4e publication, le “Center for Medical Progress” poursuivi
La semaine passée a été marquée
par la publication d’une 4e vidéo clandestine tournée dans un laboratoire où
l’on « évalue » des fœtus avortés dans une clinique du Planned Parenthood américain. On y voit un
médecin du Planning familial discuter avec l’« acheteur » qui fait
semblant de négocier un contrat d’acquisition d’organes fœtaux en insistant sur
la manière dont les choses seront officiellement présentées, pour éviter les
accusations de trafic. Malgré le soutien dont bénéficie le Planning de la part
des grands médias, le Center for Medical
Progress qui a travaillé pendant 30 mois au tournage de ces documents le
gêne assez pour avoir été plusieurs fois poursuivi. Le blocage judiciaire de la
mise en ligne de certaines vidéos est le signe d’une peur devant des
révélations de plus en plus choquantes.
Au cours de la discussion qui met
en scène l’acteur qui prétend acheter des organes pour un laboratoire de
biotechnologie humaine et le Dr Savita Ginde, vice-présidente et
directrice médicale du Planned Parenthood
des Rocky Mountains, celle-ci suggère que l’objectif de l’«
approvisionnement » apparaisse comme relevant de la recherche, et non
l’utilisation commerciale, dans la mesure où cela apparaît comme plus
« acceptable » dans la sphère publique.
Elle propose alors
d’« uniformiser » le discours des différents Plannings qui se livrent
à ce type d’approvisionnement et insiste pour qu’ils s’accordent à la fois sur
le discours public à tenir et sur la tarification, qui aura pour motif le temps
passé et le coût des opérations de prélèvement. Il est important,
souligne-t-elle, que cela apparaisse comme un défraiement, et
l’« acheteur » approuve, ajoutant que l’approvisionneur doit être
« heureux » des tarifs proposés afin que chacun s’y retrouve.
La discussion porte également sur la
qualité des organes et tissus fournis qui doivent faire l’objet d’un contrôle
visuel préalable avant d’être transmis de manière à assurer leur utilité.
Les images, violentes, s’achèvent
sur ces mots du laborantin qui examine froidement le cœur, les reins, les
petites jambes, évidemment humaines, dont il fait le tri : « C’est
encore un garçon ! »
Tout cela est si macabre et si
révoltant que Planned Parenthood
multiplie les lignes de défense. Avec le soutien de la Maison Blanche…
L’accusation ne tient pas une
seconde, puisque l’ensemble des vidéos montées ont été mises en ligne en même
temps que les rushes
complets, permettant à chacun de constater que leur sens n’a pas été
modifié.